Maria Kakogianni
Ère d’encre.
L’heure où le merle chante au milieu des conquêtes et des migrations.
L’heure où la réalité dépasse la fiction et celle-ci sort ses griffes.
Le soleil est en train de croquer la ligne ondulante d’horizon.
Les couleurs font tache sur tout ce qui voudrait être ou avoir une limite. Chair et pierre, corps, viande, esprit.
Il y a un enfer fêlé pour chaque amour empêché, chaque enfant qui n’arrive pas à dormir, et chaque monde qui n’en finit pas de finir.