Fred Ivar

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.


Voir d’un séisme l’impossible éclore. Déraciner les visions, les poser entre les pattes d’un puma. Chercher le cercle vivifiant, la farouche saveur des marges où les plantes palpitent dans un froissement de forêt.
cg in Le poulpe et la pulpe (Cardère 2011)

Distortions

Black soul

Apparent calm















Léon Spilliaert, peintre belge né le 28 juillet 1881 à Ostende et mort le 23 novembre 1946, il a fréquenté le milieu du symbolisme belge, dont Maeterlinck et Verhaeren furent les membres les plus connus.
" De mon enfance, je garde un souvenir ébloui, jusqu'au jour où l'on me mit à l'école. Depuis lors, on m'a volé mon âme et plus jamais je ne l'ai retrouvée. Cette douloureuse recherche est toute l'histoire de ma peinture."
- Léon Spilliaert -
Autoportrait (1903)

Impalpable
Caillou glissé
Sous les pas
Quotidiens
L’amour dérange
Interpelle et démange
L’amour n’a jamais
Le visage qu’on lui prête
L’amour se plait
Sans queue
Ni tête.
Cg 2002
in Histoires d'aimer, histoires d'amour

Without past

Air of spring


The courage to live



Série noire, offert à Marcel Duhamel




Tehuantepec, Mexico 1960's

Lights of Manhattan

Fritz Henle est un photographe américain d'origine allemande, né le 9 juin 1909 à Dortmund et mort le 31 janvier 1993.


DE PROFUNDIS
Sous les girandoles salées
Creuser à mains nues
La fosse de l’âme
Y saluer les licornes
Venues par deux
Jumeler silence
A la nacre du monde
Creuser
Creuser à mains nues
Les anfractuosités de l’être
Au parfum de fange
Poissons polychromes
Antédiluviens
Une barque en silence
De sa proue effilée
Pourfend ma mémoire
Je creuse et tu viens fantôme
A la flottante chevelure
Parmi les nénuphars clos
Je creuse jusqu’à ce que jaillisse
La source
Nue je creuse
Dans les sables de l’âme
Sa fosse océane.
cg in Mystica Perdita, 2009

Le guerrier pacifique

Alhambra

L'alchimiste


Aphrodite
http://www.isabellejeandot.com/

La sève ruisselle. Son chant écorce l’univers et la nuit frissonne en songeant au festin.
Nous voici disloqués. Éblouis, transis, illuminés.
Tout brûler et repartir, de déchirure en déchirure. Faisceaux d’un élan unique.
La toile se recréé. Perdre en apparence, gagner en vigilance.
Cg in Les mots allumettes (Cardère 2012)
