Ulzhan de Volker Schlöndorff (2007)
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Etre honnête c’est pratique parce qu’on n’est pas obligé de se souvenir de ce que l’on dit.
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Hans Silvester né le 2 octobre 1938 à Lörrach en Allemagne est photographe et militant écologiste.
Photographe anglaise, née dans une ferme à cidre du Somerset en 1981.
http://www.matildatemperley.com/
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Marcher nez au vent dans les brouillards de l'automne
L'aube a une odeur
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1976
Zdzisław Beksiński est né le 24 février 1929 à Sanok, Pologne, était un peintre, photographe, dessinateur et sculpteur polonais illustre, de tendance surréaliste et fantastique. En 1977, il a quitté Sanok et s'est installé à Varsovie. Mais avant de déménager il a brûlé plusieurs de ses tableaux dans l'arrière-cour de sa maison, hélas sans en garder de traces photographiées. Il estimait que certains de ces travaux étaient "trop personnels", pendant que d'autres étaient, selon lui, maladroits. Perfectionniste, il était capable de sacrifier plusieurs journées de travail et d'abandonner un tableau presque achevé (pour en peindre dessus un tout autre) s'il ne le trouvait pas satisfaisant. Les années 1980 ont représenté une période transitoire dans l’art de Beksinski, qui a débouché à partir de 1990 environ sur une peinture moins colorée, réalisée sur fond plat, délaissant au bénéfice d’un style plus dépouillé, les effets d’ombres et de lumières. Au terme des années 1990, il devait découvrir un nouveau champ d’exploration : les techniques conjuguées de la photocopie et de l’informatique. Tout en continuant donc la peinture et le dessin auquel il était revenu entre-temps, il réalisa à ce moment de nombreuses « gravures » et photomontages sur ordinateur. D’après les explications de l’artiste, ses toiles et ses dessins procédaient de deux tendances qu’il définissait respectivement comme « baroque » et « gothique » ; la première ancrée aux représentations des sujets et à l’atmosphère était corrélée à sa période fantastique, la seconde hantée par une quête de la pure forme a précédé sa mort. Cette même période, sur le plan personnel, lui fut infiniment éprouvante. Son épouse, Zofia, dont il était très épris décéda dans des circonstances cruelles ; un an plus tard, à la veille de Noël 1999, son fils Tomasz – présentateur à la radio – signait sa vie d’un suicide. Homme charmant, spirituel, toujours souriant, son esprit était vif, et remarquable son intelligence. Passer en sa compagnie plusieurs heures à bavarder, de choses sérieuses ou futiles, était une grande joie pour le visiteur. Jamais Beksinski ne quitta la Pologne, jamais il ne prit l’avion, et jamais il n’assista aux vernissages de ses expositions ; il vivait cloîtré chez lui, là où il se sentait le plus à l’aise. Après avoir reçu 17 coups de couteau, Beksinski était retrouvé mort, le 21 février 2005, dans son appartement de Varsovie. Le fils de son factotum, Robert Kupiec, un adolescent, fut arrêté peu après. Il passera aux aveux et sera condamné à vingt-cinq années d’emprisonnement ; son complice Lukasz Kupiec à cinq. Le mobile du crime était crapuleux : selon les dires de l’assassin, Beksinski lui aurait refusé un prêt.
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La femme cependant, de sa bouche de fraise, En se tordant ainsi qu'un serpent sur la braise, Et pétrissant ses seins sur le fer de son busc, Laissait couler ces mots tout imprégnés de musc: -" Moi, j'ai la lèvre humide, et je sais la science De perdre au fond d'un lit l'antique conscience. Je sèche tous les pleurs sur mes seins triomphants, Et fais rire les vieux du rire des enfants. Je remplace, pour qui me voit nue et sans voiles, La lune, le soleil, le ciel et les étoiles! Je suis, mon cher savant, si docte aux voluptés, Lorsque j'étouffe un homme en mes bras redoutés, Ou lorsque j'abandonne aux morsures mon buste, Timide et libertine, et fragile et robuste, Que sur ces matelas qui se pâment d'émoi, Les anges impuissants se damneraient pour moi !
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1984
1976
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Ecrire, ce n'est pas vivre. C'est peut-être survivre.
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C’est clair il est temps
Qu'elle nettoie son grenier
Tout plein de poussière
De vieilles toiles d’araignées
Et des rats qui nichent dans une terre
Où rien n’a jamais poussé
Elle y a vu pourtant une porte
Qui donne sur l’extérieur
Et une très grande fenêtre
Comme une belle baie vitrée
cg in Le baume, le pire et la quintessence
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Je demande à Fiorina de dessiner une maison.
Elle dessine une maison portée par des jambes.
in Peuples promeneurs
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