Julio Romero de Torres - Canto de Amor - 1905
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LE COEUR
Ce cœur usé par les assauts aberrants, par le venin de l’ignorance.
Elle voudrait renoncer, lâcher et se libérer de toute emprise, toute illusion. Elle hisse ses rêves hors de portée, elle se recentre. Chacun sa destinée. Son entêtement est vain, juste une histoire de langues égarées. Se taire. Elle se retire. C’est à la vie et pas à elle de décider pour l’Autre. Elle cherche la paix. Plus de compromis possible.
Elle apprend l’abstraction et se recentre. Son propre ressenti, ses propres désirs, ses propres buts. Son ouverture à l’Autre, c’est vers le haut, dans la joie et la création, qu’elle doit se faire.
cg in Le baume, le pire et l'essence
Duo d'illustrateurs de Brooklyn, New York.
http://www.teeteringbulb.com/blog/
Les puritains devraient porter des feuilles de vigne sur les yeux.
in Nouvelles pensées échevelées
Les événements s'usent. J'attends le temps où
l'époque présente apparaîtra ridicule.
in Malatesta