Chiharu Shiota - In the bathroom
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L’encre douce de l’âme
Cette flaque à boire
À la frêle cuillère
Entre l’os et l’humus
Dans les maquis du silence
cg in Aujourd'hui est habitable
Try and go home - 1998
Revival
Try and go home - 1998
Certains gens, plantés devant leur miroir, croient qu'ils réfléchissent, alors que c'est le contraire.
in Les pensées de San-Antonio
VOUS TROUVEREZ 13 DE MES GRIBOUGLYPHES
(et pourrez même repartir avec !)
à la 3e édition du SmART supermarché de l’art de Carmaux,
Rendez vous les 28-29 juin 2014 au
Centre culturel Jean-Baptiste Calvignac
24, Avenue Bouloc Torcatis 81400 Carmaux
Note parue dans la revue Décharge n°162 - Juin 2014
http://antoine-josse.blogspot.fr/
Le poète n'est pas le créateur. Il est porteur d'énigmes.
in Transpoétique. La main cachée entre poésie et science
on n'écrit pas, on est écrit, on est littéralement traversé
in Transpoétique. La main cachée entre poésie et science
Trop loin
Espace lecture
Comment j'ai vidé mon cœur
Ce n'est pas la main psychosomatique qui écrit, c'est la main mythique, l'inconnaissable "troisième main" . Troisième main que Rûmi, le grand mystique persan du XIIIème siècle, appelle "la main cachée". En voici le hadith extrait de son immense Mathnawi de 1700 pages : "La main est saisie par une main cachée : c'est celle-ci qui, de l'intérieur, utilise le corps extérieur".
in Transpoétique. La main cachée entre poésie et science
During sleep
In silence
Labyrinth of Memory
Other Side
Other Side
Stairway
Trace of Life
Chiharu Shiota est une artiste japonaise établie à Berlin. Depuis le milieu des années 90, elle a fait des installations de fils entrelacés sa signature. Tendant des fils de laine noirs aux murs, sols et plafonds des espaces d’exposition, elle crée des réseaux graphiques impressionnants, au travers desquels le visiteur doit trouver son chemin et sa place. Ces toiles gigantesques enveloppent très souvent des objets de son quotidien : chaises, lits, pianos, vêtements, comme si l’artiste essayait, en les retenant prisonniers dans sa toile, de conserver la trace de ces objets qui menacent de disparaître de sa mémoire.
Les fils de laine s’apparentent à des traits de crayon dessinés dans l’espace, dont l’accumulation fait écran à la vision du visiteur, tout en générant la dimension sculpturale de l’œuvre ; de simples robes blanches suspendues, enveloppées dans cette toile impénétrable, y projettent des corps absents. Invité à pénétrer dans l’installation, le visiteur a l’impression d’avancer dans la matérialisation d’une image mentale.
(Source : http://roughdreams.fr/2011/03/chiharu-shiota/)
Site de l'artiste : http://www.chiharu-shiota.com/en/