MEMENTO MORI ET AUTRES - Page 6
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Otto Dix - Skull, 1924
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Julien-Adolphe Duvocelle - Crâne aux yeux exorbités et mains agrippées à un mur, vers 1904
Julien-Adolphe Duvocelle (1873-1961). Lors de sa formation sa formation aux Beaux-Arts, il fut élève de Bonnat, lui-même peintre académique célèbre pour ses portraits dont plusieurs sont conservés au musée d'Orsay. La lecture des livrets des Salons des artistes français, où Duvocelle expose régulièrement entre 1897 et 1927, apprend qu'il se consacre essentiellement, lui aussi, au genre du portrait, et de manière plus précise, aux portraits de femme. A l'Exposition universelle de 1900, il obtient une médaille de bronze avec le Portrait de ma mère.
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Michael Wolgemut - The Dance of Death, 1493
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Menton J. Matthews III aka Menton 3 - May 15th
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Masque funéraire maya en jade
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Maruyama Okyo - Squelette pratiquant zazen sur les vagues, vers 1787
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Carlo Farneti - Illustration pour Les fleurs du Mal de Baudelaire, 1935
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François Robert - Stop the violence
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Cornelis van der Meulen - Vanitas, 1688
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Hans Sebald Beham - Death and the Indecent Pair (1529)
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Bernardino Genga - Charles Errand, Anatomia, Rome 1691
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Michel Gilberti - La longue marche
http://www.michelgiliberti.com/
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François de Nomé - Les Enfers (1622)
Peintre d'origine lorraine (Metz v. 1593 – Naples après 1644).
Longtemps confondu avec Didier Barra, sous l'appellation de Monsù Desiderio, il a été remis en lumière grâce à la découverte de sa signature sur un tableau de la Destruction de Sodome (Rome, coll. part.), puis sur d'autres peintures (Intérieur de cathédrale, Naples, coll. Miranda ; Circoncision, New York, coll. part.).
Il travailla d'abord à Rome, vers 1602, dans l'atelier de Balthasar Lauwers, puis à Naples, où il est documenté en 1613 ; il s'associa sans doute avec son compatriote Didier Barra mais, contrairement à Barra, dont l'exactitude est celle d'un cartographe, Nomé n'est pas un architecte de métier, ni un topographe. C'est un peintre de l'imaginaire, de l'irrationnel, représentant des architectures grandioses et irréelles servant de cadre à des scènes païennes ou bibliques, à des cataclysmes, à des vues de fin du monde, à valeur parfois symbolique, comme le prouve la présence fréquente de symboles de civilisation, tels que le temple rond de la sibylle de Tibur ou la stèle gothique. Nomé utilise une technique picturale extrêmement " moderne ", faisant penser à celle de Magnasco, n'employant que les demi-teintes (le jaunâtre, le bleuâtre, le verdâtre), appliquées par petites touches juxtaposées, assez épaisses, avec des rehauts de couleurs claires.
François de Nomé est aussi représenté au Louvre (Attaque d'un palais) et dans les musées d'Orléans, de Dijon et de Baltimore, ainsi qu'à Londres (N. G.).
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Cenin von Catlien - Transsexual God
Artiste turc, Istanbul.