Piments, oignon, ail et romarin lacto-fermentés
Aujourd'hui, ouverture du bocal : un délice !!!
En accompagnement de sardines à l'huile, avocat, radis noir, citron
et tartines grillées de pain de petit épeautre
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Aujourd'hui, ouverture du bocal : un délice !!!
En accompagnement de sardines à l'huile, avocat, radis noir, citron
et tartines grillées de pain de petit épeautre
Que 2025 soit, c’est certain, puisqu’il en a été décidé ainsi et que cette date grégorienne a pris le dessus sur les autres. Tenter d’appréhender l’être humain dans son Histoire, dans son présent, dans ses projections, dans ses éclatements, sa diversité, sa beauté indissociable hélas de sa cruauté, son intelligence et sa folie, bref NOUS appréhender NOUS et toutes celles, ceux et celleux qui ont du mal à se retrouver dans le NOUS qui les englobe ou cherche à les englober, ces multiples NOUS qui s’affrontent avec de multiples VOUS, les AUTRES ; qui s’agressent, se détruisent, s’interdisent, se fuient ou s’ignorent, c’est vertigineux. Regarder, se regarder simplement soi-même, c’est vertigineux. Les voix qui semblent les plus fortes sont vieilles, usées, répétitives et pourtant elles impactent car elles rassemblent sous leurs ailes dures d’innombrables peurs, de terribles ignorances. En a-t-il toujours été ainsi ? Usées et répétitives. De même, ces éditos qui voudraient pouvoir se réjouir d’un authentique neuf, d’un ressourçant innovateur, d’un audacieusement salvateur, de ce qui peine à être essayé en grand puisque toujours étouffé, écrasé, nié, moqué, enfermé, abattu. Et qui persiste pourtant, se relève encore et encore, perce la croûte épaisse des obscurantismes redondants, du monopole d’idéologies mortifères. Et quoi d’autres encore une fois que la force incroyablement habile de la vie qui insiste, malgré cet acharnement à la détruire, et nous montre la voie ? Les vents, les vagues, la pluie, les rivières, les océans, les plantes, les montagnes, les animaux, les insectes, les champignons, les bactéries nous montrent la voie mais aussi ce qui reste des humanités qui ne l’ont jamais quittée et qui ont tant souffert et souffrent encore pour ne pas dévier. La seule voie viable : comprendre notre responsabilité et notre place dans le grand orchestre du vivant et de nous y tenir comme on tient une promesse. Alors 2025, oui, c’est l’identifiant de cette nouvelle année, et 2026, 2027, 2057, seront un enfer ou un monde plus accueillant selon la voie que nous allons emprunter. Et le goulot des choix collectifs, comme dans le cours d’une vie individuelle, se resserre, les conséquences sont de plus en plus immédiates et irréversibles. Alors quelles voix allons-nous écouter ? Celles qui assourdissent le plus, artificiellement légitimées par leurs excroissances technologiques toujours plus infiltrées ou les quasi imperceptibles qui font pousser la plante, l’arbre, digérer les vaches, tomber les pluies, chanter les océans ? Je me répète aussi et continuerai à le faire car dans cette répétition, je ne sens rien d’usé mais bien au contraire, j’entends des paroles d’eau à user le béton, à rouiller les armes, à fertiliser chaque bout d’espace atteint en l’autre malgré les barrages. J’entends des paroles de vent à secouer les inerties, abattre les murs de séparation, des paroles de feu à brûler les scories des mondes tristes et méchants dont NOUS ne voulons plus, des paroles de terre qui savent quand il faut parler et quand il vaut mieux…. se taire. Aussi…
Meilleurs vœux de meilleure humanité !
CGC
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Sommaire et + ici :
http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com/archive/2025/01/03/nouveaux-delits-n-80-6529566.html