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Il s'agit de l'adaptation du roman du même nom publié en 2000 par David Ebershoff et inspiré d'une histoire vraie, l'histoire de Lili Elbe, née Einar Wegener, la première femme transgenre à avoir pu bénéficier d'opérations pour changer de sexe. Née en 1882 et décédée en 1931, elle s'est également fait connaître en tant que peintre sur la scène danoise.
Un ovni du cinéma indépendant belge de 1974, il n,'y a que des belges ou des japonais pour oser ce genre de film et en faire des oeuvres... ici un homme est seul dans une ferme et il est peut-être le dernier des humains sur la planète....seul donc, en compagnie d'animaux, un film à ne pas voir, ne le regardez pas, juste sachez qu'il existe et qu'il est visible en intégralité sur youtube (mais que fait la censure ?), que c'est un antihymne à l'humanité, qui le mérite bien cependant, un film qui met parfaitement en exergue cet extrait de "Pour en finir avec le jugement de dieu", d'Artaud :
Là ou ça sent la merde
ça sent l’être.
L’homme aurait très bien pu ne pas chier,
ne pas ouvrir la poche anale,
mais il a choisi de chier
comme il aurait choisi de vivre
au lieu de consentir à vivre mort.
C’est que pour ne pas faire caca,
il lui aurait fallu consentir
à ne pas être,
mais il n’a pas pu se résoudre à perdre
l’être,
c’est-à-dire à mourir vivant.
Il y a dans l’être
quelque chose de particulièrement tentant pour l’homme