CATHY GARCIA-CANALES - Page 1174
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Nicole Bley
Tout ce qui est fort, impeccable, rationnel et logique est une violence sur ma nature qui me rend malheureuse.
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Sarolta Bán
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Keith Barnes
Leur rêve ? Nous mettre en fiches
nous autres millions de poètes
programmer nos élans nos visions nos fou-rires
in Notre cauchemar -
Sarolta Bán
Vision furtive d’un nid vide perché sur une branche au-dessus du périph, sourde tristesse. Fuir, vite ! Fuir la vorace capitale, la tête dévoreuse aux dents d'acier. Impossible de décrire le paysage, il n'y en a pas, juste le décorum d'un cauchemar. Si l'enfer est pavé de bonnes intentions, le paradis pousse entre les pavés.
cg, novembre 1997
in Calepins voyageurs et après ?
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Rui Palha
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Hélène Bleskine
L’amour en moi est trop enfant d’abandon qui gravit la colline de ma poitrine et je voudrais tellement qu’il se tire de là.
in L’espoir gravé
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Rui Palha
Né en 1953, Rui Palha vit à Lisbonne. Pratique la photographie depuis l'âge de 14 ans.
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Rui Palha
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William Blake
Voir un Monde dans un grain de sable.
Et un Ciel dans une fleur sauvage.
Tenir l’infini dans la paume de ta main.
Et l’Éternité dans une heure.
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Rui Palha
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Sarolta Bán
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Rui Palha
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Sarolta Bán
Sarolta Bán, née à Budapest en 1982, commence sa carrière en tant que dessinatrice de bijoux. Elle découvre la photographie numérique et les possibilités infinies de manipulations en postproduction. En faisant allusion à sa méthode de travail, elle explique : « Je ne pense pas être photographe, j’aime tout simplement fabriquer des images ». Le temps de réalisation d’une œuvre finale varie entre plusieurs heures et plusieurs jours. Pour cette artiste, tout autant intéressée par la représentation que par la technique pour y parvenir, il n’est pas rare d’utiliser, pour une même photographie, jusqu’à une centaine de calques.
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Yosa Buson (1716-1783)
Plus émouvantes encore
à la lumière des lanternes
les prières des nuits froides