Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Choi Xooang

     

    Choi Xoo Ang2.jpeg

    choi xooang_500.jpg

     

    Choi Xooang 56.jpg

    choi xooang 0.jpg

     

    choi xooang_o.jpg

     

     

    Choi-Xooang-8.jpg

     

     

    Choi Xooang xoo_ang_11.jpg

     

     

    Choi Xooang né en 1975, il obtient son BACHELOR of Fine Arts in sculpture à l'Université Nationale de Séoul en 2002 et son MASTER of Fine Art in sculpture dans la même université en 2005. Il a également été primé deux fois en 2007 et en 2008 par la Seoul Foundation for Arts and Culture Fund Selection NART. Ses sculptures de résine peintes à l'huile, ces êtres "mutants" nous imposent leurs corps nus, sexués et imberbes. Emprisonnées dans une immobilité, dans des postures déconcertantes d'assurance. Elles nous interrogent sur "qui regarde qui ?"

     

    Merci à JL Millet pour la découverte :

    http://jlmi94.hautetfort.com/archive/2013/04/10/choi-xooang.html

  • Long Chin-San

    long chin-san 0.jpg

     

    long chin-san_l.jpg

     

    long chin-san_500.jpg

     

    long chin -san 500.jpg

     

     

     

    long Chin-San 1981.jpgLong Chin-San est né dans la province du Zhejiang en Chine en 1892 et décédé en 1995 à l' âge de 104. Il a consacré 90 ans de sa vie à la création de son style de photographies. Compositions et manipulations ont été faites en chambre noire . Ses photographies étaient uniques en ce qu'elles combinaient la photographie moderne et des styles de peinture traditionnelle chinoise.

     

     

     

     

    portrait de 1981

  • Don Hong-Oai

    don hon-oai 500.jpg

     

    don hong_oai_ntitled_d_4_535_303.jpg

     

    Don Hong Oai_03.jpg

     

    don hong oai 10.jpg

     

    don_hong-oai7.jpg

     

     don hong oai 9.jpg

     

    don hong oai 8.jpg

     

    don hong oai e.png

     

    Don Hong-Oai-24.jpg

     

    don hong oai_o.jpg

     

    don hong-oai 016.jpg

     

    don hong-oai 005.jpg

     

    Don Hong-Oai, A play 1986.jpg

     

    Don Hong-Oai, Pine Peak.jpg

     

    don hong-oai_500.jpg

     

    Don_Hong_Oai_Baskets_and_Woman_2227_381.jpg

     

    don hong-oai07.jpg

     

    don hong oai.jpg

     

    Don hong_oai.jpgDon Hong-Oai (né à Canton en 1929 et mort à San Francisco le 8 juin 2004) est un photographe chinois. Bien qu'il naquit en Chine, Don vécu principalement à Saïgon (Vietnam), à partir de 1936. C'est là qu'il apprit les techniques de la photographie en studio. En parallèle, il expérimenta rapidement son art sur les paysages lors de ses excursions au sein de la péninsule indochinoise. Il resta ainsi au Vietnam malgré les guerres jusqu'en 1974 où il rejoignit, en France, un des ses anciens professeurs. Revenu au Vietnam l'année suivante, il fut pourtant contraint de quitter définitivement ce pays en 1979. En effet, suite à la guerre frontalière chino-vietnamienne de 1978, les autorités procédèrent à une politique de "chasse aux sorcières" vis-à-vis de la communauté chinoise. Don prit alors le bateau pour rejoindre le quartier "Chinatown" de San-Francisco. Après quelques années de travail, principalement en studio, il gagna suffisamment d'argent pour repartir en Chine et créer de nouveaux négatifs. Il rencontra à Taïwan, Long Chin-San, un autre photographe chinois plus âgé que lui (né en 1896), qui lui permit de perfectionner sa technique. Ce n'est que lors des dernières années de sa vie que son œuvre fut reconnue. Don Hong-Oai créa un style unique de clichés que l'on peut véritablement inclure à l'imagerie du paysage dans l'art chinois. Cette manière d'adapter l'art oriental aux standards de l'Occident trouve très probablement ses origines à Hong-Kong dans les années 40 ou exerça, entre autres, le "maître" qui lui permit d'affiner sa technique, le photographe Long Chin-San. Don Hong-Oai perfectionna la technique de superposition des négatifs.

     

  • Chang Ta-Chien (Zhāng Dà Qiān)

    chang dai chien soughing pines in a thunderstorm 1962_z.jpg

    Soughing Pines in a Thunderstorm (1962)

     

    chang dai chien 8.jpg

     

    chang dai chien 1lotus3.jpg

     

    Chang Dai Chien cinnabar lotus 1974-75.jpg

     

    Chang Dai-chien (1899–1983 Hidden Valley, after Guo Xi.jpg

     

    chang dai chien Zhang Daqian Mountain Emei 001.JPG

     

    chang_daichien47e78c27ef4fdfee61e3.jpg

     

     

    chang dai-chien 3.jpg

     

    chang dai-chien 5.jpg

     

     

    Chang Dai-chien.jpgZhāng Dà Qiān est l'une des figures les plus brillantes et les plus riches de la peinture chinoise du XXe siècle. Zhang Daqian est né le 19 mai 1899 dans une famille d'artistes à Neijang, dans la province du Sichuan. Jusque dans les années 1940, il se rend célèbre par ses tableaux inspirés des plus grands maîtres de la peinture chinoise classique. Par la suite, son style évolue radicalement pour intégrer les richesses de l'art bouddhique puis des apports de la peinture occidentale. Sa maîtrise technique et ses célèbres contrefaçons ont jeté le doute sur l'authenticité d'un bon nombre de peintures de maîtres actuellement dans les collections des plus grands musées du monde. Il est mort en 1983, à Taipeï, à Taïwan où il s'était installé en 1978, après avoir vécu pas mal d'années en Californie. En 2011, il détrône Picasso au rang des artistes les mieux cotés sur le marché de l'art international.

  • Connivence, l'oeil & la plume : A

    Aneg.jpg

    texte de cathy garcia photocollage jlmi 2013

     

    A.Vie… Avide…Vivre. De quoi ? De peu. De peut-être. D’un peu d’être. Être. Naître d’une lettre. A. Vide. De rien. Dénuée. Dénudée. Se mettre à nu et puis quoi ? Être A. Étrange. Être ange nu. Ange, singe ou ingénu. Nu et noir. Simple idée. Un hominidé. Une mine d’idées. Miné. D’idéologies. Agités. A vif. Veut quoi ? Rien. Néant. Nu. Nuire à son prochain. Proche ennemi. Assassin. Ma haine, mon amour. A mourir. Ardemment. Amant. Avide. De quoi ? De peu. De peut-être. D’un peu d’être. Être. Naître. Qu’une lettre. Anonyme. A.

     

    Assemblé et mis en ligne par JL Millet sur son blog :
    http://jlmi22.hautetfort.com/

     

  • Un mur sur une poule de Baum – Dedieu

    image.jpg

    Gulfstream éditeur, avril 2013.

    18 pages, 11 €.

     

     

    Un chouette album poético-rigolo sur un sujet qui l’est beaucoup moins. Comment de la célèbre jolie, mignonne, petite comptine « Une poule sur un mur », on en arrive à « Un mur sur une poule » ? Une poule sur un mur, ça va, mais mille poules entre quatre murs ? On se retrouve avec des furies carnivores prêtent à dévorer un fermier, et comme le dit le titre de cette chouette collection d’albums, « ce que tu fais à la nature, la nature te le rendra » et il n’est jamais trop tôt, ni trop tard, chers parents, pour apprendre cette sagesse-là. Ce qui n’empêche pas de se régaler avec cet album et ses beaux dessins éclatants sur fond noir. Un remake écolo intelligent de vieille comptine à mettre entre toutes les mains !

     

     

    Cathy Garcia

     

     

     

    Gilles BAUM / Auteur. À défaut de devenir maître du monde, super-héros, jardinier ou ornithologue, Gilles Baum a voulu écrire pour les enfants. Peut-être pour leur raconter toutes ces vies-là.

     

     

     

    Autre album chez Gulfstream avec Thierry Dedieu également : J’ai adopté un crocodile

     

     

     

    Thierry DEDIEU / Illustrateur. Thierry Dedieu est né à Narbonne en 1955. Après des études scientifiques, il se tourne vers la publicité, puis se lance en littérature de jeunesse à partir de 1994. Il est aujourd'hui rédacteur et auteur-illustrateur de livres pour enfants.

     

  • Denis Buchel

    denis buchel 0.jpg

    denis buchel 1.jpg

    denis buchel 02.jpg

    denis buchel 2.jpg

    denis buchel 3.jpg

    denis buchel 33.jpg

    denis buchel bvd.jpg

    denis buchel h.jpg

    denis buchel vitosha blvd.jpg

    denis buchel_large.jpg

     
     
    denis buchel photo.jpgNé en Moldavie. Après avoir passé près de dix ans en Israël, depuis 2009, Denis Buchel vit en Bulgarie. Il travaille en tant que photojournaliste dans un journal hebdomadaire. Denis a commencé la photographie en 2007, quand il a acheté son premier appareil. Au début, Denis a pris des photos en amateur seulement. Puis étape par étape, la photographie a commencé ...
     
     
  • Benjamin Béchet

    Benjamin Béchet n.png

    Spiderman, 36 ans, nettoie les pare-brise, de la série "Je suis Winnie L'Ourson"

     

    Les rhétoriques populistes qui se nourrissent du mécontentement et de la peur généralisée identifient des ennemis et cultivent les graines de l’intolérance et de le xénophobie ; elles ressortent du tiroir de vieux idéaux territoriaux en instrumentalisant un concept qui a pris une place toujours plus grande dans le discours politique et les discussions de comptoir : l’identité. Construction historique et culturelle, l’identité, comme nous l’enseigne les anthropologues, est fluide, multiple, ouverte et contextuelle. Chacun de nous peux en posséder plusieurs jusqu’à l’infini : une, aucune et cent mille pour citer Pirandello. Mais l’identité est avant tout relationnelle : la définition du Nous passe toujours par la négation de l’Autre. Quand elle tombe dans les mains d’ambitions politiques, les identités se rigidifient sous forme de régionalisme, de fanatisme religieux, politiques ou territoriaux. Et quand l’autre est marginal ou précaire, les conséquences immédiates sont l’exclusion et la violence. A travers une manipulation ironique de l’identité, Je suis Winnie l’Ourson veut susciter une réflexion sur la stigmatisation de l’Autre mettant en scène les peurs et les contradictions qui y sont liées. Rome, la ville où est née le projet, est un vivier de micro identitarisme qui ne manque pas de se référer à une romanitude ou à l’empire romain ; la ville est le théâtre d’une vague d’intolérance et de violence ouverte contre une partie de la population qui incarne une altérité crainte et refusée. Figures marginales, travailleurs au noir, sans papiers… Personnes invisibles ou montons noirs; sur leurs identités complexes et variées, on colle une étiquette qui simplifie et dénigre l’autre. Dans leurs vêtements, nous avons mis des super-héros, des icones, des célébrités connues de tout le monde globalisé. Pour se rappeler qu’une personne n’est jamais ce que nous en voyons, mais toujours quelque chose de plus complexe, que chaque identité est partielle, que nous sommes tous un, aucun et cent mille.

    Benjamin Béchet

     

     

     

    benjamin béchet photo-bio.jpgAprès une licence d’histoire, il se forme à la photographie au Centre Iris à Paris.

     

    Benjamin Béchet travaille sur l’identité et sur la représentation de l’autre. Soit qu'il parte d'une situation qui déshabille littéralement une personne de son fantôme social (Les Baigneurs), ou qu'il habille artificiellement des modèles de costumes les transfigurant (Je suis Winnie l’ourson), Benjamin nous interroge sur les codes et les signes que porte un individu en en société et sur la construction de la personne en relation aux autres.

     

    En 2008, il gagne le prix Parole photographique.

     

    Il vient de recevoir une bourse du CNAP pour travailler sur des micro territoires urbains.

    http://benjamin.bechet.book.picturetank.com/

  • La femme en vol d'Ile Eniger

     la femme en vol.png

    Collection main de femme, éditions Parole 2012.

    250 pages, 12 €

     

     

     

    La femme en vol, c’est l’histoire d’une femme et son intimité amoureuse, familiale, racontée à la troisième personne du singulier. Une histoire qui se révèle par petites touches, comme une peinture. Et justement, cette femme, c’est Fane et Fane aime Jean, Jean qui aime Fane. Mais voilà, Jean aime aussi la solitude et la peinture, et Fane va peu à peu apprendre le prix de cet amour qui est à la hauteur de ses exigences. Aimer Jean, c’est l’accepter tout entier, parce-que la solitude et la peinture l’emporteront sur son amour de femme, exigeant, exclusif, immense. Ce que Jean et Fane partagent et ne cesseront de partager, le ciment ou plutôt les ailes de leur amour, c’est une soif éperdue d’authenticité et de liberté.

     

    « Bien sûr qu’elle avait eu envie de baisser les bras, de rentrer dans ces rangs bien droits, bien rassurants, bien sagement préparés pour toi dès que tu montre ta tête. Bien sûr que la facilité avait été tentante, la banalité attestée est tellement plus confortable que le contre-courant ! On t’aime quand tu commences à ressembler à tout le monde ! Tu oublies qui tu es, pour quoi tu es, et ceux qui pensent à ta place se font un plaisir d’organiser tes limites. On te coule dans le moule sans qu’un poil ne dépasse, tu es reconnu ! »

     

    Fane, sa liberté, elle la trouvera dans l’écriture, mais elle est femme et donc capable d’aimer plusieurs choses en même temps, se donner à toutes avec la même force, le même bonheur. Les hommes ne savent pas aimer comme les femmes. Ils aiment autrement, certains ne savent pas du tout aimer, mais Jean lui, il aime Fane et de cet amour est née une Belle Cerise, qui grandira en même temps que ses parents dans un mas retapé de l’arrière-pays niçois. Ce nid d’amour que Fane quittera un jour parce qu’elle doit le faire, parce qu’elle est une femme en vol.

     

    Ce livre est bon comme un pain qui sort du four, beau comme un jardin sauvage, doux comme la fourrure d’un chat et puissant comme le mistral. C’est un roman d’amour qui va au-delà de l’amour, dans ce qui le sublime et le transcende. Ainsi l’amour ne peut mourir, seuls les masques et les oripeaux brûlent, mais quelque chose demeure, le noyau même de l’amour, qui est fait de poésie pure, mystique parfois, une quête éperdue de beauté, d’intensité. Fane n’est pas une femme de compromis, elle s’affirme dans ce qu’elle est, ce qu’elle pense, envers et contre toute attente sociale, elle est libre et seul un amour comme celui de Jean peut la rendre plus libre encore.

     

    « – Tu comprends, à choisir un code je n’en vois qu’un : l’amour. Je me fiche que cela paraisse désuet, ou décrété impossible par une tonne de crétins. Il y a une perfection quelque part, je la cherche. Je ne vis pas à contre-courant j’essaie d’aller dans mon courant. »

     

    Ce qui peut sembler aux yeux d’autrui comme une dépendance, l’impossibilité de tourner une page, est en fait une plongée dans la source même de l’amour. Un amour inconditionnel où le don devient une immense richesse, et que peut-on donner de plus grand que l’acceptation de la liberté de l’autre. C’est véritablement l’envol au–dessus des contingences, celle qui nous sont imposées par les règles sociales, mais aussi par nous-mêmes. La femme en vol est un bonbon qui fond sous la langue, un bonbon à la menthe poivrée, rafraichissant, vivifiant. On se régale à le lire, il contient tout un tas de trésors. La simplicité y devient un art de vivre et on touche à l’absolu, quelque chose qui ne se dit pas, mais qui s’éprouve, qui met tous les sens en éveil. C’est de la haute-voltige et heureux soient celles et ceux qui en saisiront toute la profondeur.

     

    Cathy Garcia

     

     

    ENIGER Ile.jpegIle Eniger est née en 1947. Poète et romancière, elle vit dans un petit village de l’arrière-pays niçois. Son œuvre, importante, répond à l’urgence d’écrire, impérative et vitale comme celle de la respiration. Une ile à aborder : http://insula.over-blog.net

     

    Bibliographie :

     

     

     

    Empreintes (épuisé) Éditions Corporandy

     

    Regards vers ailleurs (épuisé) Éditions Alternatives et Culture

     

     

    Éditions Cosmophonies

     

    La parole gelée

     

    Les terres rouges

     

    Une pile de livres sous un réverbère

     

    Du feu dans les herbes

     

    Celle qui passe

     

     

    Éditions Chemins de Plume

     

    Du côté de l’envers (Illustrations Émile Bellet)

     

    Il n’y aura pas d’hiver sans tango, mon amour

     

    Le bleu des ronces

     

    Bleu miel

     

    Terres de vendanges

     

    Et ce fut le jardin - (Photos Dominique Cuneo)

     

    Poivre bleu

     

    Un violon sur la mer

     

    Boomerang

     

    Le raisin des ours (à paraître juin 2013 aux Éditions Chemins de Plume)

     

     

    Éditions Collodion

     

    L’Inconfiance – (Dessin Claire Cuenot)

     

    Un coquelicot dans le poulailler

     

     

     

    Éditions Le Libre Feuille

     

    Le désir ou l’italique du jour – (Encres Michel Boucaut)

     

    Une ortie blanche - (Gravures Michel Boucaut) – Prix du Livre d'Artiste Salon d'Automne Paris 2012

     

     

    D'une île, l'autre – (Correspondances avec le chanteur auteur-compositeur Dominique Ottavi) Éditions Amapola

     

     

    En préparation : Recueil de textes poétiques à 2 voix avec l'écrivain québécois Jean-Marc La Frenière – Parution au Canada en 2014