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Seiu Ito
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René Barjavel
Les femmes aiment que l'homme qui les aime, pendant qu'il les aime, leur donne un nom de nuit. C'est la marque de leur entente, la clé secrète du langage de l'amour que l'on parle à voix basse, quand chaque mot qui ne signifie rien dit tout. Et s'il arrive que ce nom de nuit échappe aux lèvres de l'homme pendant les heures diurnes, la femme sent tout à coup la chaleur de son sang dans son corps.
in Colomb de la lune
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Cathy Garcia - Lignes d'horizon
Cette vie là, sans horizon, sans espace, sans rêve, sans passion, sans autre folie que la grimace des tensions, cette vie là où on se voit faire et reproduire exactement ce qu’on ne voulait pas faire, ce conformisme étouffant qui garde la poésie à distance et qui ne sait pas que l’art nait dans les tripes, le vrai, pas celui qu’on accroche au mur, qu’on expose dans son salon, mais celui qui nous tord, nous envole et nous fait naître chaque jour un peu plus.
cg in A la loupe
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Proverbe espagnol
Qui donne promptement, donne doublement.
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Maestra Anita from the Temple of the Way of Light singing an ikaro
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Coralie Raynaud
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Ikaro from Shipibo Maestro Diogenes
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Sebastião Salgado - La Mine d'or de Serra Pelada - 1986
L'histoire de la Serra Pelada semble tout droit sortie des grandes ruées vers l'or du 19ème siècle dans l'Ouest américain. Une pépite de 6 grammes trouvée par un enfant sur les rives d'une rivière a provoqué une ruée incontrôlée qui a transformé le lieu en un enfer moderne. En cinq ans, des dizaines de milliers d'hommes pullulaient le site. Salgado a non seulement documenté la mine de Serra Pelada, mais aussi la ville voisine où des dizaines de milliers de jeunes filles de moins de 16 ans ont vendu leurs corps pour quelques grains d'or. Il est également dit qu'il y avait là 60 à 80 meurtres non résolus dans la ville tous les mois. La mine d'or de Serra Pelada est maintenant fermée, mais employait environ 50 000 hommes au moment où les photos ont été prises.
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Michel Quint
Je ferai le clown de mon mieux. Et peut-être ainsi je parviendrai à faire l'homme, au nom de tous.
in Effroyables jardins
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Sebastião Salgado
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Khalil Gibran
Si tu éprouves le désir d'écrire, et nul autre que l'Esprit n'en détient le secret, tu dois maîtriser connaissance, art et magie : la connaissance des mots et leur mélodie, l'art d'être sans fard, et la magie d'aimer ceux qui te liront.
in Le sable et l'écume
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Sebastião Salgado
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Henri Gougaud
Je sais maintenant que quoi que j'apprenne, dussé-je atteindre la science des grands hommes, ce ne sera jamais que presque rien, une goutte de source à la soif qui me tient. Mais je pressens que cela est bel et bon, car peut-être dans le seul désir tous les jours ranimé est le secret du monde.
in L'homme à la vie inexplicable
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Sebastião Salgado - Genesis