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André Gide
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L’homme ne peut découvrir de nouveaux océans à moins d’avoir le courage de perdre de vue le rivage.
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François Uditurier
Riders on the storm
Sin miedo
Comeback to the Pachamama
François Uditurier né en 1971 à Albi, France. Autodidacte, entre en 1993 dans le milieu audiovisuel comme factotum dans le Service Audiovisuel de l'Institut Catholique de Toulouse (SAVIC) et participe à toutes les étapes de la fabrication de films corporatifs et documentaires. L'accès à tout l'équipement lui permet de faire ses premières photos, à l'époque en argentique et des vidéos. En 1996, il tente sa chance à Paris, où il est embauché comme technicien audiovisuel dans diverse entreprises et productions audiovisuelles. En 1998 se lance comme chef monteur indépendant. Travaille avec de nombreux réalisateurs et producteurs pour des programmes tv, reportages et surtout documentaires. En 2009, il commence a écrire des projets de documentaires. Réalisation de « Mary » documentaire de 26 mn sur une infirmière libérale en milieu rural dans la région de Toulouse. Voyage au Chili où il reprend en main pour la première fois depuis plus de 13 ans un appareil photo (digital). Exposition de ses photos de voyage à « La Curandera - Artes Visuales » à Bahia Inglesa. Tombe amoureux de Valparaiso et décide de tout faire pour y retourner. 2010 Déménage à Valparaiso et se mari avec Nadia qu'il a rencontré lors de son premier voyage. 2011 Réalisation de « Nous irons tous au Baletti » documentaire de 52mn pour France 3 PACA. 2012 Publication de photos dans la revue culturelle espagnol « Jot Down ». Exposition photos auto financé au « Fauna » à Valparaiso de sa série « En la noche todo es más grande » 2013 Réalisateur du documentaire et photographe du catalogue du « Primer encuentro de escultores en Valparaíso». Avec l'aide financier de l’Alliance Française deViña del mar expose au Duoc UC centro de extensión – Edificio Cousiño sa série nocturne sur Valparaiso « En la noche todo es más grande » en format plus grand. Acquiert le visa de résidence définitive au Chili.
La photo est une passion qui prend de plus en plus de place dans sa vie.
Photos de voyages et expéditions :http://uditurier-francois.blogspot.com/
On ira tous au Baletti : http://www.dailymotion.com/video/xx6wio_nous-irons-tous-au-baletti-en-integralite_tv
Doc Encuentro escultores : https://vimeo.com/76458508
Catalogue photos encuentro escultores : https://vimeo.com/66463963
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Proverbe turc
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Les nuits sont enceintes et nul ne connaît le jour qui naîtra.
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François Uditurier
you're watching you
Esperando el principio
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René Barjavel
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La nuit n'est nuit que pour nous. Ce sont nos yeux qui sont obscurs.
in Colomb de la lune***
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François Uditurier
El viento lleva a los hombres que no tienen raíces
En sus ojos pude ver ríos, montañas, mares, oceanos y desiertos
Las estrellas están muy lejos esta noche
Yo iré cuando quieras
Alice faces the night
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Natsume Sôseki
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Mon amour a la couleur de la nuit
Couleur des ténèbres
Que vient visiter la lune***
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François Uditurier
Mis deseos no son mas que bocetos
Del silencio ensordecedor
De la infinita emoción de escuchar latir un corazón
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Jack et la mort de Tim Bowley
illustration de Natalie Pudalov
OQO éditions – octobre 2013. 32 pages, 15,50 €.
Cette histoire inspirée de La mort attrapée dans une noix, un conte traditionnel britannique, traite avec délicatesse d’un sujet lourd et grave comme la mort d’une maman pour un petit garçon, et recèle un trésor de sagesse qui permet aux petits comme aux grands de comprendre, très facilement, une leçon des plus essentielles : la mort fait partie de la vie, elles sont indissociables.
En effet, quand le petit Jack croise « une silhouette élancée, vêtue d’une cape noire et le visage caché sous une capuche », qui cherche où se trouve sa maison, Jack comprend aussitôt que c’est la Mort qui vient chercher sa maman malade. Quoi de plus inacceptable pour un petit garçon ? Laisser la mort lui enlever sa maman ! Aussi comme il est malin, il va faire perdre du temps à la Mort en la défiant de nombreuses façons jusqu’à trouver le moyen de l’enfermer dans une bouteille.
Et ça marche ! Quand Jack retourne chez lui sa mère est en pleine forme, elle chante et veut manger. Elle l’envoie donc chercher du bacon. Mais qu’elle ne fut pas la surprise de Jack arrivant chez le boucher, de voir celui-ci aux prises avec un cochon qu’il n’arrive pas à tuer. Les poulets, c’est pareil, impossible de les tuer. Le couteau rebondit sut le cochon et les têtes coupées des poulets reviennent aussitôt sur leur cous. Qu’importe, dit sa maman, et elle l’envoie chercher des légumes au jardin pour faire une délicieuse soupe. Mais au jardin, c’est pareil, impossible de sortir les carottes de terre, pas plus que les pommes de terre, sans parler de ramasser des haricots ou même une pomme.
C’est comme ça que les jours passant, les villageois commencent tous à avoir très faim, et avec ça ils sont de plus en plus envahis de mouches, de puces, de moustiques… La maman de Jack se doute qu’il y est pour quelque chose et quand il lui raconte toute l’histoire, elle lui demande d’aller aussitôt libérer la Mort.
« Merci Jack, dit-elle aimablement,
Maintenant, tu comprends peut-être
que je ne suis pas l’ennemie de la vie.
Elle et moi, nous sommes les deux faces d’une même pièce.
Sans moi, la vie n’existerait pas. »
Jack et la Mort est un livre à mettre entre toutes les mains, sans hésiter. Surtout que, et ce n’est pas la moindre de ses qualités, les illustrations de Natalie Pudalov dans lesquelles s’insère le texte, sont absolument splendides, se déployant en double- page, elles font non seulement corps avec l’histoire, mais elles en racontent même un peu plus. Ce sont de véritables tableaux très originaux aux belles tonalités légèrement insaturées, qui mettent en valeur un rouge flamboyant, tel un fil rouge entre les doigts de la Mort, qui nous guide tout au long des pages. Vraiment, une réussite !
Cathy Garcia
Tim Bowley en plus d’écrire des livres de contes pour les enfants, voire pour les adultes, est surtout un conteur professionnel depuis 1984. Installé en Espagne, depuis son départ du Royaume-Uni en 2001.
Biblio : Historias de Ninguna Parte-Tales from Nowhere(Parablas del Candil) ; Semillas al Viento/Seeds on the Wind (Editorial Raices);El Rey Oso Blanco y Otros Cuentos Maravillosos(Kalandraka);No Escapatorio y Otro Cuentos Maravillosos(Kalandraka);Jamie planted an acorn/Jaime plantio una bellota (Kalandraka);Amelia wants a dog/Amelia quiere un perro(Kalandraka);I’m Scared/Tengo Miedo(OQO)
Natalie Pudalov est née à Niznii Novgorod en Russie en 1980. Toute petite elle a émigré avec sa famille a émigré en Israel. Elle a étudié à " Bezalel " Academy of Art & Design de Jérusalem et obtenu un diplôme en design graphique. Elle a également étudié l'illustration à l’Akademie Der Bildenden Kunste, à Stuttgart, en Allemagne.
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Pierre Dac
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Écouter les autres, c’est encore la meilleure façon d’entendre ce qu’ils disent.
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François Uditurier - Escafandro Paseo
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Hervé Delamare - Poétique de l'abeille
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Cathy Garcia - Hamac
Hamac aux teintes d’automne, or rayonnant, trésor de houle. Du rêve au réel, équilibre, gauche, droite, latitude.
Nous sommes tissés de force et de faiblesse, nos motifs sont uniques. Diversité de l’Un juste pour le plaisir ? Le seul, celui de l’instant. Le plaisir en différé n’existe pas, le plaisir est ici et maintenant, ce n’est pas une philosophie c’est un constat.
cg in Chroniques du hamac, 2008
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Peter Jamus
Photographe américain basé à Minneapolis