Proverbe brésilien
Là où le sang a coulé, l'arbre de l'oubli ne peut grandir.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Là où le sang a coulé, l'arbre de l'oubli ne peut grandir.
PANACHÉ ZEN
Il fait très beau, le ciel est très bleu, les oiseaux chantent très bien
C’est le jour du premier passage du nuage nucléaire japonais.
cg in Purgatoire du quotidien (Mi(ni)crobe n°32, 2012)
Il n’est de plus douce caresse que ta morsure,
Il n’est de plus bel espoir que tes yeux
Et tous ceux qui ne connaissent
Ni la joie, ni l’aventure,
Ni la soie de tes cheveux
Ne me comprendront pas.
Photographe anglais basé dans le Dorset
http://www.davidbakerphotography.co.uk/
C'est plus fort que vous : il vous est nécessaire de refuser une quantité considérable de rencontres, afin de préserver une chose dont la plus juste formule est "rien" ; ne rien faire, rien dire, presque rien être. Vous y découvrez le cœur subtil du temps, son cœur battu par le rien du sang dans les veines. C'est un état limite dont vous avez besoin, une mince ligne de rien entre l'ennui et le désespoir, et la joie qui passe en funambule sur ce fil, la joie qui se nourrit précisément de rien.
...et ma vie ne sera qu’une succession d’envols et de chutes, jusqu’à la dernière,
qui sera peut-être le dernier envol.
cg in Journal 2001
Et les étoiles à leur tour,
Comme torches funèbres,
Font les funérailles du jour.
Souffles et cendres, l’humanité crépusculaire est en marche.
Quelle cosmologue lui ouvrira grand les portes du ciel ?
cg in Le poulpe et la pulpe (Cardère 2011)