Jean-Marie Gourio
Un glaçon, tu l'amènes dans le désert, y reconnaît rien.
in L'intégrale des brèves de comptoir 1992-1993
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Un glaçon, tu l'amènes dans le désert, y reconnaît rien.
in L'intégrale des brèves de comptoir 1992-1993
Les nouvelles, moi, ça ne m'intéresse pas.
D'abord, le lendemain elles sont vieilles.
in Ne réveillez pas Madame...
Et moi, je passe mon temps à rêver d'un univers où l'homme ne viendrait pas au monde parmi des étrangers mais parmi ses frères.
in La valse aux adieux
http://chantalserene.4ormat.com/
Dieu meut le joueur et le joueur, la pièce.
Quel dieu, derrière Dieu, commence cette trame
De poussière et de temps, de rêves et de larmes ?
in L'auteur et autres textes
L'absence totale d'humour dans la Bible est une des choses les plus étranges de toute la littérature.
Alberto Gracia-Alix est le "voyou" de la photographie espagnol. Né à Léon en 1956, il est l'une des figures de la "movida" à Madrid, incarnation du non conformisme, ses portraits sont révélateurs d'un monde en marge de la société.
"Je n'ai pas un énorme ego, ce qui m'importe le plus, c'est l'art de la vie. J'aime les personnages à la tangente, à la frontière, je préfère les perdants, ceux qui marchent sur le fil entre bien et mal. La photographie me rend humble. J'ai une grande idée politique de la vie, je suis solidaire des êtres humains, de ceux qui sont exploités, rejetés, des victimes de la société comme moi."
Tout amour est infondé, tout amour est fou.
in Traversée des ombres
J’aime cette femme qu’il fait éclore en moi, cette femme qui n’est autre que la petite fille que j’étais et qui voit maintenant ses rêves devenir réalité.
cg in Journal 2001