Capella dos Ossos d'Alcantarilha et d'Evora - Portugal
"Nós ossos que aqui estamos pelos vossos esperamos"
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"Nós ossos que aqui estamos pelos vossos esperamos"
Le Quatre, le Trois, le Deux et le Un
La Rose Cosmique
Ce film, basé sur des images prises par Mars Express de l’ESA, met en lumière le Mawrth Vallis, un canal de sortie de 600 km de long et 2 km de profondeur à la limite des hautes terres du sud et des basses terres de Mars.
Depuis la nuit des temps, des individus ont vécu des expériences de mort imminente, des phénomènes d'expansion de conscience, ou encore des sorties hors du corps. Nous sommes allés à la rencontre de quelques-unes de ces personnes qui ont accepté de témoigner : qu'ont-elles vécu ? Qu'ont-elles vu ? En quoi ces expériences étaient bien différentes de simples rêves ou d'hallucinations ? Nous avons également interrogé des psychiatres, des psychologues en milieu hospitalier, et d'autres spécialistes pour tenter de percer la réalité de ces phénomènes. Que disent ces expériences sur notre conscience et sur la structure de la réalité ? Comment prendre conscience de la véritable nature de notre être ?
Intervenants : - Olivier Chambon (Docteur psychiatre) - Jean-Jacques Charbonier (Médecin anesthésiste-réanimateur) - Sylvie Déthiollaz (Docteur en biologie moléculaire, directrice de l’ISSNOE) - Eric Dudoit (Docteur en psychologie et psycho-pathologie) - Marc Boucher de Lignon, Nicole Dron, Philippe Raboud (témoins d’expériences de mort imminente) - Akhena, Claude, Tara (témoins d’états modifiés de conscience)
Ce film donne la parole aux coupeurs de feu, leveurs de verrues, de zona, d’eczéma, toutes ces personnes qui soignent par un don et qu’on regroupe sous le nom de « Panseurs de Secret ». A mi-chemin entre un documentaire anthropologique et scientifique, Panseurs de Secret est une exploration d’une des figures les plus méconnues de la culture populaire : les guérisseurs. Panseurs de Secret n’est pas une enquête sur le paranormal mais un témoignage sur cette pratique très répandue en France, décrypté par les meilleurs spécialistes. De l’ethnologue au neuroscientifique en passant par les prêtres exorcistes, chacun prend la parole pour expliquer ce qu’il sait de cette pratique. Ce sont, des vies d’études, des expériences inédites, les bases d’un savoir et des découvertes, que nous dévoilons ici pour tenter de comprendre cette pratique ancestrale toujours vivante aujourd'hui.
photo (c)Malika Hachid
Tandis que la Vierge (Maiden) est recherchée et la Mère révérée, la figure que représente la Crone (la vieille femme) reçoit peu d’attention.
Dans notre culture, les vieilles femmes sont souvent négligées et même insultées, et les dons qu’elles représentent, et souvent qu’elles ont à offrir, sont sous-évalués. La vieillesse peut être redoutée et perçue comme une perte d’attraction dans une société où le mâle domine et qui évalue les femmes seulement en fonction de leur potentiel de séduction et de fécondité. Pourtant, c’est dans la Crone que réellement le pouvoir féminin se présente et comme le sien propre.
La Crone est la Sage, l’observatrice, la tisserande, la guérisseuse et la modeleuse. Nous pouvons nous la représenter dans son cottage ou sa cave, rêveuse, en train de confectionner des préparations, en marmonnant. Elle ressemble de près à la Sorcière, ajoutant ainsi à la suspicion éprouvée à son égard. La Crone connaît les chemins entre les mondes et, de fait, elle comprend tout aussi bien les voies de ce monde. Cela peut faire d’elle un personnage dérangeant, mais elle est le réceptacle de la sagesse féminine, des connaissances accumulées de la femme qui n’est plus menstruée mais qui porte en elle-même la coupe de son pouvoir.
Nous envisageons la Crone comme la dernière du trio, mais les Celtes la percevaient première, avant la Vierge (Maiden), puisque la Crone est l’obscurité, et que l’obscurité a existé en premier, dans le vide primordial, avant que naisse la lumière.
Connaissant la valeur des ténèbres, les Celtes faisaient débuter leur jour à la tombée de la nuit, leur année à l’automne, à la fête de Samhain, et la Crone était révérée avant que ne brille la Vierge, donnant ainsi la place d’honneur à son indicible sagesse. Sa présence pénètre furtivement l’équinoxe d’automne et intensifie nos sensations de l’hiver.
La Crone est notre source de sagesse et de compréhension. Elle est la maîtresse de la Connaissance, celle qui recèle tout ce qui a été appris des ancêtres depuis des générations et des générations. Elle connaît les voies de la magie, elle comprend la transformation et elle tisse la toile cosmique, sachant que tout est une part de la Totalité. Elle peut être la douceur, la grand-mère aux joues roses dans son jardin d’herbes ou le fantôme de la terrible vieille harpie. La sagesse de la Crone est parfois douce, parfois acide, tandis qu’elle nous montre comment nous relier à l’univers et à notre Soi profond. Elle est ici sur le bout d’une tige, ou là, dans le grondement de l’orage. Nous pouvons aller à elle lorsque nous savons que nous avons besoin de changements, ou quand nous recherchons la compréhension profonde de toute chose.