Charles Baudelaire
Il faut être toujours ivre. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules, il faut s'enivrer sans trêve. De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous !
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Il faut être toujours ivre. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules, il faut s'enivrer sans trêve. De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous !
On ne cueille pas le fruit du bonheur sur l'arbre de l'injustice.
Je me fais confiance, de plus en plus et aussi et surtout quand je ne sais pas où je vais. Quelle importance ? En quoi cela changerait-il la course du soleil ?
cg in Journal 2005
Le bonheur, cette joie aiguë qui bouleverse le coeur,
cette espèce de spasme de l'âme.
in Un coeur aride
Le bonheur est une potiche posée
sur le nez d'un mandarin ivre et qui éternue.
Nous quittons ce continent à peine effleuré du regard. J’ai dans la tête des colliers d'orchidées mauves, des tresses de jasmin et le parfum incroyable des fleurs de frangipanier. Une tournée où peut-être après tout, nous ne sommes jamais vraiment descendus de l'avion... La mémoire a déjà commencé son travail de charognard. Elle ne laissera que des os parfaitement blancs, des souvenirs, essence de nos illusions.. Un nectar à déguster plus tard quand bien des pages auront été tournées. Les retours m'effraient toujours un peu. C’est la toute dernière ligne qui m'éloigne de l'Asie, immense, immense, pour me ramener à mon petit chez moi.
cg, juin 1999
in Calepins Voyageurs et après ?
Le bonheur est un festin de miettes.