Sarolta Bán
Voilà l’enfer ! S’accrocher à des illusions corrosives et visqueuses qui glissent entre nos doigts en nous arrachant la peau. Savoir que ce n’est qu’illusions, tout ça, tout ça qui fait si mal !
Il n’y a que la musique qui me sauve, qui m’emporte sur ses ailes. Pas de meilleurs mots pour apaiser que ces notes qui s’enchaînent follement, ces battements de cœur qui scandent la vie.
cg in Journal 1999