Bazaar Boutik - Batman à Cadix
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Le paysage serpente, devient vallon, s'érige en courbes boisées.
Des vagues de lumière intense affluent au ciel grisonnant.
cg in Calepins Voyageurs et après
Artiste canadienne
Je désobéirai si la justice et la vérité le veut.
in Pensées
Artiste iranienne, née le 21 September 1984 à Téhéran.
2005 Associate Degree in visual Art,Paintings Form Islamic Azad University.(Islam Shahr)
2002 Diploma in painting From Art school(Negarestan honar)Abadan
1996 to 1998 ,Attending in private art courses (Negarestan Honar)
Son travail très proche de l'art brut, en dit beaucoup :
http://www.forouzarei.com/gallery
Merci au Musée Improbable pour la découverte.
Le sentiment de l’injustice ne m’a jamais quitté (…)
ma fureur n’était pas seulement celle du forgeron poétique,
mais fureur d’adolescent persécuté.
Dans le monde insolite de l'artiste reclus Ferdinand Cooper, né en Californie en 1911, les réponses conduisent le plus souvent à plus de questions. Ce vétéran traumatisé de la Seconde Guerre mondiale a construit une petite cabane à Sanford, au centre de la Floride. Il y a vécu seul pendant près de 50 ans (1947-1998), sans électricité ni eau courante. La maison était son sanctuaire et il a passé sa vie à décorer l'intérieur et l'extérieur, avec des sculptures en bois et métal qui fournissent un aperçu du monde étrange et merveilleux dans lequel il avait trouvé refuge, loin du monde.
La surface de ce cabinet est un assemblage de bois et d'étain découpé sur lequel figurent des images d'horloges, un œil, des animaux, des croix, un trou de serrure, des lettres, des chiffres, des lunettes et de l'argent. L'intérieur est rempli comme si c'était une armoire à pharmacie, avec un blaireau sculpté, des brosses à dents, des prothèses dentaires et un pistolet.
En voir plus ici : http://www.cochranarts.com/wp-content/uploads/2014/02/ferdinad_cooper.pdf
Publié le 07/12/2014 à 03:50
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/07/2006303-cinquante-printemps-pour-la-barbacane.html
On ne présente pas Max Pons. Tout le monde connaît celui qui a été, pendant des décennies, le guide conférencier emblématique du château de Bonaguil. Mais ce que beaucoup, peut-être, connaissent moins est le passionné de poésie et le poète qui a obtenu, en 2011, le «Grand Prix de poésie de la Société des gens de lettres» dont il est par ailleurs sociétaire. Cet amour de la poésie l'a amené à créer «La Barbacane», dont nous fêtons les 50 ans, une revue qui a pour objectif de faire connaître de nouveaux talents. Nous avons rencontré Max Pons pour en savoir plus.
Comment est née «La Barbacane» ?
Nous étions au restaurant «Le Ménestrel» de Georgette et Roger Arnould, où j'ai passé des centaines d'heures, et nous étions quatre à table avec Jean Follain, notamment. Tout d'un coup je lui dis : «Jean, je crois que je vais créer une revue.» Je cherchais un nom depuis déjà quelque temps, je voulais quelque chose à consonance médiévale et un peu étrange pour le commun des mortels. Et il me dit : «Comment l'appellerez-vous ?» et je m'entends répondre : «la Barbacane.» Il me dit : «Excellent !» Il y avait trois semaines que je cherchais et c'est très curieux car je n'y pense qu'à cette seconde précise de la question, alors que tous les jours, j'avais une barbacane, celle de Bonaguil, sous les yeux.
Comment sélectionnez-vous les textes publiés ?
Avec des amis nous constituons un comité de lecture. Seule est prise en compte la qualité des textes. Mais souvent je ne peux pas les publier par manque de moyens. Il faut trouver des subventions car la poésie se vend très peu. Tout a marché grâce au bénévolat sinon l'aventure aurait été impossible.
Où en est la Barbacane aujourd'hui ?
Aujourd'hui c'est une glorieuse épave. Glorieuse, et c'est son grand triomphe, car elle est devenue mythique. J'ai quelques dizaines d'abonnés, pas quelques centaines et il devient de plus en plus difficile de joindre les deux bouts. Alors j'en donne davantage que je n'en vends. Mais j'ai voulu maintenir la haute qualité papier et une centaine d'exemplaires sont tirés sur papier Arches. Selon les spécificités du texte je choisis tel ou tel type de papier et telle ou telle typographie. Cependant j'ai toujours voulu qu'un ouvrier puisse acheter un numéro de la Barbacane et j'ai maintenu un prix abordable.
Comment voyez-vous l'avenir de votre revue ?
À moment donné, mon fils Stéphane s'en était bien occupé. Peut-être qu'un jour, il prendra la suite. Il lit beaucoup et il écrit également mais je ne veux le forcer en rien. Si la Barbacane doit avoir un avenir ce sera celui qu'une nouvelle génération de lecteurs lui donnera. En ce qui me concerne j'espère connaître le numéro 100 !
◈ DU CÔTÉ DES ANIMATIONS ◈
* Petite restauration *
* Des crêpes et du vin chaud *
* Un atelier d'impression de cartes de vœux *
◈ DU CÔTÉ DES EXPOSANTS ◈
* Hors-Cadre Impressions * Imprimerie Trace *
* Super Loto Éditions* Cathy Garcia *
* L'Atelier des Lisières * Tmtrj Records *
* Le Grenier de Lulu * Les Cuirs d'Aurélia*
* Sarah Couture * Indélébile Collectif *
ps : Cathy Garcia ET Nouveaux Délits bien-sûr, revues, livres
et même une toute nouvelle flopée de cartes !!
C'est chouette ! Venez nombreux !