Auteur inconnu - Capadoce, Turquie
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Pacifisme n'est pas passivité.
Pays taillé au burin
Pour les initiés de la solitude
La foudre frappe t’elle encore
Pour désigner le sorcier ?
La graine d’amour frémit
Au fond du trou de l’âme
Ondées, parfums, sèves
Brasier de coquelicots
Baiser de lavande
La buse tourne
À l’aplomb de la proie
Le lézard se débat
Dans la gueule du chat
cg in Je l'aime nature
Les conversations sur la pluie et le beau temps deviendront intéressantes quand apparaîtront les premiers signes de la fin du monde.
in Nouvelles pensées échevelées
J’exige trop de la flèche à Cupidon alors que paraît-il, on a ce que l’on mérite…
Pour jouer, je peux l’imaginer mon prince. Un étranger bien-sûr et nos âmes seraient jumelles. Incarnation de tout ce que j’admire. Un prince sauvage, au cœur ardent et généreux, un musicien, un poète sachant faire tourner les étoiles. Un homme, humain, qui marche sa parole.
Juste un héros en somme pour une midinette en mal de sensations fortes !
cg in Journal 1999
A son lit de mort, l'homme songe plutôt à élever son âme
que des lapins.
Je suis de la race des tourmentés, des maudits bénis qui ont perçu une dimension qui ne les laisse plus en paix. La poésie est une tentative de saisir l’insaisissable, nommer l’innommable et ainsi de suite mais la poésie véritable est difficile à manier. Elle n’est que souffle et subtilité, le trop ou le trop peu n’ont pas leur place, c’est un équilibre, un dépouillement, une nudité.
Tout donner et se retirer à temps pour ne pas être happés par nos créations.
cg in Journal 1999