Kibong Rhee
Des fantasmagories d’arbres solitaires émergent des champs recouverts de brume légère.
cg in Calepins voyageurs et après ?
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Des fantasmagories d’arbres solitaires émergent des champs recouverts de brume légère.
cg in Calepins voyageurs et après ?
dans le clos des balançoires
au doux cliquetis de résine
il y a des bouffées de mensonges
le miel se défait au centre
des vergers dépouillés
la beauté mal aimée
nous tend des allumettes
et d’autres combustibles
pour sortir de cette langueur
de bile pétrifiée
cg in Aujourd'hui est habitable
- et de s’écorcher les genoux
sur la ténacité des pierres.
in Fragments
Ce jour-là, tu auras appris tout ce qu'il faut savoir et en ouvrant ton petit sac de toile usée,
tu n'y trouveras que le vent.
in Oniromancie
Du 28 février au 24 mars 2018.
"Paysages intimes. Du lien Bretagne-Japon"
Et le plaisir d'y participer avec mes mots, ma poésie, dans la foulée de nos précédents Tissages de mots et d'images
Dans le cadre de la 2ème Nuit de la Poésie à Crest, le vendredi 2 février 2018, l'artiste mexicaine Anabel Serna Montoya qui avait illustré le numéro 59, spécial Guatemala, a présenté pour la première fois son installation "Morterranée" sur la thématique des réfugiés et migrants morts en Méditerranée. (Cyanotypes, aquarelles et encres de chines ont côtoyé un poème de Raúl Zurita cousu, ainsi qu'une installation au sol.)
Le Christianisme donna du poison à Éros : il n’en mourut pas, mais dégénéra en vice.
in Par delà le bien et le mal
Il y a un signe infaillible auquel on reconnaît qu'on aime quelqu'un d'amour, c'est quand son visage vous inspire plus de désir physique qu'aucune autre partie de son corps.