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LA SOURCE ORIGINELLE - Page 42

  • Ishtar, Inanna, Astarté, Isis, Aphrodite

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    Ishtar est le nom d'une déesse chez les Assyriens et les Babyloniens. Les Sumériens l'appelaient Inanna. Elle doit sa renommée à son activité culturelle et mythologique jamais égalée par une autre déesse du Moyen-Orient. À son apogée, elle était déesse de l’amour physique et de la guerre, régissait la vie et la mort. Elle semble avoir comme descendance Aphrodite en Grèce, Turan en Étrurie et Vénus Victrix à Rome. Elle a un aspect hermaphrodite (Ishtar barbata), comme beaucoup de déesses de ce type.

    La déesse iranienne de l'eau et de la fertilité Anahita (dont le nom signifie, tiens comme c'est intéressant, l'Imacculée) descend d'Ishtar de toute évidence :

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    500 à 300 av JC

     

     

     

     Inanna (Ishtar en akkadien) est considérée comme la fille du dieu ciel An ou Anu en Akkadien. Elle fait partie de la triade des dieux planétaires. Son symbole est l’étoile de Vénus et elle est la déesse de l’amour et par extension de la guerre. Elle dépasse son père et devient la déesse importante d'Uruk. Le sanctuaire d’Inanna à Uruk s’appelle l’Eanna. Elle se présente comme une femme fatale et on lui prête plusieurs aventures amoureuses. Chaque année au nouvel an, le souverain était tenu « d’épouser » l’une des prêtresses d’Inanna, afin d’assurer la fertilité des terres et la fécondité des femelles. Ce fut sûrement tout d’abord un rite propre à Uruk, qui s’est ensuite généralisé vers la fin du IIIe millénaire. Le roi remplace le dieu Dumuzi du mythe, et l’union avec la prêtresse, représentante de la déesse, a lieu dans l’Eanna. Les festivités étaient très joyeuses et se déroulaient dans l’allégresse. Ces hymnes de mariage sacré ont pu influencer le Cantique des cantiques, qui présente de nombreux traits similaires :

     

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    Astarté (du grec Ἀστάρτη) est une déesse connue dans tout le Proche-Orient, de l'âge du bronze à l'Antiquité, présentant un caractère belliqueux. Athtart à Ougarit, Shaushka ou Shaushga chez les Hourrites, Ashtart en langue punico-phénicienne, Ashtoret ou Ashtarot (עשתרת) en hébreu, elle est l'équivalent de la déesse mésopotamienne Ishtar (pour les babyloniens) ou Inanna (pour les sumériens). Implantée dans la mythologie égyptienne, sous les Ramessides. À califourchon sur son cheval, elle accompagne et protège le souverain. Elle devient la fille de Rê ou de Ptah, et est une des compagnes de Seth. Elle semble avoir comme descendance Aphrodite en Grèce, Turan en Étrurie et Vénus à Rome sous le nom officiel de Vénus Erycine. Elle est Tanit, chez les Carthaginois. Tanit est une déesse d'origine cananéenne de la fertilité, présidant aux naissances et à la croissance. Elle était la déesse tutélaire de la ville de Sarepta et son culte prit de l'ampleur à Carthage où elle était nommée Oum. Étant à la fois Vénus et la Lune, elle est considérée tour à tour comme une déesse vierge et une déesse mère. De là, dans son culte, des cérémonies et des actes symboliques qui se transformaient aisément en scènes de débauche, aboutissant à des excès sanguinaires et cruels. Comme Baal, Astarté est souvent honorée par des sacrifices humains, surtout par des holocaustes « sacrifices » d'enfants. On retrouve dans le culte d'Aphrodite les principaux traits de celui d'Astarté. Il est même probable que le nom d'Aphrodite (« Astoret », « Aphtoret », « Aphrodite ») et celui d'Amphitrite (Amphtoret) ne sont que des altérations du nom d'Astarté. Palé-Paphos (l'ancienne Paphos) est bâtie selon la légende vers le Xe siècle av. J.-C. par le phénicien Cinyras, le père de Myrrha, ou par les Syriens, selon d'autres. Les fondateurs y élevèrent, en l'honneur 'Astarté/Aphrodite, un temple connue dans tout l'Orient à l'époque d'Homère, la déesse Astarté y était adorée primitivement, sous la forme d'une pierre noire (la pierre noire de la Kaaba à la Mecque...?) :

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    1900 av JC

     

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    1200 av JC

     

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    Voyez les ressemblances avec la déesse syrienne Atargatis :

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    Il est évident qu'il existe de grandes similarités entre toutes ces déesses

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    La déesse aux serpents crétoise de la civlisation minoénne (1600 av JC)

     

    et bien d'autres, en Inde par exemple.

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    Yakshi, déesse de la nature

     

     

    qui nous conduisent vers Isis, Aphrodite

     

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    Isis-Aphrodite Figure, Egypt, 2nd century AD. The Metropolitan Museum of Art.jpg

    Terracotta figurine of Aphrodite removing her sandal. Votive offering from the Sanctuary of the Mother of the Gods and Aphrodite, Pella. Late 4th – early 1st c. BC..jpg

     

    et Vénus, en passant par Artémis d'Ephèse

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     puis dans une logique évidente où les influences se mêlent...

     

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    Begram, Afghanistan, 1er - Second siècle

     

     

     

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    Dame d'Ibiza  IIIe siècle avant J.-C. Puig des Molins, Ibiza

     

     

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    Dama Oferente de grès, 400 avant J.-C, provenant de Cerro de los Santos, Espagne

     

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    Dame de Baza, art ibérique du IVe siècle avant J.-C.

     

    jusqu'aux Vierges Chrétiennes, il est évident qu'il y a liens et continuité.

     

    Une seule et même entité : ELLE, l'originelle.

  • Les Sheela Na Gig

    Une Sheela Na Gig (ou Sheela-Na-Gig) est une sculpture figurative féminine aux traits grotesques, présentant une exagération du sexe et que l'on trouve dans les îles Britanniques.

    Elle se rencontre le plus souvent dans les églises et les châteaux, parfois accompagnée d'un équivalent masculin.

    Les Sheela Na Gigs seraient des protections contre le Diable et la mort, de même que les gargouilles et les représentations grotesques de démons dans les églises et cathédrales d'Europe.

    La plus célèbre des Sheela Na Gig se trouve dans l'église de Kilpeck, dans l'Ouest de l'Angleterre. Néanmoins, ces sculptures sont plus nombreuses en Irlande (101 recensées) qu'au Royaume-Uni (45 recensées).

    Il y a une polémique concernant l'origine et la signification du nom qui n'est pas traduisible de l'irlandais. Il est possible de rencontrer les termes Sheila, Síle et Síla. Le terme de Seán-Na-Gig a été créé par Jack Roberts pour désigner les sculptures masculines analogues aux Sheela Na Gig.

    Eamonn Kelly mentionne une phrase en irlandais qui contient les termes Sighle na gCíoch signifiant la vieille sorcière aux seins et Síle-ina-Giob signifiant Sheila sur les genoux (Sheila provenant de l'irlandais Síle, l'équivalent de Cécile ou Cécilia). Mais ces interprétations sont remises en cause car peu de Sheela Na Gig ont les seins visibles et la dérive de ina-Giob et na Gig ne fait pas l'unanimité.

    Sheela Na Gig désigne simplement pour Barbara Freitag une sorcière ou une vieille femme. Elle évoque dans son livre « Sheela-Na-Gigs : Unravelling an Enigma » (Sheela-Na-Gigs : Interprétation d'une énigme) une étymologie du terme et son évocation bien plus tôt que 1840, notamment un bateau de la marine royale et une danse appelés Sheela na Gig au XVIIIe siècle. Ce sont les plus vieilles mentions de ce nom mais il ne s'applique pas aux sculptures. Barbara Freitag indique que le terme désigne un esprit féminin irlandais et que gig était de l'argot de l'anglais nordique pour désigner les parties génitales d'une femme. Mais un mot actuel irlandais, Gigh (prononcé comme le prénom Guy) a la même signification et l'amalgame reste possible.

    Une hypothèse avancée par Jørgen Andersen dans l'ouvrage «The Witch on the Wall» (La sorcière sur le mur) et reprise par James Jerman et Anthony Weir est que ces sculptures ont vu le jour au XIe siècle en France et en Espagne avant d'être introduites dans les îles britanniques au XIIe siècle. Eamonn Kelly, conservateur des antiquités irlandaises au Museum National d'Irlande à Dublin remarque que la distribution des Sheela Na Gig en Irlande correspond aux zones envahies par les Anglo-Saxons. Les Sheela Na Gigs des églises auraient ainsi été apposées pour dénoncer la convoitise et la perversion que représenteraient les femmes.
     
    Une autre théorie, adoptée par Joanne McMahon et Jack Roberts, est que les Sheela Na Gig sont une rémanence de la religion pré-chrétienne de la fertilité et de la Déesse-Mère. Selon eux, les Sheela Na Gigs se seraient rencontrés dans des édifices du culte pré-chrétien et se seraient intégrées dans l'architecture des églises. Des différences ont été relevées avec les sculptures du continent où les figures masculines et des positions extravagantes sont beaucoup plus présentes que dans les îles britanniques, ce qui accréditerait la thèse d'une assimilation de ses représentations en Irlande et au Royaume-Uni.

    (source : wikipedia)

     

    C'est cette seconde théorie qui me parait la plus vraisemblable, ou en tout cas qui me plait le plus. Certaines évoquent la vie, d'autres plutôt la mort, deux aspects de la déesse. Suivons donc ses traces...

     

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    Dunaman Castle, Limerick, Irlande

     

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    Killeagh, Cork, Irlande

     

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    Kiltinan Church, Irlande

     

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    Cavan Museum, Irlande

     

     

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    Llandrindod, Wells

     

     

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    Fiddington, Somerset, Angleterre

     

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    Kilpeck, Herefordshire, Angleterre

     

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    Ballylarkin (Kilkenny) Irlande

     

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    Easthorpe, Angleterre

     

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    Penmon, Pays de Galles

     

     

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    Twywell, Angleterre

     

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    Lavey Cavan, Irlande

     

     

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    Ballinderry Castle près de Tuam County, Galway, Irlande

     

     

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    Woodkirk, Angleterre

     

     

     

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    Kilcoe Castle, Cork, Irlande

     

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    Eglise Sainte-Radegonde de Poitiers, France

     

    et en guise de clin d'oeil :

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    Déesse Lajja Gauri - déesse de la fertilité, une des formes de Devi - détail d'un pilier de bois sculpté), Vallée de l'Indus.

     La déesse Lajja Gauri est gravée par les hommes préhistoriques d'Europe Centrale avec son symbole "M+V" qui sont reproduits jusqu'au 3eme millénaire av.JC par les divers peuples héritiers de leur culture, des peuples du Danube a l'Europe de l'ouest, à la Mésopotamie et l'Indus et à la Chine de l'ouest.

     

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    La représentation graphique complète du modèle qui caractérise l’attitude Lajja Gauri semble avoir apparu en Europe Centrale, à Mezin en Ukraine, à la période de l’Age de glace, gravée sur plusieurs objets en ivoire de mammouth clairement associés au culte phallique dédié à la déesse de la sexualité.

    Pour moi, il y a là une preuve irréfutable que les Sheela-na-gig sont dans la continuité de ces représentations.

    La gravure des « Lajja Gauri » y est associée avec les signes qui désignent la déesse de la sexualité : M + V. « M » ou son inverse, est le graphisme de la position jambes écartées en offrande sexuelle.  « V » ou son inverse, celui du sexe féminin.

     

    On songe aussi aux Baubos de la Grèce antique, ces figurines en terre représentant une femme exposant son sexe. On dit que la représentation serait venue d'Egypte. Dans la tradition orphique de la mythologie grecque, Baubo (en grec ancien Βαυϐώ / Baubố est une figure féminine liée aux mystères d'Éleusis et à l'histoire de Déméter et Coré.

     

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    Ptolémaic, Egypte

     

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    Musée d'Agen, date de l'époque romaine

     

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    Statuette romaine

     

      

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    Pictogramme hopi

     

     

  • Les Déesses Mères

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    Laussel, Dordogne, FRANCE

     

     

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    Laussel, Dordogne, FRANCE

     

     

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    Venus de Hohle Fels (6cm de haut), en défense de mammouth, trouvée en 2008 près de Schelklingen, Allemagne. Datée entre 35.000 & 40000 ans

     

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    Abri Pataud, Dordogne, FRANCE

     

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    Awdiejewo, Kursk - RUSSIE

     

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    Venus de Galgenberg, serpentine, 30000 ans

     

     

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    Balzi Rossi - Communauté de Monaco

     

     

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    Dolní Věstonice - Brno - République Tchèque - Céramique - 26000 av JC

     

     

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    Gagarino - Voronezh - RUSSIE

     

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    Isturitz, Paus Basque, FRANCE

     

     

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    Kostienki, Voronej - RUSSIE

     

     

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    Malte


     

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    Milandes, Dordogne - FRANCE

     

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    Montpazier, France

     

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    Moravany nad Váhom - près de Piestany, Slovaquie

     

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    Tursac, Dordogne, calcite

     

     

     

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    Cireuil, Dordogne

     

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    La Mouthe, Dordogne - FRANCE

     

     

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    Parabita - province di Lecce - ITALIE

     

     

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    Pavlov, Tchéquie

     

     

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    Pileta, Espagne

     

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    ROC-aux-SORCIERS, Angles-sur l'Anglin, Vienne - FRANCE

     

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    ROC-aux-SORCIERS, Angles-sur l'Anglin, Vienne - FRANCE

     

     

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    Savignano sul Panaro, Province de Modène - ITALIE

     

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    Willendorf, Autriche

     

     

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    Zaraysk - Oblast de Moscou - Russie

     

     

    Une mine de déesses ici : http://www.nihilum.republika.pl/

     Merci à JL Millet pour ce lien fabuleux !

     

     

    Et puis encore :

     

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    Çatalhöyük 15,5cm, 6ème millénaire

     

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    Çatal Höyük, Anatolie, Turquie

     

     

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    Çatal Höyük, Anatolie, Turquie

     

     

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    Çatal Höyük, Anatolie, première motié du VIe millénaire av. J.-C., Turquie

     

     

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    Ankara, Turquie, Néolithique

     

     

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    Déesse Hacilar terre cuite, 24cm, 6ème millénaire

     

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    Hacilar, Anatolie, fin du néolithique, Chalcolithique, VIe millénaire av. J.-C.

     

     

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    Déesse inconnue, Vallée de l'Indus, Bactriane

     

     

     

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    Déesse inconnue, Balochistan. 6,000-3,000 av JC

     

     

     

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    Culture de Halaf, Syrie, Tell Halaf, néolithique ancien

     

     

     

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    Thrace, néolithique

     

     

     

     

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    Golovita, culture de Hamangia (VIe-Ve millénaire, Roumanie).

     

     

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    Cucuteni, Ve millénaire, province de Moldavie, Roumanie

     

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    Roumanie 4000 av JC

     

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    El-kadada, Khartoum, néolithique

     

     

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    Déesse mère Mongolie

     

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    Anatolie, Chalcolithique, Turquie

     

     

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    Vallée de l'Indus - 3000 à 2500 av Jc

     

     

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    Chypre, Chalcolithic, 3000 - 2500 av JC

     

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    Oronte - 1300- 1400 av jc

     

     

       

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    Kamakhya, yoni de la Déesse Mère, déesse des menstruations, Inde

     

     

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    Déesse aztèque Tlazolteotl, Mexico

     

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    Cihuacoatl, Mexique

     

     

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    Cihuacoatl, Mexique

     

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    Mutwa Nomkhubulwane, la toute puissante déesse mère africaine