Roger Ballen - Seed pods

 

 

Pays taillé au burin

Pour les initiés de la solitude

La foudre frappe t’elle encore

Pour désigner le sorcier ?

La graine d’amour frémit

Au fond du trou de l’âme

 

cg in Parfum de causse, 2013

 

 

Roger Corbeau - Mylène Demongeot dans Les sorcières de Salem de Raymond Rouleau

Roger Ballen - Shadow Chamber

 

 

Né à New York en 1950, Roger Ballen travaille depuis 1982 en Afrique du Sud. Son style a évolué du photojournalisme vers une vision artistique plus singulière. Son travail a été exposé dans d’importantes institutions à travers le monde et fait partie de nombreuses collections, comme celles du Centre Georges-Pompidou, de la Tate Gallery à Londres, ou encore du musée d’Art moderne de New York. Il a été lauréat du Prix des Rencontres internationales de la photographie d'Arles en 2002. « N’appartenant à aucun genre photographique précis, bien qu’habitée d’une indiscutable force documentaire sociale, (son œuvre) est devenue, au fil du temps, incontestable tout en ne cessant de gagner en complexité », Dominique Eddé, Photo Poche N°140, éditions Actes Sud.

http://www.rogerballen.com/

Roger Ballen - Boarding house

Michel Eyquem de Montaigne (1533-1593)

 

L’enfant n’est pas un vase qu’on remplit,

mais un feu qu’on allume.  

 

 

  

 

Roger Ballen - Asylum of the birds

 

James Maher - Waiting in Grand Central Station, New-York - 2003

 

 

 

Je me sens trois petits points de suspension et on verra. J'attends ma prochaine solitude pour voir ce qui reste de tout ça.

 

cg in Journal 1996

 

 

 

Matsuo Bashô

Aux admirateurs de lune
les nuages parfois
offrent une pause 

Roberto Palladini - The Window, 2012

Roberto Kusterle

 

 

Aimer, c'est une raison de vivre. L'amour est le but et le chemin, l'amour qui croît dans nos racines nous permet de porter la fleur toujours plus haut !

L'amour terrestre conduit à l'amour cosmique.

Quand ce dernier nous a touchés, il n'est plus possible de détourner la tête, nous ne pouvons que regarder la vie bien en face, sans peur, sans mépris et sans orgueil. Ceux qui sont touchés, portent la joie en eux, et souffrent plus pour les autres que pour eux-mêmes. Ils sont plein de compassion pour tout ceux dont les boutons de fleurs se recroquevillent, se flétrissent et disparaissent. Ceux qui ne savent puiser dans leur racine autre chose que des épines, toujours plus d'épines...

 

cg in Journal 1996

 

 

 

 

Roberto Kusterle

 

 

 

 

 

Roberto Kusterle est né à Gorizia, Italie en 1948 et s'intéresse à la photographie depuis la fin des années 80. Il a engagé un travail original de recherche sur de la place de l'homme dans la nature et la frontière entre rêves et réalité.

http://www.robertokusterle.it/