Pablo Lopez Luz - Mexico city
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Mais on ne peut plus ignorer les inégalités sociales, terribles au Mexique. La pauvreté du pays a été délibérément aggravée, la richesse se concentre entre les mains de quelques-uns et il y a des millions de pauvres. En même temps, on renforce l’armée et la police, parce qu’on sait que la réaction populaire peut éclater à tout moment. (…) Les personnes non seulement sont marginalisées, mais elles sont jetables.
in Ni vivants, ni morts – La disparition forcée au Mexique comme stratégie de terreur
Le sommeil t’attend. Tu n’en veux pas. Pourtant les draps frais sentent si près la mélancolie de l’enfant. Cet état qui t’apeure.
Comme un licol sur l’encolure d’un mustang.
in Des abribus pour l’exode
une botte de jeunes et tendres poireaux , un oignon, deux gousses d'ail, deux verres de millet doré cru, des graines de chia et d'amarante, un fond de coulis de tomate, cumin et coriandre en poudre, des herbes aromatiques séchées (dernière salve de mon mélange de l'été dernier : thym, sauge, romarin, origan, sarriette) et deux ou trois feuilles de laurier, une pincée de gros sel, de l'huile d'olive
Faire revenir dans une cocotte à l'huile d'olive les poireaux émincés (blancs et verts), rajouter l'oignon émincé, puis l'ail haché, bien mélanger et laisser revenir jusqu'à ce que les légumes soient un peu fondants, en rajoutant les herbes, les épices et une pincée de gros sel, verser ensuite six verres d'eau plus un peu de coulis de tomate, bien mélanger et rajouter deux ou trois feuilles de laurier, monter à ébullition,quand ça bout, verser le millet et les graines de chia et d'amarante, couvrir et baisser le feu et laisser mijoter jusqu'à absorption du liquide, environ 20 mn, puis laisser encore reposer 15 mn avant de servir. Poivrer dans l'assiette. C'est très délicieux :-).
Alors, je ne le préciser pas à chaque fois, mais je ne cuisine qu'avec du bio et/ou du local, du vrai bio, pas de supermarchés conventionnels, et avec ce que je peux cultiver moi-même (et je manque de terre et d'une exposition adéquate donc c'est surtout à la belle saison) ou cueillir dans la nature.
Trois des poèmes extraits de "Réalité dispersée" publiés dans ce numéro.
Lus par moi-même.