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  • Odilon Redon

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    Odilon Redon, né Bertrand Jean Redon le 22 avril 1840 à Bordeaux et mort le 6 juillet 1916 à Paris. Il fut un peintre symboliste et coloriste de la fin du XIXe siècle

     

     

     

     

     

     

  • Nicolas Kalmakoff

     

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    Deux femmes et un cerf, 1925

     

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    Medusa, 1924

     

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    Atlas et les Hespérides, 1911.

      

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    Trois femmes chevauchant un monstre, 1911

     

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    Astarte 1926

     

     

    Nicolas Kalmakoff (1873-1955), né à Nervi sur la côte ligure d'un père russe, général, et d'une mère italienne, ce peintre singulier fut dès son enfance nourri de fantastique par sa gouvernante allemande. Sorti en 1895 de la très aristocratique École impériale de droit de Saint-Pétersbourg, il n'en retient guère, mais pour la vie, que la raideur, une certaine morgue et le goût des duels. Plusieurs années durant, en Italie, un travail à l'hôpital le confronte quotidiennement à l'anatomie de corps souffrants tandis qu'il se met, seul, à la peinture qui devient bientôt son unique préoccupation. Malgré des expositions avec le groupe du Monde de l'art (Mir Iskusstva), il reste une figure isolée. Après la révolution, il fuit dans les pays Baltes où il continue à peindre tout en rêvant d'un possible retour. Pourtant, en 1924, il quitte les marches de ce qui tarde à redevenir l'empire russe et se fixe définitivement à Paris. Il aura encore deux expositions, l'une à Bruxelles en 1924, l'autre à Paris en 1928, avant de sombrer dans l'oubli et le dénuement. Mais il continue de peindre, et les tableaux s'accumulent tandis qu'il relit indéfiniment Le Chef-d'œuvre inconnu de Balzac. En 1941, à soixante-huit ans, il rencontre sa dernière femme, une voisine guatémaltèque entre deux âges, également compagne, à ce qu'il semble, d'un pope. Six ans plus tard elle le met à l'hospice russe pour vieillards indigents de Chelles et confisque ses toiles. Il meurt en 1955. C'est au hasard des Puces et à la perspicacité de deux passionnés, Georges Martin du Nord et Bertrand Collin du Bocage, que nous devons la redécouverte de Kalmakoff. Deux expositions ont suivi à Paris, l'une en 1964 à la galerie Motte et surtout la grande rétrospective de 1986 au musée-galerie de la Seita, au catalogue de laquelle nous devons l'essentiel de notre information, ont révélé au grand public une œuvre et un destin si cohérents dans leur étrangeté qu'ils pourraient être inventés.

  • Ernest H. Brooks II

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    Ambassadeur de l'environnement marin, photographe, aventurier, plongeur et éducateur, Ernest H. Brooks II était né pour être un photographe. En tant que fils de Ernest H. Brooks, fondateur de l'Institut de Photographie Brooks à la renommée internationale, Ernie Brooks était destiné à suivre les traces de son père durant une partie de sa vie avant de tracer son propre chemin.
     
  • Nele Azevedo - Minimo Monumento

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    Née en 1951 à Santos Dumont dans le Minas Gerais, Nele AZEVEDO vit et travaille à Sao Paulo. Artiste confirmée, elle appartient au collectif “LINHA IMAGINARIA”, créé en 1998 à l’initiative d’un noyau d’artistes brésiliens avec lequel elle participe à de nombreuses expositions au Brésil et à l’étranger.  Ce collectif compte aujourd’hui 500 artistes brésiliens. Depuis 1996, Nele AZEVEDO diplomée de l’institut des arts visuels UNESP de São Paulo organise également des expositions individuelles.  Le projet « Minimo Monumento » est une proposition d’action urbaine qui date de la fin 2001. Depuis lors de nombreuses villes ont été parcourues : Sao Paulo, Campinas, Brasilia, Salvador, Curitiba, la Havane, Tokyo et Kyoto Paris, Berlin...   Il s’agit d’un projet d’intervention urbaine considéré comme une étude critique du monument dans les villes contemporaines. Il finit par constituer une espèce “d’anti-monument” en proposant non seulement de nouvelles formes et matériaux mais aussi un nouvel objet de célébration de la mémoire. A la place de l’éternité de la pierre, la nature éphémère de la glace, à la place d’un site permanent les divers points de l’espace urbain, à la place du héros l’homme ordinaire. La ville est prise en tant que lieu de la condition humaine.  Dans ce lieu, dans un corps menu (environ 20 cm) vite périssable est introduit un corps moulé en glace.  Il n’est plus permanent, ni monumental, mais anonyme. Il transpire. Il disparaît. Ainsi, le travail consiste à modeler les corps, les mouler en glace, parcourir la ville afin de délimiter un champ d’action et, finalement, installer les sculptures dans des lieux publics. Pendant vingt-cinq minutes, le temps de fonte, les sculptures sont visibles. Elles attirent l’attention du passant qui se surprend par la nature éphémère de la glace, transparente métaphore de la finitude humaine. L’évènement est enregistré. L’idée et la mémoire sont inscrites sur l’image photographique. L’installation comporte une série de 10 à 15 photos (20cmx30cm et 15cmx21cm) par ville visitée et une oeuvre vidéo, soulignant quelques moments de ce parcours à travers les différentes villes.

  • Julien-Adolphe Duvocelle - Crâne aux yeux exorbités et mains agrippées à un mur, vers 1904

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    Julien-Adolphe Duvocelle (1873-1961). Lors de sa formation sa formation aux Beaux-Arts, il fut élève de Bonnat, lui-même peintre académique célèbre pour ses portraits dont plusieurs sont conservés au musée d'Orsay. La lecture des livrets des Salons des artistes français, où Duvocelle expose régulièrement entre 1897 et 1927, apprend qu'il se consacre essentiellement, lui aussi, au genre du portrait, et de manière plus précise, aux portraits de femme. A l'Exposition universelle de 1900, il obtient une médaille de bronze avec le Portrait de ma mère.