H.G. Wells
Nous ne sommes que fantômes, et fantômes de fantômes, désirs semblables à des ombres de nuages et à des brins de paille qui tourbillonnent dans le vent !
in Un rêve d'Armageddon
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Nous ne sommes que fantômes, et fantômes de fantômes, désirs semblables à des ombres de nuages et à des brins de paille qui tourbillonnent dans le vent !
in Un rêve d'Armageddon
De l'exaltation, de l'intensité ! L'émotion comme une drogue, je sais,
je suis encore en train de me perdre avec des chimères,
des désirs flous et impossibles à satisfaire.
cg in Journal 1997
Un numéro préparé par Thierry Roquet - de bonne augure donc - qui m'y a gentiment invitée avec plein d'autres, et des illustrations de Francesco Pittau.
et le mi(ni)crobe associé : un poète canadien anglophone (un peu extra-terrestre) parait traduit par Eric Dejaeger :
"only a plum
lasts a plum"
"seule une prune
dure une prune"
http://courttoujours.hautetfort.com/sport/
Entre les seins,
Au bas d’un ventre de sable fin,
Elle voit le buisson du sexe.
On la sait qui sourit,
Elle est jardin d’Eden
Et ignore la faute.
in Torse nu
Comme elle
L’île a des douceurs,
L’île a des touffeurs
De phéromones en mélange,
D’endorphines à la peau fine.
in Île où Aile ?
Noir
Le droit regard
Qui paraphe
Et souligne
Le pacte secret
in La pierre
« il y a longtemps que je n’avais pas fait l’amour comme ça ».
Ils me disent tous ça ou c’est juste une impression ?
cg in journal 2005
Ruisseaux de poudre, craquant de la soie.
Dans les ruelles, la folie esseulée rôde, dérive oppressante.
Des frissons déshabillent un escalier, l’ombre rose à genoux, conspire.
cg inCelle qui manque (Asphodèle 2011)
Les mots peuvent être des pièges, des limites, des verres opaques entre nous et l'ultime réalité, entre nous et les autres, entre nous et notre propre conscience. L'amour également, peut finir par être un piège, où les identités de chacun se déforment... Jeu de miroirs !
cg in Journal 1997
Quand tu seras devenue très belle
A force de souffrir
Quand tu seras devenue très belle
Je m’approcherai sur la pointe des ailes
Je toucherai tes paupières
Ton torse tes seins
Et surtout tes jambes
Je toucherai aussi tes blessures
Je tendrai l’oreille vers ton cœur
Comme si la nouvelle saison
Devait surgir du sud de ton être brûlé
J’écouterai car dès aujourd’hui je crois aux oiseaux de ton sang
In Riverains de la douleur