Alex Stoddard
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Une fenêtre qui donne sur le monde peut se couvrir avec un journal.
in Nouvelles pensées échevelées
Baby Boom : Né en 1945, j'ai cultivé l'étrange conviction d'appartenir à la première génération d'hommes civilisés qu'il y aurait sur la terre : finies la guerre, la religion, les censures, la violence, les tyrannies, l'injustice, le racisme, la misère et la faim. Je cherche où, par qui, cette atroce illusion m'a été inculquée. Je ne trouve sérieusement que... le Journal de Mickey !
in Abécédaire malveillant
(c)Andrianina Ramim'S
il y a des déchets qui font pencher le jour
in Oncle Bo (TB 65)
(c) Misonga FIHANKA
Dire l’instant émerveillé devient insolence
Aux hommes obscurcis par trop de misère.
in L’éponge des mots
(c)Johann Nirina Niaina
(c)Joycepic
(c)N. Rafolo
GEORGE Nous grattons tous des étiquettes, ma petite fille… Et quand on a gratté la peau, quand on a percé le cuir, toute la graisse, fouillé à travers les muscles et farfouillé à travers les organes (à NICK)… quand ils existent encore… (à HONEY) et quand on arrive enfin jusqu’à l’os… vous savez ce qu’on fait ? HONEY (très intéressée) Non. GEORGE Quand on arrive à l’os, il y a encore tout un travail à faire. (Il pointe un doigt, un léger temps, sadique.) Hé !... c’est qu’à l’intérieur de l’os il y a quelque chose qui s’appelle… la moelle… et c’est la moelle qui est bonne, délicieuse !... C’est ça qu’il faut extraire.
in Qui a peur de Virginia Woolf