Lamartine
On n'a pas deux cœurs, un pour les animaux et un pour les humains.
On a un cœur ou on n'en a pas.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
On n'a pas deux cœurs, un pour les animaux et un pour les humains.
On a un cœur ou on n'en a pas.
Je suis une exaltée qui ne comprend la vie que lyriquement, musicalement avec des sentiments beaucoup plus forts que la raison. J’ai une telle soif de merveilleux, et seul le merveilleux a de la puissance sur moi. Le reste, quand je ne peux plus le transfigurer en merveilleux, je le laisse. La réalité ne m’en impose pas. Je ne crois qu’à l’ivresse, qu’à l’extase, et quand la vie ordinaire m’entrave, je m’en échappe par un moyen ou par un autre. Plus de murs.
Non il y en a qui jettent les verts de poireaux ? C'est fou, ça ! Outre l'usage le plus courant, celui de la soupe, avec d'autres légumes, ou des lentilles, de l'ail, des épices, un peu de crème et hop, délicieux, donc outre la soupe, on peut aussi en faire une crème à tartiner.
Verts de poireaux, lavés, émincés, huile d'olive, deux, trois gousses d'ail, un cuillère à soupe de tahin, le jus d'un demi citron, coriandre moulue, thym, sarriette et romarin frais, crème liquide de soja.
Dans une cocotte, faire revenir à l'huile d'olive, les verts émincés, quand ils commencent à être tendres, rajouter l'ail en petits morceaux, les herbes et un verre d'eau, couvrir, laisser cuire à feu doux jusqu'à ce que les verts soient très tendres. Hors du feu, rajouter la coriandre, le tahin, le jus de citron, un peu de crème. Mixer le tout, et rajouter de la crème si besoin, jusqu'à obtenir la texture voulue. Se mange chaud ou froid. Cette préparation peut aussi servir à garnir un fond de tarte.
Laissant derrière elle le stress de nos sociétés modernes, une famille s’embarque pour le voyage d’une vie. Avec leurs trois enfants en bas âge, le couple part jusqu’au bout du monde à la recherche d’une nouvelle perspective sur l’existence et le monde dans lequel nous vivons. Ils vont rencontrer des personnes d’une humilité et d’un charisme hors du commun ; des êtres vivant à l’écart de notre société moderne dans des endroits reculés. Ils sont au service de leurs communautés qui les appellent « hommes ou femmes médecines », chamanes, guérisseurs ou gardiens de la Terre.
Rolf Winters vient du monde de l’entreprise. Son incessante soif de comprendre et de mieux utiliser le potentiel humain l’a mené à fonder sa propre structure de conseil en management à l’âge de 30 ans.
Pendant les dix années qui ont suivi, il a voyagé dans toute l’Europe en tant que conseiller de direction et coach, travaillant pour les plus grandes multinationales. Sa grande expérience en compagnie de dirigeants et de décideurs au sommet de la hiérarchie ont également donné à Rolf un aperçu de l’emprise que les structures établies ont sur les organisations et leurs dirigeants ; de l’effet dramatique de leur vision à court terme et de leur manque de vision holistique.
Il commença à chercher une autre perspective et la clef d’un renouveau. Quand il découvrit les principes et le mode de vie des Anishnabe (les premiers Amérindiens), il sentit qu’il avait trouvé cette clef. Le mode de vie des Amérindiens et leur vision de l’existence ont eu une telle résonnance chez Rolf et sa femme qu’ils ont décidé de quitter leur confortable vie métropolitaine. Afin de mieux comprendre la sagesse et l’héritage des Amérindiens, ils se sont retirés durant quatre ans dans la forêt avec leurs trois jeunes enfants, sur la péninsule supérieure du Michigan. Puis, Rolf a décidé de partir en voyage autour du monde pendant un an avec sa famille, à la recherche des Gardiens de la Terre.
En moi est un puits, profond, secret, gardé par un dragon à six têtes. L’humain qui parviendra à vaincre, ou mieux à amadouer cette bête, découvrira peut-être, peut-être, un trésor inestimable. Moi-même je ne sais pas à quel point. Mais le dragon est féroce, rien ne lui échappe, il n’est ni juste, ni cruel, il est simplement lui-même, une énergie indomptée. Il méprise sans doute un peu les êtres humains, mais il veut bien croire qu’un jour viendra où il s’inclinera devant l’un d’eux.
cg in Journal 1995
Je n’ai pas fui ces montagnes.
Mais comment revenir sans bagage vaniteux
Dans le territoire de l’enfance qui vacille ?
in L'éponge des mots