Mont d'Accoddi, site archéologique mégalithique entre Sassari et Porto Torres, Sardaigne

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.


on ne peut que penser à Ishtar
ou à La déesse aux serpents crétoise de la civilisation minoenne
et donc à Lilith...
Au cours des 16ème et 17ème siècles, en Allemagne, plus de 100.000 personnes furent torturées et exécutées à la suite d’accusations de sorcellerie. Dans les diocèses de Cologne, Trèves, Cambrai, Malines, Tournai, Anvers, Namur, Metz et Liège, 17 conciles, tenus entre 1536 et 1643, avaient appelé à la répression de la sorcellerie. Les autorités protestantes firent de même. Aux Provinces-Unies, entre 1580 et 1620, 15 synodes condamnèrent et excommunièrent les sorciers. Dans la deuxième moitié du 16ème siècle, l’archevêque Jean de Trèves fit brûler tant de sorcières que dans deux villages il ne resta plus que deux femmes. Il fit brûler, entre 1587 et 1593 et ceci dans 22 villages, 368 « sorcières ».
Pendant la deuxième moitié du 17ème siècle, au cours duquel un million de personnes, bien souvent des femmes, furent victimes de ce processus d’extermination. A Wurzburg en Allemagne, le Prince Evêque Philippe Adolf von Ehrenberg qui régna de 1623 à 1631, fit brûler 900 « sorcières », dont 219 sorciers, 18 jeunes garçons en âge d’aller à l’école, une fille aveugle, une enfant de neuf ans et sa petite sœur. En Allemagne, l’évêque de Bamberg fit encore brûler 600 femmes, l’évêque de Salzburg 97 : l’évêque Gottfried Johan Georg II Fuchs von Dornhem, qui régna de 1623 à 1630, fit brûler au moins 600 « sorcières », ce qui lui valut le surnom de « l’évêque des sorcières » ou « le brûleur de sorcière ». Un décan de Mayence fit brûler plus de 300 personnes dans deux villages, dans le seul but de s’accaparer leurs biens......
Source : http://matricien.org/matriarcat-religion/paganisme/sorciere/
Les autorités de la ville belge de Newport sur la côte de la mer du Nord, ont réhabilité 17 résidents locaux, qui ont été brûlés vifs sur le bûcher au 17ème siècle. Parmi eux se trouvaient 15 « sorcières » et deux « sorciers ». En mémoire de «l’erreur historique», l’hôtel de ville a installé une stèle, qui énumère les noms de tous les adeptes de l’occulte exécutés.
Les autorités locales ont également fait rapport sur l’organisation de la « fête des sorcières » la semaine suivante, qui encore a lieu tous les deux ans. 37 sorcières exécutées en 1627 en Allemagne ont été également réhabilitées, a indiqué le journal Local en référence à des médias locaux. Le conseil municipal à Cologne a réhabilité à l’unanimité des femmes pauvres (non mariées), qui ont été accusées de relation avec le diable il y a 400 ans.
Cependant, cette décision du Conseil n’a aucun effet, malheureusement, car les autorités de l’Allemagne moderne n’ont pas le droit d’annuler les jugements rendus en conformité avec les lois de l’Empire romain.




S’il est des livres qui sèment le trouble, il en est d’autres qui sèment la mort, et le Malleus Maleficarum est peut-être celui qui aura causé le plus de massacres à travers l’Europe.
Dés 1199 Inocent III (pseudo très paradoxal) institue une bulle qui lance les prémices de l’inquisition. En 1231 En créant la constitution « Excommunicamus », le pape Grégoire IX met en place l’Inquisition.
En 1233, c’est le début de l’inquisition en France, et en 1239, Robert le Bougre fait brûler 183 personnes en Champagne suite à une rafle à Provins : c’est le bûcher du Mont-Aimé, le premier d’une longue série.
La chasse aux sorcières ne fait que commencer et s’étirera dans le temps, elle trouvera son apogée avec l’édition en 1486 du premier exemplaire du Maleus Maleficarum, autrement connu sous le nom « Le marteau des sorcières ».
Inspiré par les précédents livres, le Directorium Inquisitorum de Nicolas Eymerich (1376) et le Formicarius de Johannes Nider (1435), sa première partie traite de la nature de la sorcellerie, la seconde à la capture et à l’éradication des sorcières en passant par l’extorsion des aveux par la torture, le jugement hâtif et la condamnation à mort expéditive des accusés (en grande partie des femmes).
Ce livre permettait aux inquisiteurs de mener à bien l’éradication des sorcières, de localiser ces créatures démoniaques (souvent sur une simple délation) repérer sur le corps des « sorcières » la marque du Diable sous plusieurs formes, au point que finalement, il était toujours possible d’en trouver une si on la cherchait ! Puis torturer pendant le procès pour obtenir les aveux nécessaires ("soumettre à la question"), et finalement, lorsque les supplices étaient terminés, pour la majeure partie des victimes de ce rouleau compresseur, le compte-rendu de l’audience se terminait généralement par le salut final : le bûcher…
34 rééditions entre 1487 et 1669, période au cours de laquelle la chasse aux sorcières fut la plus intense.
En France il est difficile de chiffrer le nombre de victimes, Il ne reste « que » les 49092 dossiers conservés pour la période 1540-1700 et dépouillés par Jaime Contreras et Gustav Henningsen. Dans 1,9 % des cas, les intéressés périssent sur le bûcher. Il faut ajouter à ces victimes celles des tout premiers temps de l’Inquisition et du XVIIIe siècle, dont on conserve quelque 4 500 dossiers et à Rome, en 1559 avec la destruction du palais de l’Inquisition, ce sont des centaines de milliers de procès qui disparaitront à tout jamais.
Avec plus de 100 000 victimes, L'Espagne garde la palme d’or des condamnations.
Quels bruits y a-t-il dans le vide intersidéral ? C’est précisément à cette question que ces enregistrements fournis par la NASA répondent en musique. Cela dit, les bruits de l’espace ne ressemblent en rien à ceux que nous pouvons entendre dans notre quotidien sur Terre. Ainsi, en raison du vide qui entoure la galaxie, les enregistrements sonores de la NASA résultent d’ondes électromagnétiques qui émettent des vibrations à la façon des ondes sonores que nous avons sur notre planète.
C’est donc grâce à plusieurs sondes envoyées dans l’espace par la NASA que ces ondes ont pu être traduites de façon sonore. Ces enregistrements spatiaux diffèrent selon l’environnement dans lequel les ondes électromagnétiques ont été captées : de Venus à Jupiter en passant par la Terre, la « musique » de l’espace est aussi variée que terrifiante…


Boucle de nez


Boucles de nez

Masque cérémoniel

Seigneur de Las Limas

"Homme-serpent"

Masque


dit "chien à roulette", moi je vois plutôt un bébé jaguar ce qui semble bien plus évident vu que les Olmèques adorait le Jaguar, mais ce qui frappe surtout ce sont les roulettes...........alors qu'on pense que la roue n'existait pas à ce moment là sur ce continent....

La plus énigmatique des cultures, apparue comme de nulle part à un stade déjà très avancé, au Mexique entre 1200 et 900 avant J.-C., considérée comme la civilisation-mère de la Mésoamérique, connue surtout pour ses énormes têtes au traits négroïdes.

(c)Justin Kerr

On appelle Homme vert ou « Homme feuillu » les représentations sculptées ou dessinées d'un visage d'homme orné de feuillage, ou encore de branches, pousses ou autres motifs végétaux. C'est un symbole d'origine très ancienne dont on retrouve le mythe dans de nombreuses cultures. Aux travers de celles-ci il prend des aspects différents. Même si toutes ces cultures n'avaient pas de contacts entre elles, il semblerait qu'il soit continuellement lié à la Nature et au printemps. Mike Harding qui a publié un petit ouvrage sur le sujet cite des représentations similaires à Bornéo, au Népal et en Inde. Dans le monde occidental on le retrouve principalement sculpté dans les églises ou en ornement sur des bâtiments séculiers. On en trouve donc des représentations très anciennes à Bornéo, au Népal, en Inde, au Liban, en Israël et en Irak. En sanskrit, l'homme vert est relié au motif du Kirtimukha qui est relié à une lila de Shiva et Rahu. Le Kirtimukha se rencontre souvent dans l'art et l'iconographie thangka du bouddhisme vajrayāna, dans lequel il couronne souvent la roue de l'existence karmique. Dans l'islam, el khidr, le Verdoyant, est un sage, dont on dit parfois que l'herbe pousse partout où il s'assoit, car il aurait bu de l'eau de vie. Il a une place importante dans le soufisme. En Inde il prend le nom de "Kizr".

