Juliette Oberndorfer
comment pourquoi
oublier
cette lumière
au dedans
au-dehors
le vent qui berce
sur nos têtes
les arbres en partance
imaginaire
cg in Salines
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comment pourquoi
oublier
cette lumière
au dedans
au-dehors
le vent qui berce
sur nos têtes
les arbres en partance
imaginaire
cg in Salines
Les Brésiliens ne parlent pas, ils vibrent, ils se caressent de diminutifs.
in Demain 17 heures Copacabana
entre ce que je vois et dis,
entre ce que je dis et tais,
entre ce que je tais et rêve,
entre ce que je rêve et oublie :
la poésie.
Elle glisse.
On ne tire pas sur une fleur pour la faire pousser.
Savoir de mieux en mieux qui je suis et sur quel chemin mon âme veut me mener, à l’avantage d’être reposant pour l’esprit. Le corps lui vieillit, vite même, marcher plus encore, l’ensauvager. Marre de l’ordinateur et des machines.
cg in Le livre des sensations
Chaque fois que nous affirmons une part de nous-mêmes, nous en nions une autre.