Maleonn (Ma Liang) - Chinese story - 2005
Failles. Pulsations, flèches transfusées.
Je panthère avec la mort sur les hanches.
La rouille de l’aube achèvera la crue des nostalgies.
cg in Fugitive (Cardère, 2014)
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Failles. Pulsations, flèches transfusées.
Je panthère avec la mort sur les hanches.
La rouille de l’aube achèvera la crue des nostalgies.
cg in Fugitive (Cardère, 2014)
Le talent, ça n'existe pas.
Le talent, c'est d'avoir envie de faire quelque chose.
in l'émission télévisée Jacques Brel parle
Vu à Terrasson, il y a longtemps, superbe spectacle !
Aimer jusqu'à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D'atteindre l'inaccessible étoile...
in La quête
La vie. Brève et fulgurante étincelle dans la nuit. Se couler dans le cafard comme dans un suaire, tout en volupté. S'enrouler dans les draps noirs de la dissolution.
La mort est le lieu d'où l'on vient et auquel chacun doit retourner, entre les deux est un voyage nommé existence, serpent qui se mord la queue, palais des miroirs… Une éclipse, une sale blague !
cg, Geleen, Hollande, août 1997
in Calepins voyageurs et après ?
BAISER !
Je veux baiser avec toi, Terre
Avec toi toute entière et avec l’univers !
Baiser avec ton petit matin quand il se glisse
Tout frais entre les draps et ma chair
Je veux embrasser l’instant, car toi qui n’est pas là
Tu pourrais aussi bien être un autre
Je veux baiser avec toi, l’inconnu
Avec ton sourire
Cette lumière qui brille dans tes yeux
Je veux baiser avec toi, avec lui, avec elle, avec toutes et tous
Ribambelles d’humains qui te cerclent, je veux baiser avec toi, Terre !
Je veux baiser ce parfum prohibé
Posé sur le comptoir d’un bar quelconque
Où les quidams larguent leur peine
S’abreuvent de mots oubliés
Par d’autres plus largués encore
Je veux embrasser cette humanité cachée
Être libre de réinventer la flamme
Et l’histoire, cette brûlure nommée âme
Ce jus d’incendie, cette porte
Ce poids en nous de paradis.
cg 2004
in Histoires d'amour, histoires d'aimer
L'Usine, Galerie Marsam de Casablanca Le 26 octobre 2011.
Cette performance musicale et plastique est le produit d'une rencontre entre trois artistes autour des noms de l'Amour. Le grand maître du luth Said Chraibi, le maître calligraphe Mohamed Idali et le peintre de lumière et musicien Christian Zagaria (création infoscéno-plastique). Cette oeuvre est inspirée d'un poème du recueil "L'interprète des désirs" "Turjumân al-Ashwâq" du grand philosophe soufi et maître d'amour Ibn Arabi.
L'ivresse venue, nous coucherons sur la montagne nue
avec le ciel pour couverture, et la terre pour oreiller.
Nous sommes des oiseaux de passage, demain nous serons loin.