Arnold Böcklin - Sapins - 1849
L’aube ne sera plus
Ce frottis de l’ombre
La blessure ravivée
À la table des poumons
Mais lettres heureuses
Sur la piste amoureuse
cg in Aujourd'hui est habitable
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L’aube ne sera plus
Ce frottis de l’ombre
La blessure ravivée
À la table des poumons
Mais lettres heureuses
Sur la piste amoureuse
cg in Aujourd'hui est habitable
Comment ne pas être fleuve
Pour te donner l’herbe
Et l’âme de l’herbe
in Poème à une étrangère
Photographe américaine
http://www.brigittecarnochan.com/
d'après une nouvelle d'Alessandro Baricco
Dormeur, emmène-moi là-bas, je t’en supplie
Où musiquent les sources.
in Stances du verbe amour
Je n’ai rien à vous vendre, rien à vous prendre, tout à apprendre. Je ne fais que passer sans posséder le monde comme un simple ruisseau.
in Parce que
Tes mémoires tu les as d’outre-ciel et tu ne sais pas si elles
te viennent d’avant ou d’après ton destin.
in Mémoires d’outre-ciel
Je manque de terre et de feu, on le sait bien. Je navigue dans les eaux et dans les airs, un univers de bulles. Plénitude ou illusion, un poisson volant. Et le plus fou, c’est que j’en ai vu des poissons volants, des immenses et j’en ai même promené quelques-uns
cg in Journal 2006
http://www.eikojonesphotography.com/
Chaque jour je m’enfonce dans ton corps
et le soleil vient bruire dans mes veines
mes bras enlacent ta nudité sans rivages
où je déferle pareil à l’espace sans bords
in L’homme rapaillé, 1970