19/05/2018
Revue Nouveaux Délits n°60 - Pierre Rosin
Deux des poèmes de Pierre Rosin publiés dans ce numéro.
Lus par moi-même.
10:52 Publié dans * MA REVUE : NOUVEAUX DÉLITS *, DONNER DE LA VOIX / lectures, impro vocales | Lien permanent | Commentaires (0)
18/05/2018
Revue Nouveaux Délits n°60 - Valère Kaletka
Pluion et Le lieu, deux des poèmes de Valère Kaletka publiés dans ce numéro.
Lus par moi-même.
14:46 Publié dans * MA REVUE : NOUVEAUX DÉLITS *, DONNER DE LA VOIX / lectures, impro vocales | Lien permanent | Commentaires (0)
23/02/2018
"Morterranée", exposition d'Anabel Serna Montoya
Dans le cadre de la 2ème Nuit de la Poésie à Crest, le vendredi 2 février 2018, l'artiste mexicaine Anabel Serna Montoya qui avait illustré le numéro 59, spécial Guatemala, a présenté pour la première fois son installation "Morterranée" sur la thématique des réfugiés et migrants morts en Méditerranée. (Cyanotypes, aquarelles et encres de chines ont côtoyé un poème de Raúl Zurita cousu, ainsi qu'une installation au sol.)
11:23 Publié dans * MA REVUE : NOUVEAUX DÉLITS *, ARTISTES QUI M'INTERPELLENT | Lien permanent | Commentaires (0)
13/02/2018
Christian Saint-Paul revient sur mon édito du numéro 54
LES_POETES_2018-02-08 - jean miche tartayre.wma
dans son émission Poètes.fr du 8 février sur radio Occitania
http://les-poetes.fr/emmission/emmission.html
14:38 Publié dans * MA REVUE : NOUVEAUX DÉLITS * | Lien permanent | Commentaires (0)
08/02/2018
Revue Nouveaux Délits n°59 - Pablo Gelgon
"Pisco" et "La poésie des choses simples", deux des textes & poèmes de Pablo Gelgon publiés dans ce numéro.
Lus par moi-même.
12:51 Publié dans * MA REVUE : NOUVEAUX DÉLITS *, DONNER DE LA VOIX / lectures, impro vocales | Lien permanent | Commentaires (0)
06/02/2018
Revue Nouveaux Délits n°59 - Marc Guimo
Trois des poèmes extraits de "Réalité dispersée" publiés dans ce numéro.
Lus par moi-même.
19:05 Publié dans * MA REVUE : NOUVEAUX DÉLITS *, DONNER DE LA VOIX / lectures, impro vocales | Lien permanent | Commentaires (0)
04/02/2018
Revue Nouveaux Délits n°59 - Jean-Louis Millet
Trois "Fragments" du "Psychorama holographique" de Jean-Louis Millet, parmi les sept présentés dans ce numéro.
Lus par moi-même.
14:01 Publié dans * MA REVUE : NOUVEAUX DÉLITS *, DONNER DE LA VOIX / lectures, impro vocales | Lien permanent | Commentaires (1)
03/02/2018
Revue Nouveaux Délits n°59 - Benoit Arcadias
"L'entropie et la mort", un des poèmes de Benoit Arcadias publiés dans ce numéro.
Lu par moi-même.
23:03 Publié dans * MA REVUE : NOUVEAUX DÉLITS *, DONNER DE LA VOIX / lectures, impro vocales | Lien permanent | Commentaires (0)
31/01/2018
Nouveaux Délits numéro 59, revue du mois pour Décharge
Février, c’est
Nouveaux Délits n° 59
publié le 31 janvier 2018 , par dans Accueil> Revue du mois
Cinq auteurs sont conviés dans ce numéro à qui sont attribuées entre 7 et 12 pages, ce qui constitue un bel aperçu pour chacun.
Pénélope Corps. Les gens naissent avec des trous dans le ventre… Un langage oralisé qui ne s’embarrasse des conventions ni des conformités ordinaires. S’il y a figures de style, ce n’est pas par jeu mais par nécessité, entre anaphores et répétitions. D’une façon générale, les poètes choisis ici par Cathy Garcia ne sont pas économes de mots et usent de vers proches de la phrase et de strophes voisines de la période. Les titres des textes résumeraient à eux seuls l’angle assez brut de sa poésie : L’humanité est un trou, Super 8, J’écris pas, On n’est pas meilleurs, Dimanche en décembre.
Le passé de Benoit Arcadias, ancien interné des hôpitaux, résonne dans ses textes. Lesquels racontent chaque fois des rencontres dans le métro ou le train. Des choses qui lui sont arrivées, mettant en scène au final hostilité ou déception.
Jean-Louis Millet propose 7 fragments d’un « psychorama holographique ». Il s’agit de listes assez longues de ce qu’on pourrait appeler des données à la fois abstraites et précises. Exemples pris presque au hasard : La valise éventrée des restes du quotidien d’une vie ou La croûte d’une banquise dans la fermentation d’un rêve ou encore, avec, pour le coup, une image L’ombre d’un pommier vivante au moindre souffle d’air Cette accumulation de traits, ayant pour point commun l’article défini, tend à rendre réel un univers hétéroclite et poétique. Ajoutons que ces listes sont seulement interrompues parfois par un Question/ réponse ou la réponse vient avant la question. Réponse : dans l’ombre de la lumière / Question : Où est la seule réalité ?
Marc Guimo est l’auteur du tout récent Polder (Co-collection Décharge/Gros textes) : Un début de réalité. Il donne ici des extraits d’un ensemble dans la prolongation intitulé : « Réalité dispersée ». On reste dans la même logique. Le problème du mur, c’est qu’il ne croit pas naturellement à la fenêtre. On est toujours à la limité de l’absurde et du fantastique. On est allé trop loin / En ne bougeant pas L’auteur n’est pas fixé sur la forme, passant facilement de l’aphorisme au long poème, avec ce vers final : Voulez-vous qu’on rajoute une musique d’ascenseur qui descend ?
Enfin Pablo Gelgon qui, en tant que charpentier, sait parler des « Mains qui voyagent » : Elles n’en finissent plus de saigner sur le beau bardage d’épicéa / On voudrait bien avoir des mains comme un pied de biche et soulever / Agripper sans avoir peur de rien suinter / On voudrait bien l’oublier l’écorchure / La bonne vieille croûtasse / La main finit par ajuster la manière…
Deux résonances critiques à propos de recueils de Walter Rhuhlmann et Murièle Modély et le tour est joué.
Illustrations d’Arnaud Martin : sensible à l’expressionnisme et au romantisme sombre du XIX° siècle et à la mélancolie sous toutes ses formes…
Rappel : On se procure le polder de Marc Guimo : Un début de réalité contre 6 €, à nos éditions (4 rue de la Boucherie - 89240 - Egleny). Paypal possible : ici.
MERCI à Jacques Morin !
Lien : http://www.dechargelarevue.com/Nouveaux-Delits-no-59.html
11:49 Publié dans * MA REVUE : NOUVEAUX DÉLITS * | Lien permanent | Commentaires (0)
26/01/2018
Revue Nouveaux Délits n° 59 - Pénélope Corps
Deux des poèmes de Pénélope Corps publiés dans ce numéro. Lus par moi-même.
11:39 Publié dans * MA REVUE : NOUVEAUX DÉLITS *, DONNER DE LA VOIX / lectures, impro vocales | Lien permanent | Commentaires (0)
02/01/2018
Revue Nouveaux Délits - Mon édito du numéro 59 - Janvier 2018
illustration d'Arnaud Martin
Eh bien voilà revenue l’année nouvelle ! Nous savons que ça ne veut pas dire grand chose, mais si ça peut nous permettre de nous sentir de même un tant soit peu neufs, décidés à laisser derrière nous le pesant et l’obsolète... Une nouvelle chance, un nouveau départ, un peu de poudre de perlimpinpin qui brille, une virginité en toc, un lustre qui disparaitra en deux coups d’éponge, mais quelques secondes de rêve, ce n’est pas rien, alors on ne va pas se les gâcher en faisant du mauvais esprit, surtout quand on s’appelle « Nouveaux Délits ».
Si la lucidité est la blessure la plus rapprochée du soleil, comme l’écrivait Char, alors elle est au soleil pendant que d’autres sont au bureau, aussi spacieux soit-il. Alors, fait-elle vraiment souffrir cette lucidité ? Et si elle était justement la garante du rêve ? Entre la transparence et l’opacité, il y a la beauté de la translucidité, ce qui n’est pas sans rapport avec la poésie.
Aussi, je vous invite sans plus de blabla à la découverte des poètes de ce nouveau numéro. Je les ai choisis avec mon meilleur mauvais goût, clin d’œil à de pauvres petites idées fixes et préconçues et donc pas très neuves, de ce qu’est, doit être et ne peut pas être la poésie. Ne cherchez pas, la poésie n’y est déjà plus ! Souhaitons-nous plutôt de tirer le meilleur jus de cette année inédite et de le boire en chantant à tue-tête. Soyons sérieux : rions beaucoup et aimons plus encore !
Bonne année 2018 à vous toutes et tous et que la paix ferme le bec des imbéciles qui ne laissent pas passer la lumière.
CG
La poésie n’est pas un art pur, indépendant. Elle n’est que révélatrice. La poésie n’a pas besoin d’être, c’est tout le reste qui n’est pas, sans elle.
Cathy Garcia in Qué wonderful monde
(Nouveaux délits, coll. Les délits vrais éd. 2012)
16:58 Publié dans * MA REVUE : NOUVEAUX DÉLITS * | Lien permanent | Commentaires (0)
02/12/2017
Nouveaux Délits n°58 sur Radio Galère (Poésie du Guatemala en version bilingue)
Dataplex / Résistances Musicales du mardi 28 novembre 2017 avec Damien Morel, Laurent Bouisset, Annette Zingle et Jean-Marie Nicolas, Antonella Porcelluzzi et Nicolas Guyot + les voix enregistrées de Cathy Garcia, Ana Minski et les auteurs guatémaltèques, par ordre d'apparition : Julio Serrano Echeverría, Regina José Galindo, Luis Carlos Pineda et Vania Vargas.
12:20 Publié dans * MA REVUE : NOUVEAUX DÉLITS * | Lien permanent | Commentaires (0)
27/11/2017
Numéro 58, live sur radio Galère, 28 novembre à 22h
Demain soir, c'est-à-dire mardi 28 novembre 2017 à 22h sur Radio Galère, en direct de La Friche de Marseille : émission DATAPLEX / RESISTANCES MUSICALES consacrée intégralement au numéro 58 de la revue Nouveaux Délits spécial Guatemala (celui que j'ai eu la chance de coordonner, traduire et préfacer, grâce à l'aide précieuse et dynamique de Cathy Garcia). Lectures d'Antonella Eye Porcelluzzi, d'Annette Zingle et Jean-Marie Nicolas, de Cathy Garcia et moi-même + tous les auteurs de la revue (ReginaJose Galindo, Julio Serrano Echeverría, Luis Carlos Pineda, Vania Vargas) ayant envoyé leurs textes enregistrés en VO pour l'occasion. Lectures bilingues et forcément intenses que l'on pourra écouter partout sur terre à l'adresse suivante :
Monterez-vous dans le train à temps ? Sinon, il y aura un podcast, ne vous en faites pas, il devrait arriver en fin de semaine au plus tard...
Laurent Bouisset
21:41 Publié dans * MA REVUE : NOUVEAUX DÉLITS * | Lien permanent | Commentaires (1)
26/10/2017
Revue Nouveaux Délits n°58 (spécial Guatemala) - Vania Vargas
Deux des six poèmes de Vania Vargas publiés dans ce numéro bilingue, en collaboration avec Fuego del Fuego - http://fuegodelfuego.blogspot.fr/ - traduction de Laurent Bouisset. Lus par Cathy Garcia Canalès.
Hay días en que me acuerdo de Dios
de la cosas que tengo pendientes
de las veces que he creído encontrar
el amor
y que quizá tampoco me basten
cuando vuelva a topármelos
en una esquina cualquiera
y por última vez los escuche
cargar sus armas
a la altura de mi vientre
o de mi sien
y no quede historia
ni miedo
solo esta soledad
sobre el asfalto
hecha mil pedazos
*
La mujer compra flores cuando va camino a casa
y recorre con ellas las calles nocturnas
Mira los ojos que la miran
imagina las historias que le inventan
una abuela enferma
una declaración de amor
un poco de fe / una devoción
Y así transita medio camino
mudando de vidas y posibilidades
mientras los autos pasan a su lado
y ella le pisa los talones a su silueta
que se adelanta por banquetas anaranjadas
silueta de mujer sola
con ramo de flores en la mano
Entonces llega a casa sonriente
con sus flores y sus historias
y siente que su abuela mejoró
que sus oraciones serán respondidas
que alguien la ama
Enciende las luces / prepara el florero
lo observa un momento
y mientras termina la noche
enciende el televisor
Yo la observo de reojo
cuando paso frente a su ventana
El reflejo azul intermitente de la TV
lanza contra la pared su silueta temblorosa
silueta de mujer sola con florero
ha de esperar a alguien / imagino
mientras cierro mi puerta
Y como si ella intuyera mis pensamientos
apaga el televisor
se encierra en su cuarto con una nueva historia
y sonríe
como si esa noche alguien no tardara en llegar
(c) Vania Vargas
13:53 Publié dans * MA REVUE : NOUVEAUX DÉLITS *, DONNER DE LA VOIX / lectures, impro vocales | Lien permanent | Commentaires (0)
22/10/2017
Revue Nouveaux Délits n° 58 (spécial Guatemala) - Julio Serrano Echeverría
deux des sept poèmes de Julio Serrano Echeverría publiés dans ce numéro bilingue, en collaboration avec Fuego del Fuego - http://fuegodelfuego.blogspot.fr/ - traduction de Laurent Bouisset. Lus par Cathy Garcia Canalès.
Versions originales :
Ok,
nos vencieron.
Como si aún significara algo la derrota.
Como si a este valle de esqueletos
y carros viejos
aún le pudiéramos llamar desierto.
Para cuando nos dieron el golpe
el desierto ya no era desierto
los parques ya no eran los parques
ustedes seguían siendo los mismos
y nosotros,
a los que vencieron,
éramos la sombra de los cuerpos que los crearon,
la ceniza,
el polvo.
Nos vencieron,
caímos,
molieron nuestros huesos.
Pronto volverán a saber de nosotros
*
Entendemos
por los libros de geografía,
que los cuerpos en resistencia
que una dictadura lanzó a un cráter
en Centroamérica,
llovieron un día en Filipinas
sobre un cultivo de arroz
que alimentó a una familia completa
durante un largo período de lluvias
en la década de los setenta.
(c) Julio Serrano Echeverría
14:11 Publié dans * MA REVUE : NOUVEAUX DÉLITS *, DONNER DE LA VOIX / lectures, impro vocales | Lien permanent | Commentaires (0)