Steve Evans - Sioux county, Iowa
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Il était un pauvre serpent qui collectionnait toutes ses peaux. C'était l'homme.
in Sodome et Gomorrhe
Pourquoi ne puis-je être comme les fleurs?
Exister en silence à l'abri de mon cœur
Et me plonger dans une contemplation muette,
Avec le monde en tête-à-tête.
Plutôt qu'un faux-semblant de communication,
Je préfère la solitude de mes méditations.
cg in Journal 1988-91
Ethiopie
Queensland, Australia
Shashemene, Ethiopie
Steve Evans est un photojournaliste et chercheur culturel qui parcourt le monde de façon intense. Il est affilié avec le Centre international d'études ethnographiques - Atlanta , USA . Steve se spécialise dans les communications interculturelles et orales. Il est basé à Londres.
L'éternité
C'est la mer mêlée Au soleil.
in Une saison en enfer
Istanbul et ses minarets au couchant, l’appel des muezzins dont l’écho se répercute d’un quartier à un autre. Celui de l’aube me surprend la première fois, je ne sais plus où je suis et impossible de me rendormir. Les rives du Bosphore, Ste Sophie, la Mosquée Bleue, la Corne d’Or, les broussailles électriques sur les façades sales, les vieilles maisons tout en bois et plusieurs couches de vestiges chargés d’Histoire.
cg, novembre 2000
in Calepins voyageurs et après ?
Selçuk Yilmaz est un artiste turc vivant à Istanbul. « Aslan », signifie «lion» en turc. La construction a mis près d’un an. La bête pèse plus de 250kg et mesure 330 cm de long par 185 cm de hauteur. Chaque morceau de métal utilisé a été coupé à la main et martelé par l’artiste.
Bangkok
Thimphu, Bhoutan
Tango Monastery, Bhoutan
Mongolie-Intérieure vers Kalgan (Chine)
Pékin
Pékin
Stéphane Passet 1875, lieu de naissance non identifié - date et lieu de décès non identifiés - s'engage à vingt ans dans l'armée et y reste quinze ans. Il s'installe ensuite dans la région parisienne. Il est engagé en 1912 aux « Archives de la Planète », sans qu'on sache encore comment, où et quand il s'est formé à la photographie et à la cinématographie. L'année même de son embauche, il est envoyé en Chine, en Mongolie, au Japon, puis en Turquie. Au tournant de 1912-1913, il est au Maroc. En 1913, il part de nouveau en Chine et en Mongolie, puis il s'embarque pour la Grèce et à la fin de cette même année, aux Indes. Lors de la Grande Guerre, il sert dans l'artillerie tout en collaborant aux « Archives de la Planète ». Il photographie ainsi Paris en 1914 et plusieurs départements entre 1915 et 1917. Après la guerre, il quitte les « Archives de la Planète » pendant dix ans. Durant cette période, il réalise -au moins- deux films de fiction en relief : La Belle au bois dormant (procédé Parolini) et La Damnation de Faust (procédé de son invention). Il reste en contact avec Jean Brunhes et revient au service d'Albert Kahn et des « Archives de la Planète » en 1929 et 1930. Il prend des autochromes en France et ne quitte l'hexagone que pour suivre la Conférence internationale de La Haye aux Pays-Bas en août 1929.
il y a peu de rues au monde qui soient aussi riches en tentations que l'imaginaire d'un ermite.
in La grâce de la solitude de Marie de Solemne