Jānis Gleizds
Le problème
Les pathologies du genou droit sont-elles
Un signe particulier de poésie ?
Cg in Le poulpe et la pulpe (Cardère 2011)
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Le problème
Les pathologies du genou droit sont-elles
Un signe particulier de poésie ?
Cg in Le poulpe et la pulpe (Cardère 2011)
Souffle et serpent dans un fouillis de luminaires. Une éclaboussure de pluie dans un giron de pollen. De l’antique humus surgissent des langues, des chants et des cordes. Des sortilèges de cornes et d’équinoxes.
cg in Le poulpe et la pulpe (Cardère 2011)
Téhéran, 1986
Bucarest, 1991
Seine-Maritime, 1971
Le Rowanlea, chalutier espagnol – 1998
San Salvador, Shanty town
Kyrgyzstan, 2000
Jean Gaumy, né le 28 août 19481 à Royan (Charente-Maritime), est un photographe français, membre de l'agence Magnum. Il naît dans le quartier de Pontaillac, à Royan ; sa scolarité se passe à Toulouse et Aurillac, ses études supérieures de lettres à Rouen durant lesquelles il collabore comme rédacteur et photographe pigiste au journal régional Paris Normandie pour payer ses études (1969 à 1972). Après une brève présence à l’agence Viva, à la demande de Raymond Depardon, il rejoint l'agence française Gamma en 1973. À la même époque, il se marie avec sa femme Michelle, leur fille Marie naît en 1975. En 1975, il entame deux reportages au long terme sur des sujets jamais encore traités en France. Le premier, L’Hôpital, est publié en 1976. Le second, Les Incarcérés, réalisé dès 1976 dans les prisons françaises, est publié en 1983 avec des extraits de ses carnets personnels écrits à la première personne. Il rejoint l’agence Magnum en 1977 après s’être fait remarquer aux Rencontres d'Arles en 1976 par Marc Riboud et Bruno Barbey. Il réalise en 1984 son premier film, La Boucane, proposé en 1986 au César du meilleur documentaire. D’autres films suivent, souvent primés, tous diffusés par les télévisions françaises et européennes. Cette même année, il commence un cycle d’embarquements hivernaux à bord de chalutiers dits « classiques » qu’il poursuivra jusqu’en 1998 et qui donnera lieu en 2001 à la publication du livre Pleine Mer. Son premier voyage en Iran se déroule lors de la guerre avec l’Irak en 1986. Il s’y rend jusqu’en 1997. Il réalise le film Jean-Jacques, en 1987, pour lequel il suit deux années durant la chronique du bourg d’Octeville-sur-Mer où il habite à travers les yeux de Jean-Jacques, considéré à tort comme l’« idiot du village ». En 1994, il réalise son troisième film, Marcel, prêtre, tourné en plusieurs années à Raulhac, dans le Cantal, en Auvergne. Il reçoit le prix Nadar en 2002. Dès 2005, il engage les repérages et le tournage du film Sous Marin pour lequel il passe quatre mois en plongée lors d’une mission à bord d’un sous-marin nucléaire d'attaque. Il est nommé officiellement Peintre de la Marine en 2008. Ses nombreux travaux sur les huis clos humains se doublent ces dernières années d’une approche photographique plus contemplative. Ainsi, dès 2008, après son film à bord d’un sous-marin nucléaire, il entame un travail de reconnaissance photographique qui l’a déjà mené des mers arctiques aux territoires contaminés de Tchernobyl en Ukraine. Pour le même projet, en parallèle, il aborde une série de paysages de montagne et repart en 2010 à bord du plus récent des navires dédié à la dissuasion nucléaire. Il reçoit une nouvelle fois le prix Nadar en 2010 pour son ouvrage D'après nature. Il vit à Fécamp, en Haute-Normandie, depuis 1995.
(Source : Wikipédia)
Pour en voir plus : http://www.domeni.co.uk/reportage.html#id=album-41&num=content-1568
Pour en savoir plus : http://www.survivalinternational.org/tribes/dongria#actnow
LA VIE VA !
Dis vague, où va la vie ?
La vie divague
Suit ses envies
La vie vogue
La vigie voit
La vie bogue
Et la diva boit
La vie louvoie
La vie exode
La vie élague
Les nuits sans joie
La vie navigue
La vie pirogue
La vie cascade
Et puis s’en va !
Dis vague, où va la vie ?
cg 2001
Glyphe |
La première trace de griffes sur la paroi d’une caverne.
Force. Taureau. Lune. Femme. Ovaire. Vagin.
Puis vint le Bélier
cg in Chroniques du hamac, 2008
Intertwined ... as the sense ... of destiny
i'll take you in my dreams
The silence ... of a sculpture... of old cypress
This day
Nothing ... describes You ... better ... than the open sea
The nailed sparrow hawk
The Hand that guide us.... We known
The Romantic Soul........ and the Dream
The unequal struggle ... or the weight ... of the unsaid
The Jasmine Path
The significance ... lies in the incomprehensible
First light... Morning light
I live what I see
Fado... Barco Negro... Amalia Absolue
Artiste et photographe allemand, il vit à Berlin.
Gaïa
Naïade
Perséphone
Prigione di lacrime
Maledizione di venere
Peintre italien né à Tarente en 1978, Il est diplômé de l'Académie des Beaux-Arts de Rome. Très inspiré par les peintres du Barroque, Caravage en particulier, et d'autres anciens maîtres.
LA FEMME QUE TU CHERCHES
je suis une mère une sœur
énergie lumineuse enveloppante
je suis l’étoile charnelle chaude et vibrante
je suis la mer la lune tiède
le pansement doux de tes blessures
je suis un courant continu
la soie d’une chair appétissante
le calice de tes soupirs
je suis le corps toi naufragé la rive
où tu ne cesses de buter
je suis une bête de lit miauleuse jouisseuse
une arche de tendresse une manne une nef
je suis un souffle une fièvre une fente à polir
la danseuse sur l’arbre le creux dans la terre
je suis la visqueuse
créature de ton âme
l’émeraude fendue
de ton crâne
je suis l’amazone de tes égarements
la cavalière de tes orages
je suis le sable la vase
la bauge noire de tes sens
je suis la vague la langue
le vampire et pire encore
je suis l’oiseau blanc qui boit
le sang des astres
je suis le matin qui découd tes paupières
poisson qui glisse entre tes doigts
le jus que tu tires de moi
le sucre sur tes lèvres
ma morsure à tes rêves
adolescents
je suis le chat qui guette
la douce impasse la ruelle
le délice à lécher
recrudescence enténébrée
de ton sexe je suis
je suis depuis longtemps
la femme que tu cherches
cg in Salines
(In Eskhatiaï, Ed. de l'Atlantique, 2010)
Suicide air
Tous les jours raconter un nouveau suicide, celui qu’elle ne commettra pas, même si en elle, il a réussi à pomper même le vide. Tous les jours, se couper un doigt, un bras, déchirer les draps et pendre sa poupée de chiffon, celle avec quoi il s’essuie sans même y penser. Elle regarde avec une froide fascination jusqu’où elle pourrait tomber, pour lui plaire, le satisfaire.
On doit pouvoir combler la mer avec le sable des déserts.
cg in Le baume, le pire et la quintessence