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CATHY GARCIA-CANALES - Page 1292

  • Alexander D. Grinberg

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    Meyerhol Theatre, 1920s

     

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    Natacha, 1930s

     

     

    alexander D. grinberg_1885 1979.jpgAlexander D. Grinberg (1885-1979) est l'un des photographes russes les plus reconnus du XXe siècle. Né à la fin du XIXe siècle , et ayant vécu 94 années , il a connu la révolution russe, la guerre civile, deux guerres mondiales, la répression stalinienne avec de nombreuses fluctuations dans l'histoire politique et culturelle soviétique. La photographie est toute sa vie, il avait pris sa première à l'âge de dix ans. Bien qu'il ait été l'un des photographe les plus respectés de la vieille école, il a été persécuté par le régime soviétique et c'est grâce à son frère qui les cachait, que les négatifs de ses œuvres n'ont pas été détruits.

  • Eric Rose

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    untitled (2011)

     

     

     

    Elle a été assise à cette table il y a longtemps, elle se souvient. Elle attendait un homme.

     

    Une bonne partie de sa vie tourne autour de ce genre d’attente, mais finalement la liberté lui va bien. Carnet rouge, encre rouge, elle sent monter l’énergie que les simulacres d’amour lui dérobent.

     

    Tout est en elle, rien à chercher à l’extérieur. Juste échanger.

    Troc de peaux, de rêves et des univers à inventer.

     

    Chercher à comprendre ? Autant vouloir stopper le vent.

     

     

     cg in Le baume, le pire et la quintessence

     

     

     

     

  • Choi Xooang

     

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    Choi Xooang né en 1975, il obtient son BACHELOR of Fine Arts in sculpture à l'Université Nationale de Séoul en 2002 et son MASTER of Fine Art in sculpture dans la même université en 2005. Il a également été primé deux fois en 2007 et en 2008 par la Seoul Foundation for Arts and Culture Fund Selection NART. Ses sculptures de résine peintes à l'huile, ces êtres "mutants" nous imposent leurs corps nus, sexués et imberbes. Emprisonnées dans une immobilité, dans des postures déconcertantes d'assurance. Elles nous interrogent sur "qui regarde qui ?"

     

    Merci à JL Millet pour la découverte :

    http://jlmi94.hautetfort.com/archive/2013/04/10/choi-xooang.html

  • Long Chin-San

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    long Chin-San 1981.jpgLong Chin-San est né dans la province du Zhejiang en Chine en 1892 et décédé en 1995 à l' âge de 104. Il a consacré 90 ans de sa vie à la création de son style de photographies. Compositions et manipulations ont été faites en chambre noire . Ses photographies étaient uniques en ce qu'elles combinaient la photographie moderne et des styles de peinture traditionnelle chinoise.

     

     

     

     

    portrait de 1981

  • Don Hong-Oai

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    Don hong_oai.jpgDon Hong-Oai (né à Canton en 1929 et mort à San Francisco le 8 juin 2004) est un photographe chinois. Bien qu'il naquit en Chine, Don vécu principalement à Saïgon (Vietnam), à partir de 1936. C'est là qu'il apprit les techniques de la photographie en studio. En parallèle, il expérimenta rapidement son art sur les paysages lors de ses excursions au sein de la péninsule indochinoise. Il resta ainsi au Vietnam malgré les guerres jusqu'en 1974 où il rejoignit, en France, un des ses anciens professeurs. Revenu au Vietnam l'année suivante, il fut pourtant contraint de quitter définitivement ce pays en 1979. En effet, suite à la guerre frontalière chino-vietnamienne de 1978, les autorités procédèrent à une politique de "chasse aux sorcières" vis-à-vis de la communauté chinoise. Don prit alors le bateau pour rejoindre le quartier "Chinatown" de San-Francisco. Après quelques années de travail, principalement en studio, il gagna suffisamment d'argent pour repartir en Chine et créer de nouveaux négatifs. Il rencontra à Taïwan, Long Chin-San, un autre photographe chinois plus âgé que lui (né en 1896), qui lui permit de perfectionner sa technique. Ce n'est que lors des dernières années de sa vie que son œuvre fut reconnue. Don Hong-Oai créa un style unique de clichés que l'on peut véritablement inclure à l'imagerie du paysage dans l'art chinois. Cette manière d'adapter l'art oriental aux standards de l'Occident trouve très probablement ses origines à Hong-Kong dans les années 40 ou exerça, entre autres, le "maître" qui lui permit d'affiner sa technique, le photographe Long Chin-San. Don Hong-Oai perfectionna la technique de superposition des négatifs.

     

  • Chang Ta-Chien (Zhāng Dà Qiān)

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    Soughing Pines in a Thunderstorm (1962)

     

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    Chang Dai-chien.jpgZhāng Dà Qiān est l'une des figures les plus brillantes et les plus riches de la peinture chinoise du XXe siècle. Zhang Daqian est né le 19 mai 1899 dans une famille d'artistes à Neijang, dans la province du Sichuan. Jusque dans les années 1940, il se rend célèbre par ses tableaux inspirés des plus grands maîtres de la peinture chinoise classique. Par la suite, son style évolue radicalement pour intégrer les richesses de l'art bouddhique puis des apports de la peinture occidentale. Sa maîtrise technique et ses célèbres contrefaçons ont jeté le doute sur l'authenticité d'un bon nombre de peintures de maîtres actuellement dans les collections des plus grands musées du monde. Il est mort en 1983, à Taipeï, à Taïwan où il s'était installé en 1978, après avoir vécu pas mal d'années en Californie. En 2011, il détrône Picasso au rang des artistes les mieux cotés sur le marché de l'art international.

  • Connivence, l'oeil & la plume : A

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    texte de cathy garcia photocollage jlmi 2013

     

    A.Vie… Avide…Vivre. De quoi ? De peu. De peut-être. D’un peu d’être. Être. Naître d’une lettre. A. Vide. De rien. Dénuée. Dénudée. Se mettre à nu et puis quoi ? Être A. Étrange. Être ange nu. Ange, singe ou ingénu. Nu et noir. Simple idée. Un hominidé. Une mine d’idées. Miné. D’idéologies. Agités. A vif. Veut quoi ? Rien. Néant. Nu. Nuire à son prochain. Proche ennemi. Assassin. Ma haine, mon amour. A mourir. Ardemment. Amant. Avide. De quoi ? De peu. De peut-être. D’un peu d’être. Être. Naître. Qu’une lettre. Anonyme. A.

     

    Assemblé et mis en ligne par JL Millet sur son blog :
    http://jlmi22.hautetfort.com/

     

  • Un mur sur une poule de Baum – Dedieu

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    Gulfstream éditeur, avril 2013.

    18 pages, 11 €.

     

     

    Un chouette album poético-rigolo sur un sujet qui l’est beaucoup moins. Comment de la célèbre jolie, mignonne, petite comptine « Une poule sur un mur », on en arrive à « Un mur sur une poule » ? Une poule sur un mur, ça va, mais mille poules entre quatre murs ? On se retrouve avec des furies carnivores prêtent à dévorer un fermier, et comme le dit le titre de cette chouette collection d’albums, « ce que tu fais à la nature, la nature te le rendra » et il n’est jamais trop tôt, ni trop tard, chers parents, pour apprendre cette sagesse-là. Ce qui n’empêche pas de se régaler avec cet album et ses beaux dessins éclatants sur fond noir. Un remake écolo intelligent de vieille comptine à mettre entre toutes les mains !

     

     

    Cathy Garcia

     

     

     

    Gilles BAUM / Auteur. À défaut de devenir maître du monde, super-héros, jardinier ou ornithologue, Gilles Baum a voulu écrire pour les enfants. Peut-être pour leur raconter toutes ces vies-là.

     

     

     

    Autre album chez Gulfstream avec Thierry Dedieu également : J’ai adopté un crocodile

     

     

     

    Thierry DEDIEU / Illustrateur. Thierry Dedieu est né à Narbonne en 1955. Après des études scientifiques, il se tourne vers la publicité, puis se lance en littérature de jeunesse à partir de 1994. Il est aujourd'hui rédacteur et auteur-illustrateur de livres pour enfants.

     

  • Denis Buchel

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    denis buchel photo.jpgNé en Moldavie. Après avoir passé près de dix ans en Israël, depuis 2009, Denis Buchel vit en Bulgarie. Il travaille en tant que photojournaliste dans un journal hebdomadaire. Denis a commencé la photographie en 2007, quand il a acheté son premier appareil. Au début, Denis a pris des photos en amateur seulement. Puis étape par étape, la photographie a commencé ...
     
     
  • Benjamin Béchet

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    Spiderman, 36 ans, nettoie les pare-brise, de la série "Je suis Winnie L'Ourson"

     

    Les rhétoriques populistes qui se nourrissent du mécontentement et de la peur généralisée identifient des ennemis et cultivent les graines de l’intolérance et de le xénophobie ; elles ressortent du tiroir de vieux idéaux territoriaux en instrumentalisant un concept qui a pris une place toujours plus grande dans le discours politique et les discussions de comptoir : l’identité. Construction historique et culturelle, l’identité, comme nous l’enseigne les anthropologues, est fluide, multiple, ouverte et contextuelle. Chacun de nous peux en posséder plusieurs jusqu’à l’infini : une, aucune et cent mille pour citer Pirandello. Mais l’identité est avant tout relationnelle : la définition du Nous passe toujours par la négation de l’Autre. Quand elle tombe dans les mains d’ambitions politiques, les identités se rigidifient sous forme de régionalisme, de fanatisme religieux, politiques ou territoriaux. Et quand l’autre est marginal ou précaire, les conséquences immédiates sont l’exclusion et la violence. A travers une manipulation ironique de l’identité, Je suis Winnie l’Ourson veut susciter une réflexion sur la stigmatisation de l’Autre mettant en scène les peurs et les contradictions qui y sont liées. Rome, la ville où est née le projet, est un vivier de micro identitarisme qui ne manque pas de se référer à une romanitude ou à l’empire romain ; la ville est le théâtre d’une vague d’intolérance et de violence ouverte contre une partie de la population qui incarne une altérité crainte et refusée. Figures marginales, travailleurs au noir, sans papiers… Personnes invisibles ou montons noirs; sur leurs identités complexes et variées, on colle une étiquette qui simplifie et dénigre l’autre. Dans leurs vêtements, nous avons mis des super-héros, des icones, des célébrités connues de tout le monde globalisé. Pour se rappeler qu’une personne n’est jamais ce que nous en voyons, mais toujours quelque chose de plus complexe, que chaque identité est partielle, que nous sommes tous un, aucun et cent mille.

    Benjamin Béchet

     

     

     

    benjamin béchet photo-bio.jpgAprès une licence d’histoire, il se forme à la photographie au Centre Iris à Paris.

     

    Benjamin Béchet travaille sur l’identité et sur la représentation de l’autre. Soit qu'il parte d'une situation qui déshabille littéralement une personne de son fantôme social (Les Baigneurs), ou qu'il habille artificiellement des modèles de costumes les transfigurant (Je suis Winnie l’ourson), Benjamin nous interroge sur les codes et les signes que porte un individu en en société et sur la construction de la personne en relation aux autres.

     

    En 2008, il gagne le prix Parole photographique.

     

    Il vient de recevoir une bourse du CNAP pour travailler sur des micro territoires urbains.

    http://benjamin.bechet.book.picturetank.com/