Anca Gray
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Deux poèmes (extraits de "Papamaman 4") parmi les poèmes d'Antonella Eye Porcelluzzi publiés dans ce numéro.
Lus par moi-même.
Le bois abrite des rêves anciens, ténèbres approbatrices.
in D’un silence inachevé
cette branche tombée dans l’herbe du ventre
fleurs écarquillés bouillon d’épines
et la lune verte des lavoirs
cg in (en cours d'écriture)
Je ne débande plus, regarde-là, elle est dure comme du bois ! Tâte ces veines diurnes qui surgissent une à une gonflées à mort ! De vraies racines qui palpitent !
in Chroniques du Diable consolateur