Oscar Wilde
Dire du mal des autres est une façon malhonnête de se flatter.
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Dire du mal des autres est une façon malhonnête de se flatter.
Comme si entretenir le désir de l’autre était plus important, plus précieux que nous-mêmes ou l’autre pour ce qu’il est réellement, que l’on n’a pas à séduire mais à aimer, ce qui est très différent. Quand un miroir regarde un miroir, c’est le néant qui se reflète. Être libéré du fardeau de devoir séduire est absolument fabuleux, c’est sans doute difficile de l’admettre, mais aimer est tout autre chose.
cg in Le livre des sensations
Je suis à la recherche de mon père, ici, parmi la foule des squelettes. J’éprouve un sentiment bizarre. Ici, il y a des traces de lui, je les sens même si elles sont aussi évanescentes que le cri de l’oie déjà enfuie, comme la sensation de la brise passant dans les cheveux.
in Le septième jour
C’est la nuit (pilotée par la lune avorteuse) qui nous intéresse !
La nuit qui nous hurle ses poèmes épileptiques !
in Chroniques du Diable consolateur
la parole interdite embusquée derrière la porte close
la parole refusée bâillonnée en-dedans au dehors
in La Patagonie
le mot n’est-il pas un pilon plus puissant
que n’importe laquelle de nos excroissances
in Je te vois
il faut faire attention lorsqu’on pilote un être humain
de ne pas basculer dans la benne à ordure
in Oncle Bo (Traction Brabant 65)
Qui veut noyer son chien dit que c'est un poisson rouge.
in Nouvelles pensées échevelées