Gracie Ward Napaltjarri
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Je veux parler d’un désert monstrueux, le désert parfaitement planétaire, parfaitement mondialisé. Le désert de l’Homme par l’Homme, celui qu’il édifie dans son cœur, lui l’orgueilleux qui marche sans mémoire.
in Itinéraires vers le silence
C’est bon ce retour du soleil, ce doux vent, le jeu de l’ombre et de la lumière dans les feuilles au dessus de moi qui rend le monde léopard. Ce besoin que j’ai quasi viscéral de plantes, de terre, de vie bruissante, secrète, animale, ce besoin d’eau, du mouvement de l’eau…
cg in Journal 2007
Grand soleil rouge à l’horizon brûlé
cg in Les pistes du rêve
in Mystica perdita, 2009
Artiste poète cubaine, vit en France
http://visualeslamarga.blogspot.fr/
Si la chance est avec toi, pourquoi te hâter ?
Si la chance n'est pas avec toi, pourquoi te hâter ?
http://www.creaturesfromel.ca/
Le poisson attrapé est toujours petit,
le poisson échappé est toujours grand.
Un enfant marche en sifflotant aux limites du visible
il n'a pas du tout l'air craintif.
A ses tempes des boucles de neige doucement tremblent
Il est du pays d'au-delà des moissons déchiquetées
par les pics d'au-delà les grands murs lépreux qui se taisent
Il est du pays des alchimistes et des brûleurs de souches pourries
in 19 lettres brèves à Nora Nord
Masque cérémoniel inuit - 1929
Slow Bull Praying to the Great Spirit - 1907