Antoine Wiertz - L'inhumation précipitée - 1854
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Que se passe t-il après la mort ? D'après la science occidentale c'est le cerveau qui crée la conscience. À la mort de celui-ci il n'y aurait plus rien... Pourtant on estime aujourd'hui à 4% de la population mondiale le nombre de personnes qui aurait vécu l'expérience d'une vie après la mort. Pendant 2 ans un journaliste a mené son enquête aux frontières de la mort et de l'inexplicable...
Parmi les participants : Jean-Jacques Charbonier, Eben Alexander, Manuel Da Silva, Ned Dougherty, Olivier Emphoux, Bruce Greyson, Catherine Kosmala, Anita & Danny Moorjani, Martine Nahmani-André, Michael Priem, Pim van Lommel, Howard Storm, Brian Walker, Christine Giriat.
Mon cœur blessé de femme
dormait d’un long sommeil
et puis te voilà toi
arrivé de la nuit
avec tes douceurs de lune
tranquille présence
cg in Vieillir
Bon voyage Dominique Garreau ! Je viens de retrouver toute une caisse de K7 et des groupes appréciés puis oubliés remontent à ma mémoires et au moment où je réécoute Dominic Sonic, le chanteur s'envole....
Fais-moi naître, criai-je, ô Dieu !
Fais-moi naître encore ! Je veux
Revenir sur terre. Renverse
Les nuages ! Refais l'averse
Si puissante et creusant si fort
Qu'elle m'arrache de la mort !
Je me tus. Et, dans le silence
Qui seul me répondait, immense,
Vint à siffler le vol soudain
D'ailes accourant du lointain
Comme une vibrante musique
Sur la corde de ma supplique
Passionnée ; et, brusquement,
Comme ainsi se levait le vent,
Les nuages cabrés d'orage
Terrifiant le paysage,
L'averse descendit d'en haut
Et, folle, frappa mon tombeau.
Comment arrivèrent ces choses ?
Je ne sais. Mais, plus doux que roses
Un parfum me vint, une odeur
Qui sembla celle du bonheur,
Un chant d'elfe chantant sa joie
Pour soi-même, sans qu'on le voie,
Et, plus puissant que tout, plus gai,
Le sentiment de m'éveiller.
J'entendis l'herbe à mes oreilles
Murmurer sans fin des merveilles,
Sur ma bouche qui s'entr'ouvrait
La pluie allongea ses doigts frais,
Toucha le sceau de mes paupières
Et, laissant place à la lumière,
La nuit ôta son bandeau noir,
Et, mes yeux s'ouvrant, je pus voir
La dernière ligne argentée
De la pluie, et, toutes mouillées,
Les branches des pommiers, et, bleu,
Un ciel frais où plus rien ne pleut.
Et comme je contemplais, pâle,
Le vent jeta, douce rafale,
Sur ma face, parfum léger,
Tous les miracles d'un verger.
Et l'odeur des choses écloses...
- Comment arrivèrent ces choses ? -
Remit soudain mon âme en moi.
Ah ! je bondis hors du sol froid,
Et, criant un cri si farouche
Que jamais une humaine bouche
Ne fit entendre pareil cri
Sinon l'enterré qui revit,
J'entourai de mes bras les branches,
Follement et, corps qui se penche
Embrassant la terre au soleil.
j'ouvris mes bras et, dans le ciel,
Je commençai de rire, rire,
Jusqu'à ce sanglot qui déchire,
Jusqu'à ce frisson furieux.
" Ô Dieu, criai-je, qu'on me dise
S'il reste rien qui me déguise
Désormais, dans le ciel d'été,
Ta radieuse identité !"
Selon Jean, dans le Nouveau Testament, au pied de la croix,
Elles étaient trois :
la mère Miriâm (Maria), la sœur de sa mère,
Miriam de Clôpas, et Miryâm de Magdala.
Trois, les Saintes Maries, trinité, comme dans les triades celtiques.
cg in Universelle