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  • David Graeber : repenser le travail et la consommation pour réenchanter le monde

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    attachment-KzmYd7H4SS2-IEIQlL81Qg.jpegEn quatre essais compilés dans un petit livre, l’anthropologue David Graeber (décédé en 2020) s’attaque aux clefs de voûte de notre système économique (le travail, la consommation, les hiérarchies sociales) pour en interroger le sens. En multipliant les angles d’approche par l’économie, la philosophie ou l’anthropologie, il accrédite que le capitalisme est un concept qui ne vit qu’à travers un imaginaire collectif pouvant être questionné et dépassé si l’on se donne la peine de remettre en question ce que nous croyons être des évidences.

    C’était l’un des grands penseurs libertaires du début du XXIe siècle, cité de son vivant comme “l’un des intellectuels les plus influents du monde anglo-saxon” par le New York Times. Comme Bernard Maris que l’on pourrait considérer comme un lointain cousin français, David Graeber nous manque depuis son décès prématuré en 2020. Pourquoi ne sont-ils plus là et par quelle injustice leurs détracteurs sont si nombreux dans l’écosystème médiatique ?

     

    La posture radicale et anticonformiste de David Graeber, sa détestation du prêt-à-penser, son militantisme tourné vers l’action autant que le combat intellectuel - mais aussi son humour - en faisaient un penseur unique, stimulant, indispensable à nos vies. Parmi ses travaux géniaux, citons son essai sur la bureaucratie, qui démontre pourquoi les entreprises privées en génèrent plus que les administrations. Mentionnons aussi son travail monumental sur l’histoire mondiale de la dette, dont la mise en perspective anthropologique et historique change complètement le regard sur le sujet. Rappelons surtout le remarquable et hilarant essai sur les “bullshits jobs”, expliquant comment le capitalisme produit des dizaines de millions d’emplois inutiles aux entreprises qui les créent.

     

    David Graeber, anthropologue de formation, s’est beaucoup intéressé à l’économie et aux mécanismes de la démocratie. Dans La Démocratie aux Marges, il analysait comment celle-ci peut s’exercer à côté des systèmes de pouvoir, par l’action citoyenne ; une réflexion prolongée par une anthologie de textes qui questionnent “les origines de notre désarroi actuel” : Possibilités, essais sur la hiérarchie, la rébellion et le désir, rééditée ce mois-ci. Quatre textes où le prisme de l’ethnographie comparée guide les analyses. 

    Les origines de la hiérarchie

    En introduction, David Graeber éclaire les débuts de sa carrière d’essayiste et rend hommage à Pierre Bourdieu, rencontré “au faîte de sa popularité” alors qu’il était étudiant, qui lui donna la confiance de se lancer. Si la parenté intellectuelle semble rétrospectivement évidente, l’anecdote racontée est savoureuse. On y apprend qu’invité par une prestigieuse université américaine, Bourdieu préférait échanger avec les élèves plutôt que ses pairs : ”Avec les étudiants, on peut parler d’idées. Les collègues, eux, veulent vous flinguer”. Bourdieu se rendit ainsi disponible pendant les quelques jours de son voyage dans un bureau accessible à quiconque réservait un créneau pour échanger avec lui, ce qu’il faisait semble-t-il de manière très amicale. La rencontre avec Graeber faillit amener à la publication de son premier texte (ce qui serait fait à Paris et en français), à la demande du sociologue, ce qui fut hélas rendu impossible par les circonstances.

     

    Le travail en question évoquait de façon marginale les mécanismes et la nature des hiérarchies sociales. Ces réflexions de jeunesse servent de base au premier texte du recueil, finalisé plus tardivement. En s’intéressant au concept moderne de hiérarchie, qui permet de traiter un individu comme une entité abstraite pour en tirer un sentiment de supériorité, Graeber analyse les codes sociaux à la lumière de deux concepts anthropologiques : les « relations de plaisanterie » et les « relations d'évitement », démontrant une capacité hors-norme à jongler avec les sciences sociales et des concepts généralement cloisonnés. Son étude des formes élémentaires de la hiérarchie se transforme ainsi peu à peu en essai sur l’origine du capitalisme, où Graeber développe une théorie des mœurs permettant d’expliquer les mécanismes de domination sociale par des habitudes intimes, connectant les théories de Max Weber aux travaux de Peter Burke sur l’installation du puritanisme en Europe après la Réforme.

     

    Désir et consommation

    Les deux textes qui suivent s’intéressent aux maux de la consommation de masse et aux mutations du monde du travail capitaliste, sujet faisant écho à une réflexion du premier essai émettant l’hypothèse que le travail salarié était au Moyen-Âge une situation souvent transitoire liée à la jeunesse (on était apprenti ou compagnon avant de prendre son envol et son indépendance) et le travail salarié « à vie » une invention du capitalisme moderne.

     

    Graeber remet en question de nombreuses théories consensuelles au sujet du travail et de la consommation, cette dernière étant selon lui considérée comme une fable universelle, partagée par les marxistes comme les libéraux. Il questionne le concept même de consommation, notant que le terme n’est jamais défini autrement que tacitement par ceux qui traitent du sujet.

     

    Le mot a pourtant connu une forte évolution sémantique : synonyme de gaspillage ou de destruction au XVIIe siècle, il a gagné en noblesse à l’ère industrielle, où le capitalisme s’équilibre par une croissance continue nécessitant des cycles infinis de destruction. Pour David Graeber cependant, tout acte de consommation n’a pas le même sens : acheter un instrument de musique (un acte pouvant permettre des décennies de créations) n’a rien à voir avec l’achat compulsif d’articles de mode, qui relève plutôt d’un assujettissement passif.

     

    L’auteur en appelle pour nourrir la réflexion à la relecture des grands philosophes, de Platon à Spinoza, pour proposer une anthropologie du désir. Le concept, qu’il définit comme une construction mentale du moi perçue du point de vue d’autrui, devient d’autant plus problématique à l’ère moderne qu’il n’existe aujourd’hui pas de limite à ce que l’on peut désirer.

    Capitalisme, esclavage et fétichisme

    Qu’aurait pensé David Graeber de la réforme en cours du RSA, qui pourrait contraindre les allocataires à travailler une quinzaine d’heures par semaine pour continuer à en profiter ? Dans Les modes de production sous toutes les coutures, l’auteur constate que le capitalisme a su réinventer sans le dire l’esclavage antique par de multiples stratagèmes.

     

    Ses considérations audacieuses sur les manières de rendre le travail contraignant dans les faits résonnent douloureusement avec certaines déclarations récentes de personnalités politiques de premier plan, qui grinceraient sans doute des dents à la lecture de sa description des ”esclaves salariés”.

     

    Dans le dernier chapitre, Graeber s’intéresse au concept de fétiche popularisé par Marx, qu’il définit après une longue analyse anthropologique comme un “dieu en cours de construction”, avant de s’intéresser à sa transposition dans notre époque. En analysant les corrélations entre magie et religion et la manière dont les civilisations glissent de l’une à l’autre avant d’adopter un fétichisme de la marchandise, Graeber se place dans le sillage de Guy Debord.

     

    Objet d’aliénation, le fétiche-marchandise n’opère à la différence des fétiches traditionnels aucun contrat social, et vise même plutôt à détruire celui-ci en raison de l’exploitation par le travail de ceux qui le produisent. En extrapolant cette idée et s’interrogeant sur la possibilité d’un fétiche sans aliénation, Graeber appelle de ses vœux une société plus horizontale, sans domination ni hiérarchie, ouvrant une passerelle avec les développements du début de l’ouvrage.

    Un idéal utopiste

    A la variété thématique féconde des textes, David Graeber oppose une méthode identique pour chaque essai : quel que soit le sujet qu’il aborde, il s’empare d’un totem du capitalisme et le questionne au-delà du système libéral, notamment dans l’histoire. Il va de soi que pour lui, puisque le capitalisme a un début (relativement récent à l’échelle de l’Humanité), il aura aussi une fin. Il appartient donc à nos sociétés de réinventer les modes de vie pour les mettre en adéquation avec les aspirations profondes de l’être humain, et de mettre fin aux ravages d’un capitalisme prédateur et destructeur. En bon anarchiste, Graeber croit que la solution ne viendra ni des politiques ni des États, mais des individus de bonne volonté.

     

    Ses essais révèlent la richesse d’une pensée nourrie par des économistes, des philosophes, des anthropologues autant que des artistes. Cette immense curiosité de David Graeber lui permet de jongler de la psychologie médiévale à la dialectique hégélienne en passant par le zoroastrisme pour filer un même raisonnement, que l’on serait bien en mal de rattacher à une quelconque école de pensée sinon la sienne. Nul doute que ces écrits dérangeront, et c’est exactement leur raison d’être : remettre en question nos préjugés. Le second objectif : réenchanter le monde, n’est pas moins ambitieux. Selon David Graeber, “ce qui unit les essais de ce livre n’est rien de moins qu’un idéal utopiste.

    • Possibilités, essais sur la hiérarchie, la rébellion et le désir, essai de David Graeber, éditions Rivages (410 pages, 15 €)

     

     

    par Jean-Samuel Kriegk

    Source : Blast, le souffle de l’info

     

     

  • Marina Skalova

     

    seule-au-monde revient
    avec la chute des feuilles

    un chuintement entre les côtes
    un grincement dans le torse

    les vents sifflent en-dedans
    ils font tomber les branches

     

     

     

     

  • MA BIBLIOGRAPHIE COMPLÈTE

     

    JE L'AIME NATURE, à tire d'ailes, 2023, illustration d'Anouk Rugueu en couverture

     

     

    CALEPINS VOYAGEURS ET APRÈS ? Tome 3, photomontage de l'auteur en couverture, à tire d'ailes, 2023

     

    CALEPINS VOYAGEURS ET APRÈS ? Tome 2, dessins originaux de François Pouch & photomontage de l'auteur en couverture, à tire d'ailes, 2023

     

    LE LIVRE DES SENSATIONS,  illustration de l'auteur en couverture, à tire d'ailes, 2023

     

    CALEPINS VOYAGEURS ET APRÈS ? Tome 1, dessins originaux de François Pouch & photomontage de l'auteur en couverture, à tire d'ailes, 2022

     

    LE BAUME, LE PIRE  & LA QUINTESSENCE, encre de l'auteur en couverture, à tire d'ailes, 2022

     

    PETIT LIVRE DES ILLUMINATIONS SIMPLES, à tire d'ailes, 2021

     
    HISTOIRES D'AMOUR, HISTOIRE D'AIMER, collages de l'auteur, à tire d'ailes, 2021

     

    MON COLLIER DE SEL, illustrations originales n&b de l'auteur,  à tire d'ailes, 2020

     

    LE TAROT DE SAINT CIRQUE, avec Lionel Mazari, et mon illustration originale en couverture, Gros Textes, 2020

     

    À LA LOUPE, TOUT EST RITUEL, illust. originales nb de l'auteur, à tire d'ailes, 2020


    PANDÉMONIUM II, illust. originales nb de Joaquim Hock, à tire d'ailes, 2019

     

    TOBOGGAN DE VELOURS, collages en couleur de l’auteur, à tire d'ailes, 2019

     

    CELLE QUI MANQUE, photo en couv. de l’auteur, à tire d'ailes, 2019

     

    AUJOURD'HUI EST HABITABLE, Cardère éd., 2018, photos couleur de l’auteur

     

    CALEPIN PAISIBLE D’UNE PÂTRESSE DE POULES, photos de l’auteur (publié sous le format poésie postale, coll. Les Délits vrais, en 2012), Nouveaux Délits, 2018

     

    SURSIS, avec collages originaux de l'auteur (tirage de tête en couleur), à tire d’ailes, 2017

     

    D’OMBRES, avec encres originales de l'auteur, à tires d’ailes, 2017 

     

    BONZAÏS HALLUCINOGÈNES, avec collages originaux couleur de l'auteur, Gros Textes éd., 2017 

     

    TRANS(E)FUSÉES – 30 essais de décollage du réel, avec des repros couleur de gribouglyphes de l'auteur, Gros Textes éd, 2015

     

    PURGATOIRE DU QUOTIDIEN, encre de l'auteur en couverture (reprise en du Mi(ni)crobe, hors série de la revue Microbe, publié en 2012), à tire d'ailes, 2014

     

    DES OURSES DANS LE CIEL (Cathy Garcia & cie), gribouglyphe de l'auteur en couverture, collectif mgv2>publishing, 2014  

     

    GUERRE ET AUTRE GÂCHIS, illustrations originales nb de JL Millet, Nouveaux Délits, 2014,   

     

    FUGITIVE, encres originales de l'auteur, Cardère éd, 2014, 

     

    POÈMES FOLLETS & CHANSONS FOLLETTES POUR GRAND PETITS & PETITS GRANDS, poèmes pour enfants, avec des illustrations originales couleur de Joaquim Hock, Nouveaux Délits, 2013

     

    CLAQUES & BOXONS, illustrations originales nb de JL Millet, Nouveaux Délits, 2013

     

    UN VANITY DE VANITÉS Asphodèle éd., 2013 (épuisé)

     

    AILLEURS SIMPLE, illustrations originales couleur de JL Millet, Nouveaux Délits, 2012

     

    CALEPIN PAISIBLE D’UNE PÂTRESSE DE POULES, Coll. les Délits vrais n°2 (poésie postale), photos de l’auteur, Nouveaux Délits, 2012 

     

    JE SUIS L’EAU, livre numérique, mots sur images (photos), Zen Evasion 2012

     

    LES MOTS ALLUMETTES, encres originales de l’auteur, Cardère éd., 2012

     

    QUÉ WONDERFUL MONDE, Coll. les Délits vrais n°1 (poésie postale), illustrations couleur de l’auteur,  Nouveaux Délits, 2012

     

    PURGATOIRE DU QUOTIDIEN, illustration de l’auteur en couverture, 32e mi(ni)crobe, janvier 2012 (épuisé)

     

    LE POULPE ET LA PULPE, illustrations originales nb de JL Millet, Cardère éd. 2011

     

    CELLE QUI MANQUE, photo et collages de l’auteur,  Ed. Asphodèle 2011 (épuisé)

     

    JARDIN DU CAUSSE, avec des illustrations originales nb de Joaquim Hock, Ed. de l’Atlantique, 2010 (épuisé)

     

    ESKHATIAÏ, gribouglyphe de l'auteure, préface de Michel Host, Ed. de l’Atlantique 2010 (épuisé)

     

    ÉTATS DU BIG BANG, chimères de Jean-Louis Millet (encres), captation de Cathy Garcia (texte), Nouveaux Délits, 2010 

     

    MYSTICA PERDITA, illustrations originales de JL Millet, présenté par Werner Lambersy, à tire d’ailes, 2009

     

    TRANS(e)CRÉATION ou l’art de sabrer le poulpe et la pulpe, éd. Dlc, 2009, (épuisé)

     

    NOUVELLE HISTOIRE DE LA CHÈVRE DE MONSIEUR SEGUIN, illustration originale nb de Michèle Martinelli en couverture, à tire d’ailes, 2008

     

    CHRONIQUES DU HAMAC, photos couleur de l'auteur, préambule de Michel Host, à tire d’ailes, 2008

     

    OMBROMANIE,  postface par Pierre Colin, collage n&b de l’auteur en couverture, Encres Vives, coll. Encres Blanches, 2007

     

    LES ANNÉES CHIENNES – Série autodigestion, illustrations originales nb de Marie Bouchet, à tire d’ailes, 2007

     

    SALINES, illustrations originales nb de Katy Sannier, postface de Michel Host, à tire d’ailes, 2007

     

    JARDIN DU CAUSSE, préface de Mireille Disdero, postface de Patrick Devaux, illustrations originales n&b de Joaquim Hock, à tire d’ailes, 2004

     

    GRIS FEU,  illustration n&b de Blandine Jullien, Ambition Chocolatée et Déconfiture (Collection de poésie, numéro 1), 2003 (épuisé)

     

    PAPILLON DE NUIT, présentation par Marc Sastre, Franche-Lippée, Clapàs éd., 2001 (épuisé)

     

    FRAGMENTS DE TOUT ET DE RIEN, collage couleur de l'auteur en couverture, Les Ami(e)s à Voix, Clapàs éd., 2001 (épuisé)

     

    PANDEMONIUM 1, collage couleur de l'auteur en couverture, Les Ami(e)s à Voix, Clapàs éd., 2001 (épuisé)

      

     

    ***Tous les livres "à tire d'ailes" sont intégralement fabriqués et imprimés par mes soins sur du papier 100% recyclé haut de gamme. Tous les tirages sont numérotés et signés***

     

     

    OUVRAGES COLLECTIFS :

     

     

    PLUS DE CENT FRONTIÈRES,éditions Pourquoi viens tu si tard, mars 2023 

     

    IL DEVRAIT Y AVOIR ENCORE UNE HEURE AVANT L’AUBE, décembre 2018, ouvrage collectif édité par l'association BUZO au profit du collectif allexois de solidarité avec les réfugié.e.s. Préface d’Emily Loizeau

     

    DUOS, 118 jeunes poètes né(e)s à partir de 1970, Bacchanales n°59, mars 2018  

     

    EL CANTO ETERNO - Anthologie dédiée au Che créateur - éditée par Poetas del mundo & Luis Arias Manzo (Chili) -septembre 2014 - 83 poètes en soutien à las Romerías de Mayo, el Festival Mundial de Juventudes Artísticas qui se déroule dans la ville de Holguín (Cuba) depuis 20 ans

     

    ÉDITIONS DE L’ATLANTIQUE - ANTHOLOGIE DES AUTEURS - 429ème Encres Vives, avril 2014

     

    VIBRATIONS EN PARTAGE – Anthologie des Moments Poétiques d’Aurillac – Ed. La Porte des Poètes avec le soutien du Théâtre d'Aurillac, mars 2014

     

    ASSORTIMENT DE CRUDITÉS – Nouvelles érotiques – Cactus Inébranlable éd., 2013 (Belgique)

     

    BUK YOU - Anthologie en hommage à Charles Bukowski – Gros Textes éd., octobre 2013

     

    VISAGES DE POÉSIE (Tome 5), anthologie de portraits de poètes,  Jacques Basse, Éditions Rafael de Surtis, 2011.

     

    NOUVELLES STORY - tome 2 (A-L-P-A éd.,2004)

     

    NOUVEAUX POÈTES FRANÇAIS ET FRANCOPHONES (JP Huguet éditeur - 2003)

     

    LA RUMEUR DES CHOSES, DESS Édition de la Sorbonne 2003.

     


    LIVRES D’ARTISTE (pièce unique) :

     

    AU FOND DU TIROIR, poèmes & illustrations, 2012

    LE NORD INTIME, sur des poèmes de Pierre Colin, 2012 (en deux exemplaires uniques)

    PANDÉMONIUM 2, poèmes & illustrations, 2011

     

     

    ILLUSTRATIONS ORIGINALES POUR D'AUTRES AUTEURS :

     

    VOIES LACTÉES, Dynamique des bassins laitiers entre globalisation et territorialisation de M. Napoleone, C. Corniaux, B. Leclerc - Cardère éd., 2015 (Illustration originale couleur pour la couverture)

     

    LE NORD INTIME Pierre Colin illustration au dos, Ed. D’Autres Univers - Collection Equinoxe, Février 2013 (une des illustrations des deux livres d’artistes réalisés pour Pierre Colin autour du même recueil en janvier 2012)

     

    LE CHEF D’ŒUVRE SUR LA TEMPE, Guillaume Decourt, Ed. du Coudrier 2013, Belgique (illustrations originales)

     

    RECUERDOS (EN COULEUR), Pascal Pratz, Ed. du Petit Véhicule, juillet 2012 (illustrations originales) 

     

    AUTRES LIVRES en plus des miens où figurent une ou plusieurs de mes œuvres :

     

    DÉBILE AUX TROIS QUARTS Patrice Maltaverne, Gros textes éd., 2017 (collage Regard intérieur, 1997 en couv)

     

    DÉTAIL D'INTÉRIEUR  de Basile Rouchin, Intervention à haute Voix, février 2015 (collages En attendant l’amour en couverture, plus Sanctuaire et Fils de la mère en repro nb)

     

    THIERRY ROQUET & CIE,mgv2<publishing, novembre 2014 (Où sont passés les poètes I, en couverture)

     

    AUX CONFINS DU PRINTEMPS de Marie-Françoise Ghesquier - Di Fraja, Encres Vives, 2013 (Tatoo, encre, en couverture)

     

    MY BELOVED SISTERS de Walter Ruhlmann, Rick Lupert Poetry Super Highway, PSH Californie 2012 (encre en couverture)

     

    CES MISSILES D’ALLÉGRESSE, Anna Jouy - Ed. de l’Atlantique 2011 (Collage Rouge zèbre)  

     

    CE QU'IL RESTE, Anne Jullien-Pérouas 2011 (Collage Vert en couverture) Voir : http://fr.calameo.com/read/00020828964db30d22c39  

     

    LE SYNDRÔME D’ORPHÉE, Christian Monginot, Ed. de L’Atlantique 2010 (Collage Archétypes à l'intérieur) 

     

    KELTIA CANTORUM, Zen Evasion 2008, gwerz de Jean-Louis Millet et paléoglyphes de Cathy Garcia, tirage limité, hors commerce. Visible sur http://www.evazine.com/livre04/default.html

     

     

    MES PHOTOGRAPHIES

     

    À HAUTEUR D'OMBRE, Marie-Françoise Di Fraja, 8 photos retravaillées en nb, Cardère éd, 2014

     

    BORDERLINE, naguèrotypes de Cathy Garcia & gogyohshi de Jean-Louis Millet, Zen Evasion, 2012

     

    HOCHETS DE SÈVE,  instantanés de Cathy Garcia, tresses de Patrick Fischmann, Zen Evasion 2010

     

    LES  ÉTATS GÉNÉREUX DE DAME NATURE, propos de Jean-Louis Millet (haïkaï), instantanés de Cathy Garcia, Tome 1 et 2, Zen Evasion, 2009