19/11/2020
Yvette, bon dieu ! un documentaire de Sylvestre Chatenay (2007)
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18/11/2020
Somers town de Shane Meadows (2008)
21:38 Publié dans MON CINÉMA | Lien permanent | Commentaires (0)
16/11/2020
Jeu de société de Guillaume Desjardins & Jérémy Bernard (2016)
18:53 Publié dans MON CINÉMA, RÉSONNANCE | Lien permanent | Commentaires (0)
12/11/2020
Une femme fantastique (Una mujer fantástica) de Sebastián Lelio (2017)
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03/11/2020
Tramontane de Vatche Boulghourjian (2016)
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01/11/2020
After the Wedding de Susanne Bier (2006)
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31/10/2020
Les Ogres de Léa Fehner (2014)
Superbe, je ne l'avais pas encore vu, avec le Cabaret Tchekhov de la Cie Agit, des souvenirs d'une ancienne vie pour moi et un film fou et splendide, par la fille de François Fehner et sa femme, Marion Bouvarel, les fondateurs de l'Agit. Risqué de faire jouer entre autre à sa famille, le père, la mère, sa sœur et les enfants de cette dernière, quasiment leurs propre rôles, en oscillant entre fiction et souvenirs d'enfance, un pari risqué et réussi, avec cette énergie (un vrai shot !) qui me rappelle tant de choses !
"(...) là je suis quatre fois plus stressée que d’habitude, je suis stressée pour mes parents et pour ma sœur, car j’ai à cœur qu’ils soient tous heureux. C’est un peu absurde et non maîtrisable. Et puis la prise de risque est aussi artistique, car il y avait le risque d’être amenée à choisir entre mettre en péril nos relations et la beauté du film. En même temps, avec cette foi chevillée au corps qu’on allait arriver à naviguer entre ces deux pôles et que la vie n’allait pas se sacrifier sur l’autel du cinéma. La prise de risque, c’était aussi de dire qu’on allait parler des hommes et des femmes sans en cacher les faiblesses et les vulnérabilités."
Léa Fehner
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25/10/2020
Laus Dau Gaug (Éloge du pissenlit) par Jean-Louis Maury (2017)
Portrait de Bernat Combi, artiste-poète-chanteur-musicien d'un monde oublié. Ses spectacles sont une incandescence ou musique et mots sont projetés dans une poésie rurale et sauvage. L'homme chante en occitan Marcella Delpastre, Paul Louis Grenier, mais loin des ayatol'Oc traduit Desproges, Nazim Hikmet, Confucius ou Woody Allen. Son local c'est le global moins les murs. Un chaman au blues occitan.
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20/10/2020
Chemin de travers par Sebastien Majonchi (2019)
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15/10/2020
Kill Dim Production - Stop Azerbaijani Aggression/Recognize Artsakh
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John-John de Brillante Mendoza (2007)
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14/10/2020
Plaine du Nord, un documentaire de Jean-François Chalut (1984)
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05/10/2020
Djam de Tony Gatlif (2017)
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04/10/2020
La légende du pianiste sur l'océan de Giuseppe Tornatore (1998)
inspiré de Novocento d'Alessandro Baricco (1994)
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09/09/2020
Last words de Jonathan Nossiter (2020)
Adaptation de Mes derniers mots de Santiago Amigorena par le réalisateur de l'excellent Mondovino et avec Kalipha Touray, qui vit actuellement à Palerme après avoir suivi la route et subi toute les épreuves des migrants d'Afrique subsahariene, un jeune homme qui crève l'écran et qui n'était jamais allé au cinéma avant de faire ce film..
"En 2085, la Terre n’est plus qu’un immense désert. Les derniers survivants se rejoignent à Athènes, appelés par un ultime espoir...
Et si l’Humanité parvenait à trouver la plénitude alors même que tout s’écroule et qu’elle est condamnée ?
L’histoire étonnante de la fin du monde, vécue de manière tendre et joyeuse, par les cinq derniers êtres humains."
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