Samâël Steiner
simplement un homme pour traverser la nuit
in Seul le bleu reste
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simplement un homme pour traverser la nuit
in Seul le bleu reste
Publié en 2014 en version trilingue (Japonais, Anglais, Français), traductions par l'auteur lui-même avec l'aide de quelques francophones. Taro Aizu s'est engagé à reverser tous les bénéfices de la vente aux groupes de NPO qui essaient de protéger les enfants de Fukushima du cancer.
"Comme un arbre nu
dans les champs abandonnés
mon espoir se dresse !"
Taro Aizu a été publié dans le numéro42 de la revue Nouveaux Délits, en mars 2012 :
http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com/archive/2012/03/25/numero-42.html
Cette présentation figure dans Vibrations en partage - Les Moments Poétiques d'Aurillac (2006-2013) - édité en 2014 par La Porte des Poètes et le Théâtre d'Aurillac.
Moments poétiques où j'avais eu le plaisir d'être invitée, en compagnie de Georges Cathalo, en janvier 2011. Une présentation plus que flatteuse, fallait bien deux ans pour oser la montrer ici.
Pour lire, cliquez sur l'image :
deux petites rectification/précision, la première citation est tirée des Chroniques du hamac (autoédition 2008) et non de Mystica perdita et Le poulpe et la pulpe et Trans(e)création sont un seul et même recueil (publié une première fois chez DLC sous le titre un peu long de Trans(e)création ou l'art de sabrer le poulpe et la pulpe, puis chez Cardère en 2010 (DLC ayant plié bagage), sous le titre simplifié Le poulpe et la pulpe).
Je refuse de partager l’inertie et le pessimisme universel.
Je suis de ceux qui seront abattus en dansant.
Darvich Khan, un berger sourd et muet, danse au milieu de son jardin de pierres, sa création magique.
Les poèmes empêchent de voir la poésie.
in Bestioleries poétiques
L’image qui nous est renvoyée du monde est plus étroite que l’anus d’une blatte. Elle se base principalement sur la séduction — qui n’est au fond qu’une stratégie animale pour ne pas crever la dalle — dont la plus vile et la plus dégénérée des formes est sans aucun doute la publicité. Le problème avec la séduction, c’est que l’on confond cela trop souvent avec l’amour mais séduire, ce n’est pas plus aimer qu’être aimé. L’amour, c’est différent. Moins tape à l’œil et bien moins séduisant justement. On y perd en surface, on y gagne en profondeur, on y perd en brillance, on y gagne en rayonnement. L’amour, c’est comme ces personnes que l’on ne remarque pas de prime abord : les invisibles. Comme ces petites fleurs des talus qu’on ne voit même plus. C’est cette eau de pluie qui s’immisce dans une cavité, ça nous remplit petit à petit et un jour ça ressort, comme ça d’un coup, ça jaillit, nous traverse : c’est une source.
in (c)Ourse bipolaire
Inventer la minute d’insolence
in Microbe n°97
Ici chacun pour soi, la merde pour tous.
in Tram 83