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CITATIONS - Page 203

  • Charles Péguy

     

    Une seule misère suffit

    à condamner une société.

    Il suffit qu'un seul homme soit tenu

    ou sciemment laissé dans la misère

    pour que le pacte civique

    tout entier soit nul.

    Aussi longtemps qu'il y a un homme dehors,

    la porte qui lui est fermée au nez

    ferme une cité d'injustice et de haine.

     

     

     

  • Paul Ohl

     

    Le jour de mon arrivée à Potosi, sur le toit bolivien, je me doutais un peu que ce lieu dissimulait une pauvreté humiliante. Ce fut toutefois au sortir de la mine que je sus que l’endroit était le véritable nombril de la misère humaine. J’étais arrivé en simple voyageur. Ce que j’y ai vu suffirait à faire de tout être normal un révolutionnaire.

     

    in Soleil noir

     

     

  • Tecumseh, chef Shawnee

     

    Que sont devenus les Pequots ?

    Où sont les Narragansetts, les Mohicans, les Pocanets

    et les autres tribus puissantes de notre peuple ?

    Elles ont disparu sous l'avarice et l'oppression de l'homme blanc,

    comme la neige sous le soleil de l'été ....

     

     

  • Sherman Alexie

     

    Il y a des gens qui voudraient vous faire croire que c’est mal, mais il s’agit simplement de deux personnes qui partagent un peu de médecine du corps.

     

     in Phœnix, Arizona

     

     

     

     

  • Paul Ohl

     

    Ne confondons pas dignité et orgueil… C’est l’orgueil qui nous incite à croire que nous avons le droit de réclamer du destin qu’il réponde à nos caprices. Au contraire, la dignité nous apprend à avoir l’humilité d’attendre la venue des évènements sans présumer de leur aboutissement. Là réside le cœur de la véritable révolution….

     

    in Soleil noir

     

     

  • Driss Ouadoul

     

    ces poètes viennent de nulle part

     et cheminent vers la contrée la plus reculée

    du fief de l’oubli

      

    ils sont nés pour mourir égarés

     sur les chemins d’Eden ou de Zanzibar 

     

    in Territoires de l’absence

     

     

  • Khalil Gibran

     

    Ouvre l'œil et regarde, tu verras ton visage dans tous les visages. Tends l'oreille et écoute, tu entendras ta propre voix dans toutes les voix.

     

    in Le sable et l'écume