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CATHY GARCIA-CANALES - Page 1224

  • Lisette Model

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    San Francisco, 1947

     

     

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    Née à Vienne en Autriche en 1901 d'un père italo-autrichien et d'une mère française, la photographe Lisette Model a vécu aussi à Paris, Nice et New York.  Elle se destine au départ à la musique et devient l'élève du grand musicien Schönberg, elle arrive à Paris en 1924 et tente de débuter une carrière de chanteuse, elle rencontre alors son mari, le peintre russe Evsa Model. C'est en 1933 qu'elle débute dans la  photographie et se fait connaître par le reportage qu'elle réalise sur la promenade des Anglais à Nice : une série de portraits de vieilles bourgeoises. Elle quitte Paris pour New-York en 1938 pour fuir l'antisémitisme et trouve rapidement du travail dans les revues new-yorkaise. Elle publie d'ailleurs la série de la promenade des Anglais. Elle poursuit son œuvre pendant près d'un demi-siècle en arpentant Manhattan, en saisissant les visages, les souffrances se reflétant dans les vitrines de l'opulence. Au début des années 50,  le Maccarthysme lui fait perdre la possibilité de vivre de ses reportages pour les revues, elle devient enseignante dans la photographie au New School of research social. De nombreux photographes ont suivi ses cours dont la célèbre Diane Arbus. Elle devient également la photographe de quelques stars comme Sinatra ou de nombreux jazzmen new-yorkais. Il faudra cependant qu'elle attende la fin de sa vie pour connaître les honneurs d'une rétrospective : 1982.

     
     
     


     

     
  • l'oeil & la plume : à la loupe tout est rituel (extrait 1)

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    texte de cathy garcia                                                                                                                      collage  jlmi  2013

     

     

    Il nous faut changer de cap, lâcher du lest, faire face aux vraies peurs masquées par les fausses, les peurs conformes, les peurs induites, celles qu’il est bon d’avoir même si on ne les a pas. Il nous faut embarquer vers l’inconnu, sans rives, sans repère. Ne rien projeter, ne rien regretter, s’ouvrir à l’espace infini de l’instant, desserrer les vis, libérer, par le souffle paisible, nos viscères, admettre que l’on ne sait rien de l’amour.

    Je frotte mes ailes de cigale, ventre contre terre, fesses solaires. J’ai tellement retourné les mots en tous sens, goûté leurs chairs, sucé leurs os, il y en a peu finalement qui apaisent ma faim. Je cherche l’au-delà des mots, la sensation pure, violente parfois, une pénétration totale par ce que certain nomme le divin. Un vide en moi, immense, qui provoque un appel d’air. En moi, tournoient le cosmos et toutes ses galaxies, je suis absolument et invraisemblablement creuse à l’intérieur.

    Les mots fuient de toutes parts, explosent, se dispersent, se reforment. Un creuset d’énergie où je disparais, ne faisant plus qu’un avec ce vertige de l’indicible. Alors, décider ? Mais décider de quoi ? Je m’ouvre et ne peux rien décider. Seulement accueillir.

     

    Mis en ligne sur http://jlmi22.hautetfort.com/

  • Chin-San Long

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    long Chin-San 1981.jpgChin-San Long, est née la province du Zhejiang en 1892 et décédé en 1995 à l'âge de 104 ans. Il s'est consacré à l'art de la photographie pendant plus de 90 ans et a vécu presque chaque minute avec un appareil-photo à la main.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Chin- San Long, 1981