Soft Cell - Tainted Love
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
La chaleur a un parfum et les cigales sont hypnotiques. Le tant, le trop, la liste qui se déroule, infinie, soudain s’évapore et je me mets à désirer des choses uniques... Un apéritif légèrement amer, qui me ferait croire au luxe, avec quelques olives ou des petites choses à la saveur méditerranéenne.
Les cigales ont gagné, m’ont plongée dans un sommeil à angle droit, où les mouches, les fourmis et autres chatouilleurs me faisaient danser la Saint Guy. Réveil, proposition, évocation… Parasol et Suze méditerranée, se sont matérialisés en sirop de citron et bruit de verre brisé. J’offre mes jambes et la plante de mes pieds aux ultra-violets. L’été est là, dépouillé de tout artifice, y compris celui de l’amertume apéritive.
L’été est là, nous passons trois hivers à l’attendre et quand il est là, nous sommes bien en peine de savoir quoi en faire. Alors remontent, sournois, des souvenirs adolescents, lorsque l’été avait non seulement un sens, mais surtout un but. Le décuplement du vivre ! L’eden d’une piscine, d’une discomobile ou d’une fête foraine, quelques glaces, quelques cacahuètes, des dents blanches, des peaux de princes hâlés, des musiques dansantes, des slips mouillés, le désir comme un fruit trop mûr, trop sucré. Le désir qui tâche et l’importance essentielle des choses futiles dont rien ni personne ne pouvaient nous détourner.
En ligne sur : http://jlmi22.hautetfort.com/archive/2013/10/11/l-oeil-la-plume-5194675.html
J’ai rêvé d’un tigre, ancêtre mythique, l’initiant qui conduit les néophytes dans la jungle pour les tuer et les ressusciter.
Énergie puissante, parfois féroce, qui à la lune renaissante surgit des obscurités profondes.
J’entame ma lente progression dans la forêt de bambous.
cg in Chroniques du hamac, 2008
Photographe mexicain.
Il faut oser l’amour. S’agenouiller pour l’envol.
Ouvrir mes cuisses libère mes odeurs de femme.
L’ange de l’air en connait les formules secrètes.
cg in Fugitive (à paraître chez Cardère en février 2014)
Cheval Blanc d'Uffington. Gravée dans la craie d’une colline de la province de l’Oxfordshire, à l’ouest de Londres, la silhouette d’un cheval d’une longueur de 111 m se détache en contrebas des ruines du château d’Uffington. Sa similitude avec le dessin ornant d’antiques pièces de monnaie suggère qu’elle ait été réalisée par les Celtes de l’âge du fer, aux environs de l’an 100 av. J.-C.
Le cheval blanc de Westbury est situé au pied de la butte de Bratton Castle. A droite de sa tête, se trouve un petit enclos carré, qui date de l'âge du fer (c'est ce qui permet de penser que la sculpture initiale date de la même époque) , où se déroulaient les fêtes traditionnelles du 1er mai. C'est le plus vieux des chevaux blancs sculptés sur les collines du Wiltshire. Il a été reconstitué en 1778, une action qui a sans doute effacé la sculpture initiale qui occupait la même pente. Une gravure datant des environs de 1760 laisse apparaître un cheval allant dans la direction opposée, plus petit que le cheval actuel.
Le cheval blanc de Folkestone, a été achevé en 2003.