Victor Hugo
***
Il y a des gens qui vous laissent tomber un pot de fleurs sur la tête d'un cinquième étage
et qui vous disent : je vous offre ces roses.
***
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
***
Il y a des gens qui vous laissent tomber un pot de fleurs sur la tête d'un cinquième étage
et qui vous disent : je vous offre ces roses.
***
Croquis des ruines du château, vers 1840
Dolmen d'où parle la bouche d'ombre
La pieuvre Illustration pour “Les travailleurs de la mer”, 1866
Ma destinée, 1867 à Guernesey
Paysage avec pont
Paysage
Phare des Casquets
Ecce, 1854
Le Soir, entre 1847 et 1855
Le Gai Château, 1847
Champignon, 1857
L’enseignement est rude. Je cherche un fil qui aurait lâché.
Quel étrange vaisseau sommes-nous donc ?
J’entends à nouveau les sirènes du voyage. Je raccommode la réalité, m’évade maladroitement. Issues spectrales. Je tisse doucement, tranquillement, le cocon perpétuel.
N’importe quelle drogue est un substitut de l’Autre
et alors le rêve laisse place aux bouillies.
cg in Celle qui manque (Asphodèle, 2011)
Manifestation d'activistes du mouvement des droits civiques
entourés de gardes armés et de tanks
***
N’accuse pas le puits d’être trop profond
quand c’est ta corde qui est trop courte
***
Né au Portugal en 1987, VHILS voyage à travers le monde pour créer ses œuvres monumentales. Il a été distingué en 2008 par Banksy qui l’a invité au Cans Festival à Londres. Son œuvre est une révolution dans la technique du pochoir du fait de son utilisation d’outils inhabituels. Par la destruction des murs, il explore les couches de l’espace urbain et de son histoire. Vieux papiers, affiches usées, panneaux de bois, murs de briques sont attaqués avec des ciseaux, marteau-piqueur, à l’acide, ou l’explosif, afin de sculpter en quelque sorte son pochoir sur le mur. VHILS révèle un nouveau visage, la face cachée, de la ville, source d'inspiration inépuisable.
MA THÉMATIQUE
sur l’abscisse désordonnée de mes amours
j’ai posé
la circonférence
d’une lune pleine
sur les sinuosités de ma sauvagerie
j’ai lâché des aigles
brûlants
et aimé sentir ma chair
se détacher
par petits bouts
sur mes désirs parallèles
j’ai tendu des ponts
des passerelles instinctives
pour attirer la foudre
balafrer la plénitude
de mes courbes peut-être trop
maternelles
l’oiseau de nuit
s’acharne à prévenir
qui n’a pas d’oreilles
qui ne veut pas en avoir
effeuillage
un peu beaucoup
passionnément
pas du tout
je t’aime
veut tout
et rien
dire
Cg in Salines, 2008
(Eskhatiaï, Ed. de l'Atlantique 2010)
Photographe polonaise née en 1973.