Éric Barbier
Le manque se croit-il désir ?
in Promesse achevée à bras nus
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Le manque se croit-il désir ?
in Promesse achevée à bras nus
Dans le noir encrier
Où l’espoir va puiser,
Le cœur d’une bougie
Vacille dans la nuit.
cg in Pandémonium I (Clapàs 2001)
Bien sûr qu’elle avait eu envie de baisser les bras, de rentrer dans ces rangs bien droits, bien rassurants, bien sagement préparés pour toi des que tu montres ta tête. Bien sûr que la facilité avait été tentante, la banalité attestée est tellement plus confortable que le contre-courant ! On t’aime quand tu commences à ressembler à tout le monde ! Tu oublies qui tu es, pour quoi tu es, et ceux qui pensent à ta place se font un plaisir d’organiser tes limites. On te coule dans le moule sans qu’un poil ne dépasse, tu es reconnu !
in La femme en vol
L’horreur d’apercevoir un homme là où on pouvait contempler un cheval
in Pensées étranglées
ILS
disent toujours
la vérité
Je veux dire
qu`ils se taisent
souvent
in Mais qui sont-ils ? (Minicrobe 33)
Il reste à mettre de l’ordre
Dans cette débâcle du dire
Vous n’êtes pas encore
De ceux qui signent d’une noyade
Au bas de l’eau.
in Triptyque du veilleur