Del Webber
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Dans la couleur de l’abeille
le frémissement
du miel.
in Clins d’œil
12,5 cl d'huile de tournesol, 150 g de sucre (je conserve mes gousses de vanille dedans), trois œufs, un pot de yaourt de brebis, 200 gr de farine d'épeautre (avec du blé ça gonflera plus, mais moi j'aime la saveur rustique de l'épeautre), une pincée de bicarbonate et le jus d'un demi-citron, compote de pommes-coings sucrée préparée à l'avance, purée de myrtilles non sucrée, huile pour le plat.
Mélanger l'huile avec le sucre, rajouter les œufs un par un, battre énergiquement, rajouter le yaourt, battre encore, puis la moitié de la compote pommes-coing, bien mélanger, puis rajouter la farine et le bicarbonate délayé dans le jus de citron. Bien mélanger la pâte est lisse et brillante. Huiler un moule à manqué (en verre c'est bien), verser la moitié de la pâte, recouvrir du reste de compote et puis déposer un peu partout des cuillerées de purée de myrtilles. Recouvrir du reste de pâte. Mettre au four préalablement préchauffé, 25 minutes.
C'est délicieux !
et 15 de mes bébés vous y attendent !...
Tous les mouvements
du cœur dans un seul frisson
de saule pleureur
Il y a de la joie à sentir la chaleur. Viens dans le grand monde et vois le soleil.
Suis les traces des anciens pas dans la nuit d'été.
Il y a de la peur à sentir le froid. Viens dans le grand monde et vois la lune.
Maintenant nouvelle lune, maintenant pleine lune.
Suis les traces des anciens pas dans la nuit d'hiver.
L’homme est né simplement
Pour tomber
…ne plus jamais se relever, une lance dans le dos
Le feu, l’arc, et sous le masque, la cicatrice ouverte sur les étoiles,
tout ce qui lui a été appris, lui a été ravi par le flot impétueux du fossé,
alors pourquoi continue-t-il à changer toujours les pierres de place ?
Draps de limaille, croix de silice
Le temps ferre l’agonie
Le temps de mort
Des pays de sang
Mais nous irons arracher
Les racines de la folie
De la bouche noire des fantômes
cg in Mordre les temps de mort
On a croisé l’enfant qui dodeline de la tête dans le désert des églises poussiéreuses.
On a lâché une pièce : il dodeline de plus belle
Commerce des sourires, des rouges à lèvres élastiques, des parures lisses et conformes
La rue se maquille, agitée par ses poches pleines de punaises, et ses trottoirs engainés dans leurs courses, où l’entrain se consomme en coups de vent
in A travers l’écran (Traction Brabant n°40)