Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

* MES LIVRES - Page 2

  • Oniromancie, livre d'artiste : Mysthiques et Catharsis

    Oniromancie est un livre d’artiste en série limitée (sur commande), composé de 10 poèmes imprimés & 9 collages papier directement réalisés dans chaque exemplaire. Chacun d’eux est ainsi une pièce absolument unique, en papier recyclé (calcaire 250 g.). Numéroté et signé.

    Voici les 6 collages qui accompagnent les poèmes "Mysthiques" et "Catharsis" dans les 6 exemplaires réalisés à ce jour.

     

     

    Mysthiques

     

    Mysthique small.jpg

     

    Mysthiques small.jpg

     

    Mysthiques small.jpg

     

    Mysthiques small.jpg

     

    Mysthiques small.jpg

     

    Mysthiques small 1.jpg

     

     

    Catharsis

     

    Catharsis small.jpg

     

    008small.jpg

     

    Catharsis small.jpg

     

     

    Catharsis small.jpg

     

     

    Catharsis small.jpg

     

    Catharsis 1 small.jpg

     

    à suivre ...

     

     

  • Livre d'artiste : ONIROMANCIE - série limitée

    DSC05713.JPG

     

    Poèmes & collages

     

     Les premières versions de ces dix poèmes ont été écrites entre 1991 et 2001, je les ai retravaillées pour en faire ce livre d’artiste, décliné en série limitée avec neuf collages originaux différents directement réalisés dans chaque exemplaire.

    Chacun d’eux est ainsi une pièce absolument unique.

     

    Numéroté et signé.

     

    Papier calcaire 250 g.
    100 % recyclé

     

     

     

    DSC05706.JPG

     

    DSC05715.JPG

     

    DSC05717.JPG

     

    DSC05718.JPG

     

    Ce premier exemplaire est maintenant disponible,

    Possible de réserver un prochain.

     

    Plus d'infos : mc.gc(arobase)sfr.fr

     

     

     

  • ©Ourse (bi)polaire lu par...

    ©Ourse (bi)polaire est un livre que je devais faire, et au bon moment, ce qui est donc fait pour clôturer cette terrible année 2024. Je ne suis pas étonnée des réactions qu'il suscite.

     

    COUV.jpg


    "j'achève juste ©Ourse (bi)polaire. C'est .... tremblement de terre+éruption volcanique+tsunami !!! Une vraie course de l'ourse au milieu des obstacles de sa vie. Un slalom spécial ou plutôt un fil ténu (dé)tendu entre désespoir, colère, impatience et sapience : a 'long and winding road' s'il en est.
    Un choc violent.
    Je comprends que la rédaction/publication de ce recueil-divan te fut indispensable. Une borne déposée brute et vrac au bord de ta nouvelle route... dans l'espoir d'un pied plus léger."
    Jean-Louis M.

     


    Et une note reçue de mon amie poète et auteur Guénane :

     

    lu par Guénane.jpg

     

     

     

     

  • AVIS DE DOUBLE PARUTION : ©Ourse (bi)polaire et Au fond du tiroir

    COUV.jpg

    Où il est question de codes, de cases qui ne coïncident pas, ne collent pas ou collent trop ; asphyxie ; où il est question de contentions qui finissent par provoquer de violentes fuites de poésie ; où il est question d’accepter les turbulences pour ne jamais se résigner à l’inacceptable, accepter des disjonctions parfois brutales. Savoir que la plus grande force d’un disjoncteur bipolaire est sa capacité à résister à des courants pollués importants. Où il est question de ne jamais renoncer à cultiver l’harmonie, la justesse et l’équilibre.

    « L’ourse n’a jamais été bipolaire — polaire parfois, égarée sur les banquises du monde — mais c’est une ourse qui a toujours refusé le dressage pour le cirque et les barreaux des zoos, une ourse triste qui piste la source et une ourse de joie, oui, sauvage oui, et douce aussi comme le miel. Les griffes et les crocs, c’est surtout contre elle-même qu’elle les a usés. Aujourd’hui, c’est une vieille ourse — plus sage peut être — qui vous regarde et elle a enfin trouvé une tanière. »

    *

    56 pages, œuvre en couverture de l'auteur : Exorticare, 2024, 14 €

     

     

     

    couv.jpg

    Au fond du tiroir d’un meuble ancien, oublié dans le grenier d’une maison abandonnée, sont des poèmes, oubliés eux aussi, qui sentent la naphtaline, la vieille encre et le papier jauni. Des poèmes surannés qui évoquent des temps qui n’existent plus. D’ailleurs, la poète qui les a écrits, les a-t-elle vraiment vécus ces temps ou simplement imaginés ? À lire dans le rai de lumière qui traverse la toiture délabrée avant de les laisser retomber en poussière. Au fond du tiroir, restera un vague parfum de rose ou peut-être de violettes.


    Il y a là-haut sur la colline

    Une chatte qui met bas

    Le clocher a sonné douze fois

    La nuit s'enroule dans un drap




    Au fond du tiroir a d’abord été mon LivrArt n° 2, achevé à St Cirq-Lapopie, le 27 novembre 2012. J’ai rajouté ici un onzième poème aux dix qui figurent dans le livre d’artiste originel. Il aura fallu 12 ans pour qu’il se retrouve entre de très bonnes mains et je voulais attendre ce moment pour en faire le livre imprimé que voici.

    28 pages, 13 illustrations en couleur tirées du livre d’artiste original, 12 €

     

    9.jpg


    Les deux livres sont édités et imprimés par moi-même sur papier 100 % recyclé, à réserver par mail : mc.gc@orange.fr. Règlement par chèque ou virement.

    Port pour un : 3 €, pour les deux : 5 €.

    Merci de soutenir la création artisanale et les circuits courts !

     

     

     

  • AVIS DE PARUTION : "Calepins voyageurs et après ?", tomes 2 & 3 !

     

    Deux d'un coup dirait une vaillante petite tailleuse de livres, deux d'un coup et une offre spéciale avec ça pour celles et ceux qui n'auraient pas lu le premier tome et voudraient avoir la trilogie complète !

     

    COUV T2.jpg

    pour voir l'image en grand, suffit de cliquer dessus :

    COUV recto T2.jpg

     

     

    Chaque tome fait 52 pages agrafées comme le premier

    imprimé sur papier recyclé 80 g et 250 g calcaire pour la couverture

    chaque exemplaire est numéroté et signé

    avec dans le tome 2, deux illustrations originales de François Pouch

     

     

    COUV T3.jpg

     

    pour voir l'image en grand, il suffit de cliquer dessus :

     

    COUV recto T3.jpg

     

    12 € chaque nouveau tome

    + port pour un tome : 2,50 €

    pour deux : 4 €

     

    Offre spéciale pour les trois tomes : 40 € port compris

    Pour voir le tome 1, c'est ici : 

    http://cathygarcia.hautetfort.com/archive/2022/07/20/avis-de-parution-immediate-calepins-voyageurs-et-apres-tome-6392985.html

     

     

    à réserver par mail : mc.gc@orange.fr

     

     

     

     

  • "Je l'aime nature" et "Le livre des sensations" ressentis par Éric

    Nous ne nous connaissons pas ce retour m'a laissée bouche bée à quel point ça me parle et bouleversée aussi (bon d'accord je suis vite bouleversée mais disons que là, c'est arrivé au moment M), merci à lui, MERCI, deux syllabes tellement essentielles ! Je publie ce message avec son accord.

     

    78a500bfcd9e4641c6d624fdce793e6ejnVdUWBgOv6C3piM-0.jpg

     

    78a500bfcd9e4641c6d624fdce793e6ejnVdUWBgOv6C3piM-1.jpg

     

     

    78a500bfcd9e4641c6d624fdce793e6ejnVdUWBgOv6C3piM-2.jpg

     

    Cliquez sur les images pour lire

     

     

     

     

  • Le livre des sensations lu par Dana Shishmanian pour FRANCOPOLIS

    À découvrir sur le site de sa revue Nouveaux délits – qui vient de sortir en mars son n° 75 – sous la forme d’une citation :

    « Parfois, j’ai des orgasmes de nature qui m’ouvrent le cœur en deux comme une graine mûre. Je suis l’arbre, la mésange, la grenouille, le nuage, la pluie, l’orage, je pourrais dévaster un bureau de pôle emploi, en faire une jungle pleine de feuilles, de cris et de fouillis odorant. Où est la case poète ? S’il n’y a plus de place pour les arbres, les plantes, les oiseaux, les animaux, il n’y en a pas non plus pour les enfants, les mystiques et les poètes, tout ça c’est la même chose, tout ça est connecté directement à la source, la source vitale, la source de toute chose. Pur ressenti, pure perception en résonance avec le monde des formes mais en totale inadéquation avec celui des normes et des apparences. Il n’y a pas de mystère, tout est mystère et la normalité est une affreuse invention, réduction, supercherie. » (quatrième de couverture)

    Cette « mystique » génuine qui révèle au quotidien nos liens à « la source de toute chose » n’est pas la seule corde à l’arc de la poétesse dans ce nouveau recueil, qui rassemble, dirait-on, les pages d’un journal intime, non des événements extérieurs mais des infinitésimales aventures du dedans, celles de la psyché comme personnage mais aussi comme témoin et comme auteur-narrateur. Un auto-regard non complaisant mais bienveillant qui transforme, par cela même, le vécu en processus de transsubstantiation, comme si les souffrances, les dépressions, les tourments que nous traversons tous les jours seraient une sorte d’épreuves alchimiques… car : « Nous ne sommes pas que des êtres de lumière, nous sommes aussi de la même boue que les étoiles, les mêmes poussières toxiques. » (p. 40)

    Sans orgueil, sans triomphalisme, sans s’envoyer des fleurs, l’âme tente de se survoler au-delà même de l’épuisement total dans lequel elle peut, si souvent, sombrer. Entre le sentiment du « ça fuit de partout, plus de jus », et le « détachement total de tout ce qui peut arriver », survient la suspension libératrice d’un instant hors du temps où le vide se fait grâce : « je me vide peu à peu de ma substance et je sens monter lentement d’une profondeur en moi inconnue, une grande mer de silence, une mer de glace, pure, vide, je lâche tout » (p.41).

    La continuité est révélatrice avec un précédent recueil de Cathy Garcia Canalès, Le baume, le pire & la quintessence (à tire d’ailes, avril 2022), dédié à l’alchimie amoureuse – l’agonique polyphonie Lui / Elle – qui finit ainsi : « Les plus belles histoires d’amour sont celles qui vont jusqu’au bout de leur processus ne laissant derrière elles nulle scorie non transformée. L’Amour est un alchimiste dont nous sommes à la fois l’athanor et la materia prima. » Alors « ce qui demeure » de la relation d’amour est « incorruptible » : « Pour avoir été entièrement dissoute, sans pour autant disparaître, elle ne peut plus être détruite. »

    C’est une écriture qui épouse en toute empathie l’intériorité du lecteur, ou de la lectrice. Rare et précieux, merci Cathy ! (voir aussi, dans ce même numéro, mon coup de cœur, Nos petites centrales, pp. 16-17 du recueil).

     

    www.francopolis.net/

     

     

     

  • AVIS DE PARUTION : Je l'aime nature

    Je suis très heureuse d'avoir finalisé ce nouveau bouquin auquel je tiens tout particulièrement, avec en couverture un dessin d' Anouk Rugueu ! ❤

     

    COUV.jpg

     

    COUV recto small.jpg

     


    Imprimé sur papier 100 % recyclé comme d'habitude,

    80 g. et 250 g pour la couverture

    36 pages agrafées
    tirage numéroté et signé comme toujours

     

    avec une de mes photos de graminées retravaillée en n&b en page centrale


    10 € + 2,50 € de port, soit par chèque ou par virement, me contacter dans tous les cas par mail : mc.gc@orange.fr

     

     

    DSC01330.JPG

     

     

     

     

     

     

  • Bon voyage à Michel Cosem

    J'apprends à l'instant que le poète, écrivain, et éditeur (la longue aventure de la revue et éditions Encres Vives), Michel Cosem, vient se se fondre dans le Grand Tout, paix à sa belle âme de marcheur en poésie, il fut mon deuxième éditeur (Ombromanie, 2007), lui et le très cher premier, Marcel Chinonis, marchent maintenant parmi les étoiles.les deux marchent maintenant parmi les étoiles. Je l'avais justement cité dans le dernier numéro de ma petite revue, une de ces citations de coin de page, je le refais ici avec un extrait plus conséquent :
     
    J’aimerais pourtant encore une dernière fois
    marcher sur le sentier
    qui va vers nulle part
    même vers une grange pleine de foin
    qui sent les brebis et la camomille
    même vers une touffe de châtaigniers
    vers un ancien feu allumé par des chasseurs
    vers l’empreinte d’un ours
    le long d’un ruisseau de rouille
    (…)
    ces grands buveurs de brouillard
    ces gorges ivres de silence
    et de cailloux
    Ici
    la terre levée est comme ébouriffée de nuit
     
    Michel Cosem
    in Vous qui passez par Roncevaux
     
     
     

  • Plus de cent frontières (anthologie), Pourquoi viens tu si tard éd., mars 2023

    Sorti en mars mais je devais avoir la tête ailleurs et je ne suis pas au Marché de la poésie mais j'ai participé avec plaisir à cette anthologie sur le thème de la frontière... Une sélection de textes construite par Maryline Bertoncini, Franck Berthoux et Patrick Joquel. Edité à Nice en mars 2023 par les Editions Pourquoi viens tu si tard?

     

    Plus de cent frontières 1.jpg

     

     

    Plus de cent frontière 2.jpg

     

     

     

     

  • FAITS D'HIVER - 20 JOURNÉES ORDINAIRES DE LA VIE DE 50 FEMMES - Jacques Flament, mai 2022

    Je me rends compte que j'ai oublié sans doute prise dans trop de tourmentes, de mentionner sur ce blog ma participation à cet ouvrage conséquent, publié en mai dernier par Jacques Flament et qu'il n'est pas trop tard bien au contraire de commander :

     

    faitsdhiver.jpg

     

     

    Le JOURNAL ou le JOURNAL INTIME est un genre littéraire à part entière.
    Celles et ceux qui s’y adonnent sont appelés DIARISTES (de l’anglais Diary, journal intime).

    La spécificité de l’ouvrage que vous avez entre les mains est que tous les textes des journaux retranscrits ont été écrits par des femmes et qu’ils sont délimités par une période courte et définie : du 21 décembre (solstice d’hiver) au 9 janvier, soit une vingtaine de jours pour traverser le temps et passer de l’année 2021 à l’année 2022.

    À la base, le JOURNAL (en tout cas le JOURNAL INTIME) est conçu et écrit à usage privé, et généralement touche à l’intimité de son auteur(e). Mais depuis des lustres, ce JOURNAL, intime ou non – certains s’en servent pour parler de l’actualité, des livres, de la nature, etc., et on en vient ainsi à parler plutôt de JOURNAL PERSONNEL – devient un récit littéraire (ou même quelquefois artistique), qui peut se rapprocher de l’autobiographie par le fond, même si la forme est clairement définie : relation des faits par ordre chronologique et daté.

    De grand(e)s auteur(e)s se sont risqués au JOURNAL et non des moindres : les Frères Goncourt, Jules Renard, André Gide, Benjamin Constant, Léon Bloy, Michelet, Paul Léautaud, Cioran, Simone de Beauvoir, Anaïs Nin et tant d’autres. Certains l’ont appelé JOURNAL, d’autres CAHIERS. Discrédité durant une bonne partie du XXe siècle, le JOURNAL a plutôt tendance à être réhabilité de nos jours avec des diaristes contemporain(e)s qui leur redonnent leurs lettres de noblesse.

    Notre ambition avec cet ouvrage collectif est de mettre en avant des FEMMES auteures, que l’on ne rencontre pas habituellement sur le devant de la scène littéraire, mais dont l’écriture n’a souvent rien à envier à leurs illustres consœurs médiatisées.

    Nous remplissons ainsi pleinement notre rôle de découvreur, défricheur, et vous donnons à lire un contre-courant de la scène littéraire qui, nous l’espérons, parviendra à vous séduire.

     

    ISBN : 978-2-36336-522-4 PAGES : 560 FORMAT : 210×297 PARUTION : 05/2022 

    VOIR ICI : https://www.jacquesflamenteditions.com/501-faits-dhiver-20-journees-ordinaires-de-la-vie-de-50-femmes/