Khalil Gibran
Le génie n'est que le chant du rouge-gorge à l'aube
d'un printemps indolent.
in Le sable et l'écume
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Le génie n'est que le chant du rouge-gorge à l'aube
d'un printemps indolent.
in Le sable et l'écume
Comment ne pas être fleuve
Pour te donner l’herbe
Et l’âme de l’herbe
in Poème à une étrangère
Dormeur, emmène-moi là-bas, je t’en supplie
Où musiquent les sources.
in Stances du verbe amour
Je n’ai rien à vous vendre, rien à vous prendre, tout à apprendre. Je ne fais que passer sans posséder le monde comme un simple ruisseau.
in Parce que
Tes mémoires tu les as d’outre-ciel et tu ne sais pas si elles
te viennent d’avant ou d’après ton destin.
in Mémoires d’outre-ciel
Chaque jour je m’enfonce dans ton corps
et le soleil vient bruire dans mes veines
mes bras enlacent ta nudité sans rivages
où je déferle pareil à l’espace sans bords
in L’homme rapaillé, 1970
comme une ombre tu te profiles
dans les nuits, innocente et pure,
avec ta pluie sur mon désert.
in Poème à une étrangère
Comment ne pas se pencher chaque soir
à la fenêtre de ton âme
et contempler de là
tout l’univers.
in Poème à une étrangère
Qui vit sans folie n'est pas si sage qu'il croit.
in Réflexions ou Sentences et Maximes
La sagesse qu'un sage cherche à communiquer
à toujours un air de folie.
in Siddhartha
dans l’éclat léger du soir, je respire la densité du vide.
à la pointe des mots
la pensée
parfois
s’empale
in Mot de passe
dire la démesure
avec des mots
taillés sur mesure
in Mots de passe
un mot
de travers
bascule
un univers
in Mots de passe